Citoyenneté Athénienne Citoyenneté Ouverte

droit international public) ………………………………… 42 La dissertation ………………………………………………………………… 44 Exemple de corrigé de dissertation d’histoire des institutions ………… 47 AVANT-PROPOS par Sandra Szurek Accessible à tous les bacheliers, largement ouverte aux échanges, parfois dès la deuxième année, lieu d’un brassage grandissant des cultures juridiques avec, notamment, le succès des programmes Erasmus, la licence en droit rassemble aujourd’hui non seulement des étudiants de tous niveaux et de toutes

caractéristiques de la cité ? Tout d’abord pour qu’elle soit gouvernable par les citoyens il faut des conditions : • Une population réduite. La plupart des cités grecques comptent moins de 20 000 citoyens. (environ 1/10 de la population à la citoyenneté.) • Une superficie réduite. C’est l’équivalent d’une petite ville d’une moyenne de 25 000 habitants. Avec une zone urbaine et la campagne environnante avec les cultures. Une population urbaine qui vit de l’artisanat, du commerce. La participation

démocratie correspond aux impératifs de fonctionnement des sociétés modernes, où priment l’individu et les libéraux de la raison. La démocratie est un modèle qui s’est développé à travers le monde, en Europe et en Occident principalement. Le modèle athénien est la première démocratie avec 500 citoyens. Clisthène parvient à établir un régime qui évite le retour à l’oligarchie à Athènes. Il instaure alors une règle bien précise : tous les citoyens ont les mêmes droits et devoirs. Ce précepte, appelé

contraire à l'esprit démocratique. III. Le modèle Athénien : une démocratie radicale : - = Première expérience démocratique (fin 6ème av JC) avec organes qui relèvent du droit commun des cités grecques (ex : esclaves, citoyenneté, régime légaliste, loi votée par et pour les Athéniens). - = régime légaliste : repose sur C° écrite qui s’applique qu’aux Athéniens - à Athènes les droits de la cite sont la base des libertés reconnues aux Athéniens  ils sont attribués et crées par les lois. (vst à

contradictoires. Bien qu’étant des prédictions, ces thèses contiennent l’idéal marxiste de la meilleure forme de société. Elles contiennent les mêmes caractères que l’Etat-cité athénien qui était le modèle de l’expérience pour Platon et Aristote et donc le fondement sur lequel repose notre tradition. La citoyenneté athénienne se définissait en outre par le loisir, ce que Karl Marx prédit pour l’avenir. Ainsi, de l’antiquité jusqu’à l’âge moderne, ceux qui travaillaient n’étaient pas des citoyens, et

a rendu le caractère mixte de nos démocraties encore plus visible. H. L. : Vous voulez dire que les Anciens ne connaissaient aucune forme de représentation ? B. Manin : Oui, c’est ce que je dirais. Je ne crois pas qu’on puisse voir le conseil athénien [Boulè] comme un corps représentatif. Les sources identifient l’Assemblée avec « le peuple d’Athènes », mais elles n'identifient pas la Boulè et le demos, soulignant ainsi que le Conseil n’était pas perçu comme le représentant du peuple. La Boulè

a décidé de ne pas reprendre la propriété aux riches créanciers mais il a favorisé le commerce. Il a rendu à Athènes une place de commerce et a permis aux Athéniens de gagner leur vie. Cette réforme était très important car elle a montré pour la première fois que les individus peuvent changer leur position. A partir de là, le peuple athéniens a des droits politiques, il va participer à l’élection des magistrats puis Solon va créer un tribunal populaire qui va être composé de tous les citoyens de

(gouvernement de tous). →Hérodote va essayer de trouver quel est le meilleur régime pour la Grèce. Selon Hérodote, c’est la monarchie. Mais au cours de son existence, la Grèce antique va essayer tous les régimes. →Platon et Aristote, auteurs Athéniens du 4e et du 5e siècle avant JC, ont examiné tous les régimes que la Grèce a connus. Tous les deux constatent que chaque régime politique dysfonctionne. Ils vont donc créer des sous formes de régimes pour essayer de pallier aux problèmes de chaque

institutions a rendu le caractère mixte de nos démocraties encore plus visible. H. L. : Vous voulez dire que les Anciens ne connaissaient aucune forme de représentation ? B. Manin : Oui, c’est ce que je dirais. Je ne crois pas qu’on puisse voir le conseil athénien [Boulè] comme un corps représentatif. Les sources identifient l’Assemblée avec « le peuple d’Athènes », mais elles n’identifient pas la Boulè et le demos, soulignant ainsi que le Conseil n’était pas perçu comme le représentant du peuple. La Boulè

a rendu le caractère mixte de nos démocraties encore plus visible. H. L. : Vous voulez dire que les Anciens ne connaissaient aucune forme de représentation ? B. Manin : Oui, c’est ce que je dirais. Je ne crois pas qu’on puisse voir le conseil athénien [Boulè] comme un corps représentatif. Les sources identifient l’Assemblée avec « le peuple d’Athènes », mais elles n'identifient pas la Boulè et le demos, soulignant ainsi que le Conseil n’était pas perçu comme le représentant du peuple. La Boulè