Citoyenneté Athénienne Citoyenneté Ouverte

pas eu de précédents historiques, parfois oubliés. Ainsi en est-il de la conceptualisation de la Constitution qui a fortement évolué dans la seconde moitié du XXe siècle : la normativisation d’un acte jusque là considéré comme de nature politique a ouvert de nouvelles perspectives à la pensée juridique. Pour autant, il ne faut pas voir là une découverte pure mais bien plutôt une redécouverte. Bien avant le mythe de la souveraineté républicaine de la loi en France qui entraîna selon Michel Troper une

limites, elle ne sert pas à enfermer, classifier, elle sert à tester toutes les possibilités imaginables d'une situation. François Ost dit que le droit dit: « c'est comme ça » alors que la littérature dit: « c'est comme si ». Exemple: le juriste athénien condamne le jeune homme à mort si il assassine sa mère. A la même époque un écrivain Eschyle L'Orestie met en scène l'acquittement de ce même jeune homme et il essaye de démontrer que cet acquittement est un progrès de la civilisation. Deuxième

force, la vertu qui n’est que vertu sont combat est perdu d’avance face a la force et historiquement (les gentils, les bons) doivent etre puisssant. Et l’apparition de la démoncratie athénienne a pour point de départ historique l’assassinat d’un tyran et on va avoir l’instauration progressive de la démocratie athénienne (même schéma dans la rome antique avec l’assassinat de César). Un régime aussi vertu né de la force et du sang (1789, revolution né du débat et du sang) même si apres il utilise la

40 000 citoyens au Vème siècle avt JC et Sparte n’avait pour sa part que 20 000 citoyens au même moment. L’organisation politique des cités : Dans une polis seuls les hommes majeurs pouvaient être citoyens, les femmes elles échappaient à la citoyenneté et se cantonnaient à des tâches ménagères. Les esclaves étaient d’autre part très nombreux dans les cités grecques, il s’agisssait presque d’une personne sur deux.Aristote estimait que l’esclavage était nécessaire au développement économique de

permissions, d’un fonds de valeurs fédératrices, pour relayer en 4 amont l’éducation civique et tempérer l’éclatement des repères comme la diversité, sans précédent pour nous, des appartenances religieuses dans un pays d’immigration heureusement ouvert sur le grand large. Détresses patrimoniale, sociale, morale ? Montée des opacités, des désarrois et des intolérances, des mal-être et des errances ? À ces inquiétudes éprouvées par beaucoup, dont ce n’est pas le lieu d’apprécier ici la pertinence

antique est une cité totalitaire. La cité antique est conçue comme une ruche d’abeille : c’est un tout (=> le concept d’individu juridique n’existe pas : tout le monde est Athénien). * La cité antique a créé le citoyen. Mais la particularité est que le régime de la citoyenneté ne va pas être comparable à la citoyenneté d’aujourd’hui. En effet la cité antique attribuait à très peu de personnes le statut de citoyen => La cité n’est pas faite pour tout le monde (étrangers et d’esclaves) : par

les citoyens. On peut légitimement considérer que l'idée des droits de l'homme germe dans la Grèce antique, les citoyens Athéniens étaient égaux en ce sens que chacun avait la possibilité de se distinguer indépendamment de son appartenance sociale et de richesse ou de pauvreté, mais par contre la participation à la vie de la cité était en définitive une condition de la citoyenneté. Dans ces cités les droits de l'homme étaient absorbés par les devoirs de citoyen. D'un point de vue philosophique

Rafael Cabello Léon et Mme. Maria Victoria Larrauri Elortegui, tous deux professeurs participant à l’expérience plurilingue à l’I.E.S. Miguel de Unamuno de Bilbao. Grâce à ces actions de coopération et de collaboration, nous pouvons faire de la citoyenneté européenne une réalité. ö 5 José Antonio CAMPOS GRANADOS Ministre-Conseiller pour l’Education de la Communauté Autonome du Pays Basque Table des maTières introduction : Que signifie « être citoyen du monde » ? ......................

langage courant et des occurrences du mot juste. * Dans un premier sens, est juste celui qui se comporte honorablement, qui respecte les lois, juridiques et morales ; Aristote prend l’exemple d‘Aristide, général athénien qui s’est toujours conduit avec droiture et qui pourtant avait été exclu de la cité et qui était donc parti en exil. Être un homme juste est être homme courageux, droit, honnête. En ce sens, la justice est la somme de toutes les vertus : courage

Il l’opère à partir de l’étude du langage courant et des occurrences du mot juste. Dans un premier sens, est juste celui qui se comporte honorablement, qui respecte les lois, juridiques et morales ; Aristote prend l’exemple d‘Aristide, général athénien qui s’est toujours conduit avec droiture et qui pourtant avait été exclu de la cité et qui était donc parti en exil. Être un homme juste est être homme courageux, droit, honnête. En ce sens, la justice est la somme de toutes les vertus : courage