Civ 1ère 13 Juin 2006 Quasi Contrat

La loi applicable au fond dans les litiges Concernant les noms de domaine Rabih CHOUEIRI Faculté de droit Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures En vue de l'obtention du grade de Maîtrise en droit (L.L.M) © Rabih Choueiri, 2006 Université de Montréal Faculté des études supérieures Ce mémoire intitulé La loi applicable au fond dans les litiges concernant les noms de domaine présenté par: Rabih CHOUEIRI a été évalué par un jury composé des personnes suivantes:

du  beau‐parent :  one  ne  peut  pas  parler  de  statut  pour  une  mesure  contractuelle.  Et  le  terme  de  beau‐parent  se  limiterait  plutôt  au  tiers,  sans  vraiment  tenir  compte  des  liens  d’alliance.  Premier  projet  de  loi  en  juin  2008.  Nadine  Morano  a  souhaité  donner  un  existence  juridique  à  la  famille  homoparentale. Cela a provoqué un tollé.  Un projet de loi, le 1er avril 2009, sur l’adoption : diminuer l’écart entre le nombre  des titulaires de l’agrément et le nombre d’enfant adoptables

ressens. Il n’est pas rare que le législateur doit obliger d’intervenir de nouveau pour corriger une loi adopté trop précipitamment. Exemple, la loi du 4 mars 2002 sur le nom, cette loi sera modifiée avant même son entrée en vigueur par une loi du 18 juin 2003. Autre exemple l’ordonnance article 38 du 4 juillet 2005 relative à la filiation, cette ordonnance a été modifier par sa loi de ratification. Dans toutes ces hypothèses l’évolution des mentalités va fréquemment se traduire par une transformation

Introduction Le contrat oblige à respecter la parole donnée. C’est ce qu’énonce l’article 1134 alinéas 1 et 11 du code civil. La deuxième question essentielle est la responsabilité civile. Elle est l’obligation pour une personne de réparer le dommage qu’elle a causé à une autre et notamment le dommage causé par une faute (article 1382 du code civil). En vertu du principe de précaution, il faut prévenir les dommages. Il convient d’exposer ce qu’est la théorie générale des obligations. Il s’agit du

infraction pénale est celle constituée de coups et blessures involontaires sur la mère et donc que l’auteur de l’accident ne doit indemniser que la mère. Cette solution a été notamment affirmée par la Cour de cassation réunie en assemblée plénière le 29 juin 2001 qui admet que l’enfant simplement conçu n’est pas une personne. Cette solution a été et est controversé, et même si elle est rendu en application de droit elle fait apparaitre certains paradoxes tels que certains auteurs l’écrivent : « Mieux vaut

AVANT PROPOS Droit administratif général = notion de contrat, il se distingue d’un acte unilatéral, en ce sens qu’il s’agit dans les deux cas d’un acte juridique (manifestation de volonté ayant des effets de dt), création de droits et obligation réciproques entre les parties contractantes. Existence de contrats soit de dt adm (la qualification juridique d’un contrat de dt privé dépend de la loi => Loi MURCEF 01 = tout marché public est un contrat adm), soit de dt privé. En cas de silence de loi, c’est

débiteur à accomplir une obligation. 2. Les obligations de moyens et de résultats Cette distinction sert à engager la responsabilité de celui qui n’exécute pas une obligation née d’un contrat. Selon le type d’obligation, le débiteur est soit tenu de faire tout son possible pour atteindre le résultat prévu par le contrat, soit il est tenu de fournir un résultat. Dans le premier cas, on se trouve face à une obligation de moyen, dans le deuxième, une obligation de résultat. Exemple : le médecin est tenu

privé si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige et sous la condition d’une juste et préalable indemnité ». Le CC continue dans la même logique en affirmant que le droit de propriété est un droit individuel, naturel et quasi souverain et donne au propriétaire tous les moyens pour se défendre par rapport à ceux qui contestent son droit (ex. les créanciers ou les locataires). Q : ce droit de propriété a-t-il été renforcé ou a-t-il décliné depuis 1804 ? La réponse doit

Poitiers. En 2005, le ministre de la justice, le garde des sceaux, a demandé un rapport sur la personnalité de l’animal, celui-ci fut remis le 10 mai 2005. La conclusion de ce rapport était : pas de reconnaissance de personnalité juridique de l’animal. La 1ère proposition était de créer une 3ème catégorie qui ne seraient ni des choses, ni des personnes, une catégorie intermédiaire, l’ana maxima. La 2ème proposition était de distinguer parmi les choses les meubles, les immeubles et les animaux. En 2008,

le faire selon la conception qu’il s’en fait : importance de l’interprétation et moins à la règle elle-même. Il peut y avoir pleins d’interprétations. Par exemple, le droit civil comporte des textes sur la responsabilité civile (soit qui relève du contrat ou alors une responsabilité délictuelle qui est extra-contractuelle) et certains de ces textes, datant de plusieurs décennies, prennent des cas à part qui n’existent plus. De ce fait, il faut interpréter pour remettre au jour les faits. Ceux qui pensent