Citoyenneté Athénienne Citoyenneté Ouverte

considèrent toujours comme des barbares mais utilisent des relations d'égal à égal. Organisation politique grecque fragmentées, seuls façon de s'unir était lorsque des non grecques les envahissaient. Entre les citées grecques elles mêmes : démocratie athénienne, esclave et femmes pas droit parole en matière droit et politique.. Les relations oscillent entre paix et guerres, citées vivent isolés les uns des autres et indépendantes, essaye de défendre leur souveraineté car ne veulent pas se faire annexer

conflit. Ces lois positives représentes le versant légal d'un droit antique qui a pensé la légitimité sous les aspects du droit naturel. Nous avons deux sources : L'une est législative et l'autre est philosophique. A) Les fondements du droit public athénien. 1) Les 4 grands législateurs : On pourrait dire les 4 grands nomothètes. C'est un phénomène tardif qui apparaît à la fin du 5eme siècle av JC, et il montre que peu à peu ce développe l'idée que des individus pourraient faire la norme. La coutume

Les philosophes grecques sont : Platon, Aristote, Socrate, ces philosophes ont rédiger la constitution de certaines villes grecque et étudie celle-ci, ils ont un rôle dans l'analyse de la démocratie grecque mais qui est la réelle athénienne. Les philosophes ont mis en avant le rôle du législateur dans la création du droit , ils affirmaient la possibilité de remettre le pouvoir entre les mains du peuple. Ils ont distinguer les différentes formes de régime politique en fonction de celui

système normatif ancré dans la Constitution, d'autre part les institutions politiques et enfin les libertés fondamentales garanties par le juge et par la jurisprudence. On peut espérer qu'il aille plus loin et nous invite à un apprentissage de la citoyenneté. Offrir un viatique indispensable à l'épanouissement de l'esprit civique, par la pris de conscience des enjeux de la cité, il peut viser le ravivement de la nature politique de l'homme.   Titre 1 : La source du pouvoir: La souveraineté 

menée par les Grecs ne soit jamais mise en question: même si elle a mené à un débordement de violence figuré dans la fameuse «liste des morts» égrainée par le messager et scandée par les lamentations des vieillards de Suze, il s’agissait pour les Athéniens de répondre à une agression honteuse de la part de Xerxès. Athènes a donc le droit de faire la guerre, et respecte d’ailleurs le cadre légal en s’en tenant au droit dans la guerre: contrairement aux armées perses qui avaient ravagé Athènes et profané

monarchie, apparition du Régime de la Cité= Grèce Classique. Le pouvoir n’appartient plus à une seule personne mais à une communauté. Cette communauté elle-même est cependant réduite à certains habitants : les Citoyens. On parle ainsi de la Cité DES ATHÉNIENS (et non pas d’Athènes). Le fait que le pouvoir ne relève que de certains habitants (les citoyens), on ne peut pas conclure à la présence d1 État (tel qu’on el connaît). 3/ La Cité prend la forme d’une République ; l’État s’établit sous la République

fascistes avec le développement de réflexions racistes. Le critère subjectif est le vouloir vivre ensemble. On oppose souvent la nation au peuple. Le peuple est la population, mais la population dans sa diversité.la notion de peuple est beaucoup plus ouverte que celle de nation. En France, la tradition juridique est qu’il n’y a qu’un seul peuple. En France, nation, peuple et Etat signifient la même chose. On a refusé de parler du peuple corse et pour les ultra marins, on a parlé de « population d’outre

résume pas au sondage, car elle existe avant, elle a évolué au fil du temps, s’est construite progressivement. I) La formation historique de l’opinion publique 1-1- Les processus historiques de formation de l’opinion publique 1-1- L’espace public athénien Le processus historique : A Athènes Vème siècle avant-Jésus Christ, le peuple doit pouvoir s’exprimer, gouverner, prendre des décisions, et il le fait au sein d’un espace particulier, invention de « l’espace public » situé sur l’agora au centre

l'exercice du pouvoir est l'image du pouvoir de l'ancien régime. Dans l’État moderne cet exercice du pouvoir est similaire à celui d'une prison modèle, une double tour avec au centre la tour réservé aux gardiens, cloisonnée en son centre et n'est ouverte vers l'extérieur que par d’étroites meurtrières. Le résultat est que le prisonnier est toujours visible alors que les gardiens doivent être totalement invisibles aux prisonniers. C'est l'image du pouvoir politique dans nos sociétés, une surveillance

que la façon de s’accorder en matière d’art permet de penser les conditions d’un accord de type démocratique, l’art, affirme-t-elle, « nous éclaire sur le sens de concepts politiques centraux des régimes de démocraties libérales, qui sont ceux de citoyenneté, d’engagement, de reconnaissance et de pluralité » 14Dans une perspective assez proche, Thierry De Duve s’interroge sur la place de l’art par rapport à l’idéal démocratique. Il établit un parallèle entre, d’une part, le sens commun esthétique chez