Chocolat Concurrents Directs Et Indirects

puis dans les petits pots en verre (1961) grâce à la maîtrise de la technologie du capsulage (« pop » à l’ouverture), et les ventes profitent de l’essor des supermarchés pour se multiplier. iL’entreprise Jacquemaire grossit par le rachat des chocolats Pupier (1958) de Saint-Étienne, la diffusion des produits Gayelord-Hauser (1962), et change de nom en 1962 pour Blédina, référence au produit phare. 1 Bledina h Com de marque Il était une fois Blédina 1 Historique Petit bébé

de la différence entre l’ensemble des bénéfices (utilité, mais aussi psychologique, etc.) et le coût total d’une offre (si loin du domicile cout de carburant, ex: Ikea qui vend le meuble non monté, cout psychologique …), par rapport aux offres concurrentes. La valeur n’est pas le prix Ex : le jambon Aoste est le même exactement que le carrefour mais n’a pas du tout le même prix. La satisfaction ECHANGE ET MARCHÉ L’échange: Acte visant à obtenir d’autrui un objet souhaité en lui offrant

Desksearch : Recherches secondaires * Feelsearch : Recherches sur le terrain * Conditionnement : emballage, packaging * Storecheck : vérification en magasin, tableau comparatif * Cobranding : association de marques * Concurrence directe ou indirecte, mais toujours de la concurrence ! Outils : * Magazines : Trenstendance, journaux, test-achat, Vif l’Express, Bizz, Capitale, Management * Emission : Question à la une, coûte que coûte, envoyé spécial * Brandialog.be (le consommateur

Européenne, plus de 600 additifs sont autorisés dans la fabrication des produits à base de tabac, ceci dans un cadre législatif extrêmement flou et fortement décentralisé. Bien que les additifs du tabac soient en général contrôlés quant à leur toxicité directe, il n’y a pour ainsi dire aucun contrôle ni évaluation de l’impact de ces additifs sur les comportements tabagiques, ou sur d’autres conséquences néfastes éventuelles. Si l’ajout d’une petite quantité d’une substance relativement inoffensive rend

subordonnées introduites par que .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 9 3 Les subordonnées interrogatives indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 11 4 Les subordonnées circonstancielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

subordonnées introduites par que .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 9 3 Les subordonnées interrogatives indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 11 4 Les subordonnées circonstancielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Stratégies génériques Stratégies de croissance - Dom. par les coûts. - Croissance intensive - Différenciation - Intégration - Focalisation - Diversification Barrières à l ’entrée Fournisseurs POSITION DE L ’ENTREPRISE … Par rapport aux concurrents … Par rapport aux métiers STRATEGIES OPERATIONNELLES Production Finance R&D MARKETING Juridique G.R.H Dr Véronique Boulocher, Edhec Business School Stratégie d’entreprise / Stratégie marketing ANALYSE STRATÉGIQUE DE

et les faiblesses, mais avant on va s’intéresser à l’environnement. L’environnement c’est tout un tas de choses : facteurs culturels, démographiques, sociaux, économiques, politiques, technologiques. *Les producteurs : On va s’intéresser aux concurrents. -La concurrence inter produits -la concurrence inter segments→concernent les entreprises qui proposent des produits ou services de même nature mais qui n’appartiennent pas au même segment (ex : coca-cola et des jus de fruits). -les produits

subordonnées introduites par que .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 9 3 Les subordonnées interrogatives indirectes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ......... 11 4 Les subordonnées circonstancielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

| |Par quel canal (ou canaux)? Utilise t-on un seul canal (par exemple, la presse) ou plusieurs canaux (par exemple, une publicité | |véhiculée par plusieurs mass media, accompagnée d'opérations de promotion des ventes, de marketing direct, de relations presse, etc.) | |Avec quel budget? La dépense de communication et son allocation aux canaux choisis | |Avec quels résultats? Cela pose la question de la mesure de l'efficacité