Conclusion Taylorisme Toyotisme

Guillaume DuvalL’entreprise efficace à l’heure de Swatch et Mc Donald’s Isabelle DESBREE - Cours de M. Yvon PESQUEUX – Année 2005Guillaume Duval L’entreprise efficace à l’heure de Swatch et de Mc Donald’s La seconde vie du taylorisme 2e édition – Paris, Syros, 2000 (Alternatives Economiques) Table des matières 2 L’auteur 2 Postulats 2 Hypothèses 3 Démonstration

vont être intégrés comme une composante légale d’un système de gestion des conflits. . A partir de ce moment-là, les salariés ont pu participer aux diverses négociations avec les employeurs. L’exemple du Taylorisme/Fordisme dans l’émergence des conflits sociaux en entreprise Le taylorisme est né au début du XXème siècle, dans une économie particulière, il s’agissait d’accompagner des gains de productivités énormes des industries, tout en intégrant des salariés qui n’avaient pas des cultures

une place prépondérante dans le partage de la valeur ajoutée. Mécaniquement, il existe indéniablement selon cet économiste classique un antagonisme entre employeurs et salariés. Cette approche macroéconomique ne s’avère pas bouleversée par les conclusions d’un point de vue plus microéconomique sur le sujet, qui elles aussi font état de cette dissimilitude entre les intérêts de celui qui emploie et de celui qui est employé. Un premier modèle, dit « principal-agent », est proposé par Jensen et Meckling

B) Les différentes conceptions de l’organisation du début du XXème siècle 1) F. Taylor et l’Organisation Scientifique du Travail 1. Contexte C’est dans un contexte de paupérisation que nait le taylorisme. Il faut donner du travail à de nombreuses personnes sans compétences et qui ont faim. A cette époque, aux Etats-Unis, on assiste à un arrivage massif d’immigrants. On se situe dans les prémisses de la Révolution Industrielle et se développe l’idée

croissance, il est aussi favorable à l’emploi. Le progrès technique a aussi des effets qualitatifs I. À court terme • Le progrès technique modifie le niveau des qualifications, à la baisse (ce fut le cas du taylorisme et du fordisme) ou à la hausse (nouvelles technologies, polyvalence du toyotisme). • Il modifie aussi les conditions de travail, en les améliorant ou en les dégradant élimination des tâches les plus pénibles ou dangereuses (ateliers de peinture dans l’industrie automobile…). l’amortissement

Actualité et prolongements. A- Les prolongements. 1- Taylor et Ford. Le 1er argument de Smith qui est l'augmentation de l'habilitée est repris dans le Taylorisme. Le 2éme argument qui est la diminution des pertes de temps correspondant également au Taylorisme. Et le 3éme argument qui est l'invention des machines est aussi repris dans le Taylorisme. Au delà d'un certain seuil on arrive à des effets contre productifs, c'est-à-dire à une baisse de la productivité. On a alors une crise du travail avec

de nombreux sujets peuvent y faire référence. C’est pourquoi il ne faut pas négliger ce thème. Notons encore que, dans ce thème, les sujets sur l’évolution de l’organisation du travail (taylorisme, toyotisme, flexibilité du travail) n’ont pas été proposés depuis très longtemps. Un sujet sur l’extension du taylorisme dans le secteur des services ou sur la flexibilité du travail serait envisageable par exemple. Soyez donc vigilants ! Stratification sociale et inégalités Nous l’avions pressenti l’an

grâce à la mécanisation et l’industrialisation. Ainsi elle nous retrace les débuts des premiers grands détaillants, distributeurs et les systèmes économiques qu’ils avaient mis en place, dont la plupart étaient organisés sur les préceptes du Taylorisme ou du Fordisme. Cela leur permettaient une production en chaine de produits qui n’avaient alors jamais été fabriqués. De cette manière, les américains autrefois « clients » se transformèrent en « consommateurs ». L’histoire passa, en un peu plus

de l’appareil productif. Les salariés doivent désormais être polyvalents et ont davantage de responsabilités au niveau hiérarchique. La production est désormais sur mesure grâce à une plus grande flexibilité du travail ; ce qui nous rappelle le toyotisme des années 1960 au Japon. Daniel Cohen explique tous ces changements par la révolution technologique. Cependant, une théorie vient déjouer celle de notre auteur. En effet, M. Piore et C. Sabel pensent que la nouvelle organisation du travail n’est

permet d’avoir une main-d’œuvre interchangeable au sein de l’entreprise ou aussi sur le marché du travail. Plusieurs approche sur la division du travail : approche rationaliste au niveau technique (fordisme, taylorisme). I- Approche rationaliste : taylorisme, fordisme : 1- Le taylorisme : Taylor est à l’origine de l’OST = organisation scientifique du travail, et de la rationalisation du travail. Il nait en 1856, ne va pas à l’université mais rentre à l’usine et s’oriente vers la mécanique