Civ 1ère 18 Février 1981

nouvelle. a. En cas de minorité.   Pas de difficulté à admettre qu’un mineur changeant de nationalité puisse devenir majeur si la loi nouvelle abaisse l’âge de la majorité. En droit comparé, l’âge de la majorité se situe entre 18 et 21 ans. En revanche, si l’individu était majeur selon la loi de l’ancienne nationalité alors qu’il ne l’est pas selon la loi nouvelle, on hésitera à le faire redevenir mineur : pas de jsp. b. En cas d’incapable majeur.  

pas engager la responsabilité. Vient de la monarchien où l’on posait le principe que le roi ne peut mal faire. Et ce jusqu’à la fin du 19ème siècle. La responsabilité administrative n’a été reconnue qu’en 1873, dans un arrêt du TC BLANCO du 8 février qui a reconnu que l’Etat peut être responsable et a fixé des limites. La responsabilité administrative est consacrée et elle est en même temps autonome de la responsabilité civile. La responsabilité applicable est une responsabilité indépendante quant

proportionnellement au montant de leur créances. Conséquent de ces faiblesse. De cette égalité subit par les créances est né l’idée de se faire octroyer une sûreté. C’est un droit qui va venir s’ajouter au droit de gage général. 1 I. les définitions 1ère distinction entre sûretés personnelle / sûretés réelles  sûretés personnelles (mécanisme a 3 personnes): elles correspondent toutes à l’idée suivante, outre le droit de gage générale dont il dispose sur la patrimoine de son débiteur, le créancier

Arrêt de janvier 1923, Piccioli : le conseil d’Etat admet que l’administration a un véritable droit de propriété sur ses biens. → La propriété publique maintenant admise doit être exclusive, elle est incompatible avec le régime de la copropriété (CE février 1994, Compagnie d’assurance La préservatrice foncière). → C’est le juge judiciaire qui est compétent pour une question de domanialité. → Tous les biens qui sont propriété d’une personne publique sont soumis à un régime particulier : ce régime est

l’un des dirigeant se trouve être l’un des deux associés. Le promettant n’a pas respecté son engagement, il a violation des droits de l’un des deux bénéficiaires. Dans ce cas, la mauvaise foi est évidente, la Cour de Cassation, dans un arrêt du 10 février 1999, refuse la sanction en nature et ne retient que les dommages et intérêts. Un arrêt très remarqué rendu en chambre mixte, le 26 mai 2006, la Cour décide que le bénéficiaire du pacte peut être substitué dans les droits du tiers acquéreur et devenir

femme exerce une profession séparée, or le mari pouvait l’en interdire. Après la première guerre mondiale, une réforme plus vaste s’est avérée nécessaire tant pour régir les biens personnels que pécuniaires des époux. Intervient alors la loi du 18 Février 1938 qui supprime l’incapacité civile de la femme mariée, et met en place un esprit de collaboration entre les époux au lieu de la toute-puissance maritale qui prévalait jusque-là. Juridiquement, cela se traduit par la possibilité pour un époux

la brevetabilité d’un programme d’ordinateur. Il s’agissait d’une demande de brevet ayant pour objet un procédé destiné à choisir des pigments en vue de la reproduction exacte de tête de peintures. - L’arrêt SCHLUMBERGER CA Paris 15 juin 1981 : considérant qu’un procédé ne peut être privé de la brevetabilité pour le seul motif qu’une ou plusieurs de ces étapes sont réalisées par un ordinateur devant être commandé par un programme ; qu’une telle solution aboutirait à exclure du domaine de

juge peut prononcer la nullité de la vente. (Civil 3ème 10 février 1999). La nullité peut apparaître comme une sanction insuffisante. La substitution du bénéficiaire du pacte de préférence à l’acquéreur finalement choisi par le vendeur ne serait-elle pas plus appropriée ? Longtemps écartée, cette solution a été récemment admise par la chambre mixte de la cour de cassation le 26 mai 2006. Solution confirmé par une décision de 2007 le 14 février par la 3ème chambre civile, toutefois elle laisse la doctrine

Ouvrages généraux et articles - Carbonnier J., Flexible droit, 10 éd, LGDJ, 2001 - Ranouil V., L’autonomie de la volonté, naissance et évolution d’un concept, PUF, 1980. - Thibierge C., Libres propos sur la transformation du droit des contrats, RTD Civ.1997, P. 357 - Jamin C., Plaidoyer pour le solidarisme contractuel, Mélanges Ghestin, 2001, p. 441 et s. Document n° 1 Sacco R., Liberté contractuelle, volonté contractuelle, RIDC 4-2007, pp. 744-747. R.I.D.C. 4-2007 LIBERTÉ CONTRACTUELLE, VOLONTÉ

Cours de Jean-Michel LATTES Maître de Conférences en droit privé Vice-Président de l'Université Toulouse 1 e.mail: jmlattes@univ-tlse1.fr Pages personnelles: http://jmlattes@free.fr Tome 1 (SUITE) ( 1ere partie) Droit social et Gestion du Personnel Année Universitaire 2009/2010 Partie I l'encadrement structurel du droit du travail titre I : Les institutions représentatives du personnel titre II : L'administration du travail titre III : Les juridictions