Comportement Du Consommateur Pour Achat De Lunettes

COURS DE MARKETING CHAPITRE 3 CHAPITRE 3 – LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR Pour les économistes, le comportement du consommateur se limite à analyser les implications logiques qui découlent de l’hypothèse de la rationalité humaine. Ils considèrent que le comportement réel du consommateur est le reflet de ses préférences et inversement que ses préférences sont révélées par son comportement. Les marketeurs, conscient que la rationalité n’était pas la seule hypothèse à prendre en considération, ont

cadre théorique concernant la problématique de mon travail. Avant même de chercher à vérifier le pouvoir du merchandising en magasin, il convient d'en apprécier la notion et les différentes dimensions pour le consommateur. Le rôle du distributeur va être de porter à la connaissance du consommateur les promotions et les publicités qu'il pratique dans son point de vente. C'est pourquoi le merchandising est couramment utilisée en magasin avec la communication visuelle et la PLV (Publicité sur Lieu de Vente)

elles dans un environnement restreint, déambulent librement dans les Grands Magasins. Elles peuvent désormais toucher les marchandises dont les prix sont affichés et non plus marchandés, comme auparavant. Et c’est bien parce que le comportement des consommateurs et des vendeurs a évolué qu’il me parait intéressant d’effectuer, modestement, une nouvelle étude, en version 2013. Comment ai-je procédé ? L’observation de l'architecture des lieux, la cartographie de la disposition des rayons, la

des objets saisis. Les produits alimentaires et les médicaments contrefaits inquiètent particulièrement.  800.000 parfums, crèmes... ont été saisis. Les grandes marques sont les plus copiées. Au moins sur le packaging.  Les montres, bijoux, lunettes... pour 700.000 unités au total. La saisie la plus spectaculaire de l'année aura été celle de copies d'oeufs de Fabergé. Faux iPhones, Blackberry ressemblants, tout y passe. Les produits les plus à la mode du moment sont les plus copiés. Presque

flagshipstores Grands magasins de 15000 à 30000m² (îlots de marques) 1. Réseaux et canaux de distributionLe canal de distribution (ou filière) : Cf polycopié schéma page 5 et répertoire de mots page 6 Chemin parcouru par le produit pour atteindre le consommateur = intervient une succession d’intermédiaires, le plus souvent interdépendants Sa longueur = mesurée par le nombre d’intermédiaires qui le composent : Canal direct ou ultra-court Canal court Canal extra long 2. L’offre à distance La V

du Travail DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION Module : Action Commerciale Secteur : Tertiaire Spécialité : Commerce Niveau : TS Formateur : A. BARHMI ISTA : Nador Action commerciale OBJECTIT OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU DE COMPORTEMENT COMPORETEMENT ATTENDU Pour démontrer sa compétence le stagiaire doit réaliser des actions commerciales élémentaires selon les conditions, critères et précisions ci-après CONDITION D’EVALUATIONS Individuellement A partir : o d’une simulation

de cancers plus ou moins malins, carcinomes et mélanomes. L’occurrence de ces derniers augmentait mondialement à un rythme vertigineux de 5 à 7 % dans les pays occidentaux au point de mobiliser les instances de santé publique. Mais guère les consommateurs qui, bercés par « Sea, sex and sun » associaient le bronzage à la séduction, la liberté et la réussite sociale. Le marché allait-il bouger ? De l’idée à la découverte Un filtre UVA avait vu le jour en 1973, breveté par Roche (Parsol 1789

plus pauvres du monde sont vertigineux, même si, dans certains domaines, ces écarts tendent légèrement à diminuer depuis quelques années. Notre monde apparaît alors scindé en deux… Effectivement, la consommation définie comme un « ensemble de comportements réalisés par des individus, des entreprises ou un État dans le but de satisfaire des besoins ou désirs. » ne concerne pas le monde entier. Les populations en difficulté ont peu de moyens financiers et peu de propositions de consommer. En ce sens

d'absorption de la P° par le marché (cas des périodes de pénurie). Entreprise  Distribution  Consommateur 1.2 L'optique de vente (1930 - 1950)  Le consommateur n'achètera pas spontanément le produit. Elle faut donc l'inciter à le faire.  L'entreprise ne cherche toujours pas à adapter son produit à sa clientèle mais à l’attirer afin d'écouler sa P°. Comparée à la vente la satisfaction du consommateur est secondaire.  Cette vision s’associe aux économies d'abondance, de consommation de masse

fabricant et le consommateur mais aussi de la publicité On peut désormais trouver cette pratique de libre-service dans différents domaines et endroits. A. Les magasins libre-service Ce principe de libre-service permet aux clients de se servir eux-même avant de régler leur achat à un caissier ou à une borne d'encaissement. Ce type de commerce à l’avantage de nécessiter de moins de personnel qualifié pour servir ses clients. De plus ces derniers sont plus enclins à des achats impulsifs. En