Concurrence Nestle Danone

AU MAROC : LA CENTRALE LAITIÈRE Introduction I – Présentation de l’entreprise : Centrale Laitière II – le marché au sens large : A : le marché agroalimentaire B : le marché des produits laitiers III – le marché du yaourt L’offre La clientèle La concurrence IV – le marketing mix Les 4P V – l’analyse SWOT A – opportunités et menaces B – Forces et Faiblesses 1 – l’analyse interne de la Centrale laitière 2 – les choix stratégiques 3 – le marketing opérationnel Conclusion I - Présentation de l’entreprise

En 2016, en France, le secteur agroalimentaire générait 16 milliards de chiffre d’affaire, et se place en première position du secteur industriel en France. La France possède plusieurs leaders mondiaux dans de secteur, dont Danone, Lactalis, Pernod-Ricard et quelques autres. On estime le chiffre d’affaire de l’export des industries agro-alimentaire française de 64% vers les pays de l’union européenne et de 36 vers le reste du monde. La finance jour un rôle essentiel dans le secteur de l’agro-alimentaire

2003, la PME savoyarde Rocheclaire repart à l'offensive sur le marché des eaux minérales en créant une eau gazeuse, qui se veut moins chère que la concurrence. Ces petites bulles devraient lui permettre de gagner de nouvelles parts de marché. Avec une vingtaine de grandes marques dont Badoit (Groupe Danone), Perrier, San Pellegrino (Nestlé) ou encore Vichy-Célestins (Castel), les linéaires des eaux minérales gazeuses frôlent aujourd’hui « l'embouteillage ». Et pourtant, la marque O’Bulle

En 2003, la PME savoyarde Rocheclaire repart à l'offensive sur le marché des eaux minérales en créant une eau gazeuse, qui se veut moins chère que la concurrence. Ces petites bulles devraient lui permettre de gagner de nouvelles parts de marché. Avec une vingtaine de grandes marques dont Badoit (Groupe Danone), Perrier, San Pellegrino (Nestlé) ou encore Vichy-Célestins (Castel), les linéaires des eaux minérales gazeuses frôlent aujourd'hui «l'embouteillage ». Et pourtant, la marque O'Bulle (du

le partage des savoirs. Aux coprésidents du groupe projet « Transport Combiné » d’ECR France : AUCHAN DANONE Eaux France Guillaume LUCAS Aurélien GANDOIX Aux membres du Comité de rédaction du groupe projet d’ECR France : BEL CASINO COCA-COLA Entreprise HEINEKEN ITM LESIEUR Esthelle GROSSKOPF François HEBRARD Alban CAPRON Denis-André MESSMER Ivan SAINSAULIEU Jean-Marc BUTEUX METRO NESTLE WATERS STEF TFE TRANSALLIANCE UNILEVER Dominique FILOU Hervé ZELLER Vincent MORGANT Yves PIDOUX Pascal JUGLET

réglementation en gestation : différentes approches dans différentes zones 1e les perspectives (quelles maladies et désordres, quelles réponses, quels développements futurs) 2/ Exemples Kellogg Ensemble Yakult Danone Actimel Nestlé LC1 Raisio Benecol Unilever Becel ; Pro Activ ; I Can’t Believe It’s No Butter ! Eridania Beghin Say Novartis Aviva 3/ Leçons pour Le Client 3a la législation 3b les consommateurs

INTRODUCTION 3 I – Analyse du marché 3 A – Caractéristiques de l’industrie et évolutions récentes 4 B – Modèle de Porter et facteurs clés de succès 5 C – Présentation des principaux concurrents 6 II – Présentation des deux entreprises 7 A – Nestlé 7 B – L’Oréal 9 III – Historique et déroulement de l’opération 11 A – Raison de la création d’Innéov et historique 11 B – Communication 12 C – Conséquences organisationnelles 13 IV – Problématique financière et organisationnelle 14 A – Santé

long terme A) La formulation classique Définition de la cible de manière sensible -> pour… Cadre de la concurrence -> la marque X est… Promesse ou bénéfice -> qui est la plus… / qui apporte le plus de … Justifications -> parce qu’elle a… Le positionnement selon J.N. Kapferer C’est la mise en avant de caractéristiques distinctives par rapport à la concurrence et motivantes vis-à-vis du public. Pourquoi ? Pour quand ? + justifications

des marges qui flirtent avec les 30 %) pour réduire sa dépendance au seul segment du coca. Mais à l’inverse de Pepsi, largement diversifié dans l’agroalimentaire depuis le rachat de Quaker Oats en 2001, et de ses autres grands concurrents, Nestlé, Danone ou Unilever, Coca-Cola reste attaché à sa spécialisation dans les boissons. Résultat, son chiffre d’affaires (29 milliards de dollars) est largement plus faible que celui de Pepsi (39 milliards dont la moitié hors boissons), mais il reste numéro

de répartir les risques entre plusieurs pays : ➢ conjoncture économique, variation monétaire (taux de changes flottants) ➢ risque de dépendance (par la diversification géographique pour l’écoulement des produits ou l’approvisionnement) ➢ concurrence (quelquefois moins forte sur les marchés extérieurs que sur le marché national) ➢ phases du cycle de vie (un produit en phase de maturité sur le marché national peut être en phase de croissance ailleurs) b) procure des avantages concurrentiels :