Comique Qui Fait Reflechir

du Barbier de Séville en 1775 et Le Mariage de Figaro représenté en 1784 fait sa renommée. C’est autour de l’œuvre Le Mariage de Figaro principalement dans sa préface que le sujet incite à réfléchir sur la vision de Pierre Larthomas : « c’est ce miraculeux équilibre de comique et de sérieux qui fait de la pièce un chef d’œuvre ». s La comédie est l’un des deux grands genres du théâtre. Née en

comédie est de faire rire les spectateurs ? sa fonction est-elle limité aux éclats de rire du spectateurs ? Nous verrons tout d’abord par quel procédés la comédie fait rire . Puis nous étudirons ses autres fonctions . Pour commencer nous allons voir tout les procédés comique utilisés dans la comédie . La définition du mot comique est bien claire «  qui provoque le rire , et qui appartient à la comédie  » . En effet , ce sens aussi simpliste soit-il , nous montre bien que ce terme rime avec

le rire, par les personnages et par les situations variées. Nous montrerons ensuite que cette pièce n'a pas seulement le désir de faire rire. Et enfin, nous verrons la place du rire par rapport aux autres ambitions de la pièce. Tout d'abord, le comique prend place avec Sganarelle, notamment pas son caractère. En effet, il montre son avarice : « (Géronimo)Que vous cherchez quelque beau diamant …Mon dieu ! Cela n'est pas pressé ! ». De plus, il hésite a se marier en voyant le caractère dépensier de

par deux maîtres, n’en ayant pas un pour rattraper l’autre. Il s’agit d’une pièce tragique puisqu’Arlequin se fait maltraiter, rabaisser, et battu, tout le temps par ses maîtres, mais Arlequin prend tout avec humour, de plus son double jeux entre ses maîtres pour qu’aucun ne se rend compte qu’Arlequin les « trompe », cela donne une comédie très drôle. Comme le passage où Arlequin se fait frapper par sa maîtresse, et que son second maître le frappe à son tour pour l’avoir déshonoré de s’être laissé

accusation crédible et objective de plus avec le champs lexical du mal Zola pousse les lecteurs a réfléchir il joue sur leur raison et tente de les convaincre et en même temps de dénoncé une injustice. a la fin du 18eme siècle le réalisme est apparu ce genre littéraire qui a pour but de montrer le monde tel qu'il est sans l'embellir est utilisé pour critiquer les défaut de la société comme l'a fait Guy de Maupassant dans son œuvre boule de suif qui se déroule lords l'occupation prussienne.la mise

-> quelque chose de court et d’amusant. « depuis peu », « un matin », « l’autre jour », « après avoir lu ». Utilisation du passé simple. Elle raconte l’échange entre le roi et le vieux courtisan, il y a des témoins. Petit récit mais qui fait rire et réfléchir, en apparence il n’est rien mais il a quand même une signification. * II Une scène de Théâtre A) Une structure théâtrale

L’Illusion comique De Corneille L’œuvre à l’examen La dissertation Par Alain Migé Petits Classiques Larousse -1- L’Illusion comique de Corneille I. LA QUESTION PRÉLIMINAIRE Rappel de la question : « Sur quels différents registres est traité le personnage du fanfaron dans les extraits du Miles gloriosus de Plaute, de L’Illusion comique et du Capitaine Fracasse de Théophile Gautier ? » (Extraits cités dans le « Petit Classique Larousse »). A/Avant de construire la réponse : - Définition

→ Étudier les sources du comique dans la pièce :Le comique visuel : comique de gestes (cavalcades = courses-poursuites ; bastonnades, etc.) et déguisements (Cléante en maître de musique, Toinette médecin, carnaval final) = procédés farcesques.Le comique de langage : jeu sur les noms des personnages (Béline, Purgon, Fleurant, Diafoirus, nom construit sur “foire”, synonyme de “diarrhée”) ;le comique de mots : le jargon médical et le latin ; le comique de répétition (“le poumon”), la cacophonie

caché dans un sac et se fait rouer de coup par un soit disant brigand qui le recherche alors qu’en fait ce n’est que Scapin, le rire dû à cette farce est présent car ici les rôles sont inversés, au lieu que ce soit le maître qui batte son valet c’est le valet qui bat son maître. Ou alors quand Scapin dit à son maître que des Turcs ont enlevé son fils et qu’ils réclament cinq cents écus et que celui-ci répète sans cesse « que diable allait il fait dans cette galère » ici le comique de répétition amène

histoire … comme les silènes du prologue sous des airs goguenards ou alors comme la métaphore alliant le chien et le lecteur. Cependant, à travers ces scènes l’auteur cache derrière ses rires un tout autre sens de ses mots qui va pousser le lecteur à réfléchir tout au long de l’histoire afin de le faire progresser. C’est ainsi que l’on peut se demander en quoi peut-on dire que Gargantua de François Rabelais prête autant à rire qu’il donne à penser ? Autrement dit, nous nous interrogerons