Cible Joaillerie

croisement du luxe et de la mode pour enfant. 10 1. Le marché du luxe 10 a. Définition 10 b. Tendances du marché du luxe 11 c. L’offre 12 d. La demande 14 2. La mode enfantine 16 a. L’enfant, une nouvelle cible pour les annonceurs. 16 b. Définition et segmentation du marché 17 c. La mode enfantine en chiffres 18 d. Les tendances 19 B. Diagnostic du marché de la mode enfantine haut de gamme/ de luxe 21 1. Tendances 21 a

plus »marque », la marque bâtit toujours un reflet,une image de l’acheteur ou de l’utilisateur auquel elle semble s’adresser. Toute marque doit gérer son reflet. 6. La marque enfin est une mentalisation. Si le reflet est le miroir externe de la cible, la mentalisation en est le miroir interne, vis-à-vis d’elle- même. En effet, à travers notre consommation de certaines marques (ou enseigne)nous entretenons un certain type de relation avec nous-mêmes. Ce sont ces six facettes qui définissent

préciser : - La taille, la structure et le comportement du marché cible. - Le positionnement choisi. - Les objectifs de chiffre d’affaires, de part de marché et de bénéfice pour les deux ou trois premières années. 1. La segmentation. A. Définition. Segmenter un marché consiste à le découper en sous-ensemble distincts de clientèles, chacun de ces groupes homogènes pouvant raisonnablement être choisi comme cible à atteindre à l’aide d’une stratégie marketing appropriée.

des cerises, Replay, H&M. La Concurrence : Au niveau de la concurrence aucune marque n'est autant diversifiée que Diesel car il ne propose pas autant de produits alors que Diesel le fait avec ses jeans, ses accessoires, sa ligne de parfum, la joaillerie... Ils ont donc des concurrents direct et indirect. Pour les jeans nous pouvons trouver par exemple G-star, levi's, le temps des cérises, replay, h&m... Pour les parfums nous pouvons trouver par exemple : D&G Pour la maroquinerie nous pouvons

sa marque à une famille Franco-suisse propriétaire de Bourjois. C’est une entreprise familiale qui ne publie pas ses comtes et qui a le goût du secret. Les domaines d’activités sont la haute couture, le prêt à porter de luxe, la maroquinerie, la joaillerie, les parfums et une gamme de cosmétique renouvelée. * MDD (marque de distributeur) De très nombreuses enseignes de distributeurs ont décidé de faire fabriquer leurs produits et de les revendre sous leur nom d’enseigne. On parle de marques de

concurrence de nouveaux groupes extérieurs à la France (Armani, Gucci, Calvin Klein…) s’est accrue et oblige les entreprises de luxe à adopter des méthodes modernes de gestion - la « démocratisation » du luxe, ou la descente en gamme pour viser une cible plus jeune et occasionnelle (vente en masse de produits), risque d’amoindrir le prestige et le caractère élitiste de ses produits - le risque de cannibalisation guette les activités de deux entreprises d’un même groupe de luxe. La France

EXERCICE 2011 DOCUMENT DE RÉFÉRENCE SOMMAIRE GÉNÉRAL VINS ET SPIRITUEUX MODE ET MAROQUINERIE PARFUMS ET COSMÉTIQUES MONTRES ET JOAILLERIE DISTRIBUTION SÉLECTIVE AUTRES ACTIVITÉS ACTIVITÉS DU GROUPE ÉTATS FINANCIERS AUTRES INFORMATIONS TABLES DE CONCORDANCE HISTORIQUE CHIFFRES CLÉS ORGANES DE DIRECTION ET DE CONTRÔLE AU 31 DÉCEMBRE 2011 ORGANIGRAMME SIMPLIFIÉ DU GROUPE AU 31 JANVIER 2012 LE GROUPE LVMH LA SOCIÉTÉ LVMH MOËT HENNESSY-LOUIS VUITTON RESSOURCES HUMAINES LVMH ET L’ENVIRONNEMENT

au prix de produits aux fonctionnalités tangibles comparables ». Le luxe est un secteur regroupant plusieurs activités : le marché culturel (l’art), le marché des transports (avions privés, yachts…), l’équipement de la personne (haute couture, joaillerie, horlogerie, bijouterie…), loisirs (croisières, sports…), équipement de la maison (arts de la table) et l’alimentaire (vins et spiritueux, restaurants de luxe…) I) Les stratégies de développement des marques de luxe dans les pays développés.

forme de rachat à crédit. Le LBO (Leveraged Buy-Out) est le terme d’un montage juridique et financier de rachat d’entreprise par effet de levier. Une holding s’endette pour racheter la cible, cette dernière payera les intérêts de sa dette et remboursera son emprunt avec les excédents de trésorerie de la cible. Les premiers LBO sont nés aux USA dans les années 70 et la première opération significative en terme de montant fut celle menée par KKR (Kohlberg Kravis Robert & Co), qui a racheté Houdaille

[1: Vincent Veschambre, Le processus de patrimonialisation : revalorisation, appropriation et marquage de l’espace, Les Cafés Géographique, 2 novembre 2007 ] « Pour qu’il y ait patrimonialisation, il ne suffit généralement pas que l’héritage ciblé ait acquis du sens pour un groupe, une collectivité et qu’il ait une légitimation « scientifique » par les spécialistes du patrimoine : il faut également que l’objet patrimonial puisse acquérir une valeur économique. »La revalorisation de l’objet en