Comique Faire Réflechir Réflexion

pose une question relative aux motivations des personnages, c’est peut-être qu’ils diffèrent d’un extrait à l’autre. La bonne méthode consiste à confronter les documents, à les comparer pour faire émerger une réponse construite et complète. Il ne faut pas se limiter aux textes présents dans le corpus, mais faire appel à votre culture littéraire et théâtrale, ainsi qu’à la connaissance que vous avez de l’œuvre au programme. Pour la question n°2, il ne faut pas étudier le document iconographique, mais

Ce texte est un texte à caractère argumentatif, c'est donc l'objet majeur de ce conte philosophique. On défend un point de vue, une thèse, des idées... On aperçoit alors 3 démarches argumentatives : Convaincre, faire appel à la raison du destinataire. Persuader, faire appel aux sentiments, à l'émotion du destinataire. Délibérer, peser le pour et le contre pour prendre une décision. Le mouvement culturel et littéraire du XVIII ème siècle Courant de pensées européen qui s'imprègne des

Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique et chevaleresque (cf. le titre de « roi »). En outre, Gargantua et Pantagruel sont initialement des personnages du folklore : le genre des récits populaires

l'œuvre d'Alfieri qui donne à la tragédie italienne son originalité. Au XVIe et au XVIIe s., les auteurs français (Jodelle, Th. de Bèze) essaient de donner à la tragédie une forme qui s'adapte au goût français, luttant aussi contre le genre tragi-comique très en faveur. La Sophonisbe de Mairet, au XVIIe s., marque la victoire d'un genre tragique régulier qui connaîtra son avènement avec Corneille et Racine. Plus tardive en Allemagne, la tragédie passe, au XVIIe s., par des traductions de Sénèque et

fusent : « c’est amusant mais compliqué, on s’y perd avec tous ses personnages ! ». Ils doivent donner quelques caractéristiques (dénouement heureux, conflit amoureux, société bourgeoise…) et le but du genre comique qu’ils ont bien identifié. On peut aussi leur faire citer quelques autres auteurs comiques (certains ont étudié Pagnol ou Marivaux – tout dépend du niveau de la classe.) J’ai ensuite proposé à la classe de lire une présentation de la représentation que préparait le Théâtre de Grenoble

une pièce de théâtre ? Nous traiterons en premier lieu le thème de l’illusion crée par le jeu de masques, dans un second temps nous aborderons les émotions produites sur le spectateur et pour terminer nous exposerons les réflexions et les interrogations du spectateur. Incarner un personnage est pour l’acteur très délicat. Il doit se fondre dans un rôle, s’identifier au personnage et lui donner vie sur scène. Afin de construire l’identité du personnage trois

d’ennui terrible écoutent le discours de Pozzo décrivant le passage du jour à la nuit sur lequel ils vont réagir à leur façon. En quoi cette pièce est-elle représentative du théâtre de l’absurde ? L’analyse de l’imbrication comique - tragique de cet extrait et de la réflexion sur l’existence humaine au travers des personnages y répondra. B , Cet extrait s’ouvre sur une tirade de Pozzo s’adressant aux trois autres personnages : Estragon, Vladimir et Lucky. On relève un contraste dans le

tolérance, recherche d’une sagesse à la mesure de l’homme… Chemin faisant, ces textes permettent de définir un homme nouveau à travers « un modèle social » idéal. Texte 1 – Érasme, Éloge de la folie (1509) p. 406 (L/ES/S) OBJECTIFS ET ENJEUX – Réfléchir sur la vison de l’homme (raison/déraison) et sur le statut du lecteur. – Étudier les paradoxes dans un discours à visée argumentative. LECTURE ANALYTIQUE Le ton de la conversation C’est la Folie, figure allégorique, qui s’exprime à la première personne

quasiment Perette trottiner.3)UnrécitcomiqueLe récit est amusant avec ce thème comique par excellence : la précaution inutile. Utilisé à maintes reprises par Molière à la même époque que se soit dans l'École des Femmes, l'Avare ou La Précaution inutile chez Fatouville (auteur de la comédie-italienne protégée par le roi). Précaution inutile que l'on pressent "bien posé" et puis le modalisateur "prétendait". Autre procédé comique c'est celui de l'inflation ici cette gradation ascendante V10 à 20 "couvée

Dissertation & Commentaire : questions et méthodes 1) La dissertation Définition : la dissertation est un exercice littéraire qui consiste, à partir d'un sujet posé sous forme de question, à faire ressortir son caractère problématique et à montrer dans le détail, la logique de cette problématique. Par exemple, à la question : "Faut-il désobéir aux lois ?" la réponse par "oui" ou "non" ne correspond pas à l'exercice attendu. Il faudra montrer pourquoi et dans quelles conditions l'homme est amené