Compétences De La Cour Des Comptes

TGI: Compétence Ce tribunal tranche : les litiges civils opposant des personnes privées (physiques ou morales) qui ne sont pas spécialement attribués par la loi à une autre juridiction civile (tribunal d'instance, conseil de prud'hommes etc...), ainsi que les litiges civils qui concernent des demandes supérieures à 10 000 euros. Il partage sa compétence civile avec le tribunal d'instance. Il a une compétence exclusive pour de nombreuses affaires quel que soit le montant de la demande

du royaume] | | Plan : I. Introduction II. Juridiction du Royaume 1. Juridiction du droit commun : 2.1. Juridictions communales et d’arrondissements 2.2. Les tribunaux du premier Instance 2.3. Cour Suprême 2.4. Cour d’appel 2. Juridiction Spécialisée : 3.5. Juridictions du Commerce 3.6. Cours d’appel d’administration 3.7. Tribunaux administratifs III. Le personnel Judiciaire : 1. Les magistrats 2. Les auxiliaires

détriment de la collégialité. ? § 3. Le principe de compétence : Une juridiction déterminée ne peut pas trancher n'importe quel litige. La compétence d'une juridiction c'est l'aptitude à connaître un procès. Il y a plusieurs niveau de compétence. -Compétence territoriales : critère géographique. C'est la détermination du tribunal géographiquement. Le tribunal territorialement compétent est celui du domicile du défendeur (accusé). -Compétence matérielle/d'attribution: Elle se détermine en

2009 par La Chambre Commercial de la Cour de Cassation limite le pouvoir du conseil de surveillance. La société NRJ Group nomme un président du directoire qui est révoqué par l’organe du conseil de surveillance qui décide de toute façon lui attribuer une rémunération au titre des antérieurs mois. Par une décision postérieure, le même organe décide de lui supprimer cette attribution qui n’était pas encore payée. En conséquence, l’affecté agit en justice devant la Cour d’Appel qui rejette sa demande avec

pluralisme juridique. Ces trois dynamiques ont pour originalité dans le cadre de l’UE de s’être développées de manière simultanée : elles se sont souvent provoquées les unes les autres. L’approfondissement, c’est l’idée d’une extension des compétences. Attention il ne s’agit pas de dire l’UE est en train de tuer la souveraineté des Etats, mais il s’agit de dire qu’on est parti d’un petit noyau, et que par effet de capillarité, il y a des domaines qui sont devenus naturellement des domaines en

types d’interprétation pouvaient être retenus par la CJCE : soit elle interprétait l’article 5-1° de façon autonome, soit selon les règles du droit international privé, on appliquait le droit du juge saisi. Pour la Cour le choix doit être fait en considérant chaque article, en tenant compte des objectifs de la convention dans le but d’assurer sa pleine efficacité : arrêt Tessili du 6 octobre 1976, dans lequel au demeurant elle applique la deuxième solution. Par contre elle a retenu la qualification

La cour européenne des droits de l’homme. Elle est confronté à la question de savoir si tel ou tel organe de l’un des états (ex : France) est une juridiction. La CEDH a une conception autonome de ce qu’est une juridiction. (Un peu un mixe des 2 précédentes). On ne peut donner de définition. La CEDH utilise un faisceau d’indices, d’éléments, de critères et elle considère que lorsqu’un nombre suffisant de ces indices est présent dans l’apparence, la forme, on parlera de juridiction. Compte parmi

retrouvait déjà dans le Traité CECA (Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier), en son article 1969. Pour autant, les éléments les plus importants de la libre circulation des travailleurs salariés résultent de l’article 39 du Traité, dont la Cour de Justice des Communautés Européennes a pu jugé qu’il est directement applicable dans l’ordre juridique interne des Etats membres, c’est-à-dire qu’il confère aux particuliers des droits qu’ils peuvent faire valoir sur ce fondement juridique devant

judiciaire Ce terme désigne l’ensemble des tribunaux et cours du royaume. Le terme tribunal est réservé à des juridictions inférieures telles que le tribunal de première instance (TPI). Par contre le terme cour s’applique aux juridictions supérieures telles la cour d’appel (CA) et cour suprême (CS). Un certain nombre de personne interviennent dans le fonctionnement de ces juridictions : avocats, magistrats, greffiers, experts, adouls ; ce personnel fait partie de ce que l’on appelle le corps

un titre I, des organes judiciaires et dans un titre II, des organes auxiliaires. L'étude des premiers, à savoir les organes judiciaires, conduit l'auteur à opposer dans ce titre I, les juridictions répressives dont la composition, le rôle et la compétence sont analysés, au Ministère public avec sa composition, ses attributions et sa condition. Le titre II présente, quant à lui, les personnes appelées à apporter leur concours au procès pénal. Il s'agit d'une part de la police judiciaire, examinée