Concessif

analogie Dans le raisonnement par analogie[pic], on compare la thèse par une situation comparable et ceci pour défendre cette thèse. Pour discuter le raisonnement, on peut étudier la pertinence des images[pic] utilisées.    3. Le raisonnement concessif Le locuteur semble admettre un fait ou un argument qui s'oppose à sa thèse mais maintient finalement son point de vue[pic]. Pour discuter le raisonnement, on peut analyser si la situation présentée est réellement contradictoire avec la thèse défendue

(paraboles), à la sagesse des nations (proverbes) à des valeurs symboliques ou culturelles partagées (zoomorphisme, mythes)… Ces arguments sont présentés de manière ordonnée dans le cadre d’un raisonnement3 (inductif, déductif, critique, dialectique, concessif, par analogie, par l’absurde…) sous forme de plan et d’une progression argumentative (le plus souvent selon la loi d’intérêt : du moins important au plus important4) où ils sont souvent reliés entre eux par des connecteurs logiques qui jouent le

point » redondante on ne perçoit que l'instant présent. Thème : Fortune et intention qui se répondent démarche intérieur et extérieur. Intérieur c'est ce qu'il maîtrise et extérieur c'est ce qu'il ne maîtrise pas. Il s'agit d'un résonnement concessif : il se contredit mais il ne contredit pas vérité (Comparatif d'égalité « aussi bien qu' » « c'est tout un ») Il met en avant son humanité, il se représente comme le représentant de l'humanité, ce qu'il va justifier par «  comme Michelle de Montaigne

indirecte en passant par le biais d’une anecdote à visée morale . Nous verrons qu’il adopte la technique de l’apologue . La première phrase prône l’observation des faits . L’objectivité du savant . La seconde phrase , sous forme de raisonnement concessif montre le défaut qui pousse les homme à l’erreur . La précipitation . Les gens sont pressés et préfère courir vers des explications toutes faites . Le second paragraphe constitue une anecdote situant le lieu et le moment . L’événement principal

techniques que nous allons voir ici. Nous allons tout d’abord étudier la forme du test ainsi que les différents registres employé par l’auteur. Ensuite nous allons observer l’emploi du regisre polémique par Victor Hugo, ainsi que le raisonnement concessif utilisé pour réfuter la loi du Taillon. Tout d’abord, nous pouvons observer que dans les deux premiers textes, Victor Hugo utilise le registre pathétique : “Pauvre petite ton père qui t’aimais tant”, “supplice”, “Infortunés” afin de faire éprouver

DEMONTRER, CONVAINCRE, PERSUADER * le discours argumentatif  énonciation d’une thèse, étayée/réfutée par des arguments illustrés par des exemples  4 types de raisonnements : déductif, inductif, analogique, concessif *L’éloge et le blâme l’éloge est un genre qui date de l’antiquité (éloge funèbre repris au 17ème sous forme d’oraison (cf BOSSUET), odes en l’honneur des héros)  attention à l’éloge paradoxal ou satirique (blâme caché) comme chez Montesquieu un blâme sert souvent de contre-modèle et

pour les sujets d'argumentation. A) ETAPES DE TRAVAIL AU BROUILLON: I) Analyser le sujet Deux grandes catégories de questions 1. Question ouverte (répondre par oui ou par non) Invitation à débattre, à délibérer : entraîne un plan concessif en deux parties (thèse ; antithèse) Relation de concession entre la thèse (certes) et l'antithèse (mais) 2. Question fermée Thèse implicite, présupposé dans la question : il faut développer la thèse Plan thématique/ commentaire qui découle

plusieurs faits et arrive à une généralité. Le raisonnement par causalité : c’est la validation d’une justification par sa cause. Le raisonnement par analogie : se caractérise par un fait semblable pour justifier une opinion. Le raisonnement concessif : l’énonciateur commence par admettre la thèse de l’adversaire pour la réfuter ensuite. (Ex : Certes, vous avez raison … mais …) Le raisonnement logique : justification scientifique qui s’appuie sur des données.

bonheur religieux = salut, qu’ap la † DG rêve bonheur sur terre → Selon DG bonheur amoureux assuré car réel, palpable Salut repose sur croyances donc réfutable ► sa conception du bonheur finalement + avantageuse que cL Tiberge ► Raisonnement concessif : reconnait d’abord existence bonheur religieux pour finalement montrer que celui-ci n’est qu’hypothétique contrairement au bonheur amoureux.

quelques fois. • mise en évidence du sujet de l’action. thème • réponse à des arguments • structure énumérative. adverses. • actions ordonnées. à thème • raisonnement • structure rythmique et inductif/déductif. phonétique. à thème • raisonnement concessif. • silhouette caractéristique • raisonnement par avec paragraphes. analogie. lexicales • connotations. • vocabulaire rigoureux, • beaucoup de termes • unité dans la description. • vocabulaire spécialisé. marquants le temps et • métaphores filées