Comparer Rousseau Et Hobbes

11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé des idées essentielles 17 Illustrations

autonomie. De ce fait il semble évident qu’obéissance et liberté sont contradictoires. Il est a priori impossible de se considérer comme libre si l'on est dans l’obligation de se soumettre à des règles allant à l’encontre de notre volonté. On pourrait comparer le fait d'obéir à une règle, un ordre, ou à la volonté d’un ou plusieurs individu à un rapport entre le maître et son esclave. L’enfant mineur n’est pas responsable de ses actes et du même fait il n’est pas libre puisqu’il doit obéir et rendre compte

l’association politique résulte d’un contrat social : Rousseau, Hobbes, Locke. Par exemple pour Hobbes, dans Léviathan une fois que le pacte est passé, contrat de citoyen à citoyen, où chacun renonce à exercer sa liberté naturelle et va se soumettre à l’État , en échange chacun gagne la liberté civile. Pour Rousseau, le contrat d’association , où chacun

irrémédiablement cachée. Rosmini(1797-1855) et Réale, né en 1910, sont également, à citer parmi les nombreux philosophes qui se préoccupent de l'être et du devoir-être dans la lignée thomiste. « L'homme est en tant qui doit être» écrit Miguel Réale. 2. Hobbes (1588-1679) Ce fils de Pasteur occupe dans l'École moderne du droit de la nature, une place éminente. Il a passé sa vie entre une Angleterre et une France également troublées; c'est un pessimiste. A l'époque d'Henri IV en France et de Charles Ier

effet évident que l’homme ne peut plus être tenue responsable de rien puisqu’il ne décide pas et n’a pas davantage conscience de ce qui le fait agir de telle ou telle sorte. « Il n’y a rien qui puisse juger, peser, comparer, condamner notre être, car cela voudrait dire juger, peser, comparer, condamner le tout…Mais, hors du tout, il n’y a rien.  » ainsi est rédigée la dernière phrase de cet extrait qui vient parfaitement résumer la thèse ici défendue par Nietzsche, le jugement

m’a envoyé non pour soutenir ses opinions mais pour exposer les miennes ». La liberté résulte des lois qui assurent la souveraineté du peuple, mais les gouvernants se sentent libres de leurs déterminations. Ils donnent alors raison à Jean Jacques Rousseau dans sa contestation de la démocratie représentative où l’on croit, disait-il, se choisir un représentant alors qu’on se donne un maître. Le choix du type de démocratie exercée permet ou non au peuple d’avoir un impact et de pouvoir participer aux

eux-mêmes est une société malheureuse. Mais en quoi le lien social peut-il réjouir l’homme ? À quelle condition lui apporte-t-il une satisfaction ? Il faut qu’il lui soit avantageux. L’homme n’a pas, sans cela, de raison de le rechercher. Comme le dit Hobbes (Léviathan, XIII) l’homme trouve naturellement un très grand déplaisir dans la fréquentation de son semblable, puisque ce semblable est son égal ou son équivalent, et ainsi son rival. Autrement dit, je ne me lie à autrui que si ce lien n’est pas à

(Kant, Freud) PAGEREF _Toc185584906 h 11 IV. Autrui et la morale PAGEREF _Toc185584907 h 12 A. Ltre-avec nous place dans la dimension de la moralit (Heidegger) PAGEREF _Toc185584908 h 12 B. Les sentiments moraux sont inspirs par autrui (Hume, Rousseau) PAGEREF _Toc185584909 h 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) PAGEREF _Toc185584910 h 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) PAGEREF _Toc185584911 h 15 Conclusion PAGEREF

droit est dans la nature, dans les institutions sociales, qui tendent au juste, à la justice → ordre naturel cosmique. L'Homme n'est qu'un élément d'un vaste ensemble. b) Thomisme : St Thomas d'Aquin → ordre naturel divin. 2) Moderne : a) HOBBES LOCKE ROUSSEAU Droits subjectifs naturels fondés sur la raison humaine → vision subjective du droit, l'individu est au centre. Prétendu universellement vrai. → Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen. b) Création de la Constitution → Contrôle de

comme néfaste dans certaines circonstances. Tout d’abord, lorsque le régime politique est la dictature, la tyrannie, le despotisme ou le totalitarisme. Il s’agit de systèmes arbitraires et cruels dans lesquels l’individu occupe une place secondaire comparé au souverain. Par exemple, le totalitarisme est une doctrine qui accord à l’Etat un pouvoir absolu voire excessif : l’individu n’a pas de valeur en lui-même , il est réduit à l’obéissance. Le souverain peut être Dieu lui-même (théocratie)