Contingence Systemique Limites

les principales théories et leurs auteurs • Percevoir les enjeux des politiques économiques Compétences visées L’étudiant doit être capable de : • Maîtriser le vocabulaire économique • Appréhender la rationalité économique et ses limites • Identifier la dimension systémique de l’économie Prérequis Aucun Contenus Introduction - Principes méthodologiques de l’économie - Histoire de la pensée économique - Le circuit économique et le fonctionnement des marchés Notions de microéconomie - Consommateur et

individus au travail. E) Le style de gestion systémique: C'est une vision plus globale et intégrée de l'organisation du travail. Ainsi; les dirigeants professionnels deviennent plus sensibles à la réalité des interdépendances à l'intérieur des ensembles sociaux ; plus sensibles à la relativité et à la spécificité des organisations dans un contexte fluide et changeant, d'où la nécessité pour les dirigeants d'imprimer un caractère de contingence (contingency management) aux modes de gestion

tions réelles permet d’apporter un  éclairage plus nuancé sur les décisions d’investissement des firmes. En effet, contrairement  à  l’approche  traditionnelle,  dans  la  perspective  des  options  réelles,  la  stratégie  d’investissement ne se limite pas à un choix binaire entre « investir » et « ne pas investir ».  Plutôt,  les  décisions  sont  guidées  par  l’exploitation  stratégique  des  flexibilités  et  des  irréversibilités  propres  à  la  logique  séquentielle  des  investissements 

l’homme est l’auxiliaire de la machine dans l’exécution des tâches routinières de production (principes de la division du travail). Par extension, il préconise la spécialisation des dirigeants par fonction : chacun n’ayant d’autorité que dans les limites de sa compétence. H. FAYOL (1915) : ingénieur français de l’école des Mines, il s’est surtout intéressé au travail fait par les dirigeants de l’entreprise. E. MAYO (1920) Chef de file de l’école des Relations Humaines, il est professeur de psychologie

o Le coût de revient, o Le prix pratiqué par la concurrence, o Le prix psychologique émis par le marché. Le prix de vente = coût de revient unitaire + bénéfice net souhaité Si le coût de revient et le taux de bénéfice attendu sont des contingences propres à l'entreprise. La réaction des concurrents nécessite la connaissance de leurs options et comportements, et l'examen de leur situation financière. Dans une économie de marché, c'est le client qui, en définitive détermine la vente. La

Figure 2: Modèle Spacial de Quinn et Rohrbaugh .............................................................. 60 Figure 3 : Modèle Fondé sur la Vision de l’Entreprise ..................................................... 102 Figure 4: Réflexion Systémique pour les axes de Performance ........................................ 103 Figure 5: Grille d’Analyse d’un Indicateur ....................................................................... 120 Figure 6: Scoring Global Selon l’EFQM..............

dans l’économie cubaine depuis le début de la décennie 1990. mots clés : Cuba, éducation, développement, capital humain, économie socialiste Revue d’études comparatives Est-Ouest, 2010, vol. 41, n° 1, pp. 63-92 64 PhiliPPe Bayart 1. les limites de l’Approche théorique du cApitAl humAin pour les pAys en développement 1.1. les incohérences et les incomPlétudes théoriques C’est depuis le début des années 1960 que les questions relatives à l’investissement dans le secteur de l’éducation

Président du Club Finance HEC Professeur émérite à HEC-Paris © Groupe Eyrolles 10 Prologue Le virage d’Obama Le 21 janvier 2010, Barack Obama prononce un discours qui stupéfie le monde de la finance : il affirme vouloir légiférer pour limiter le champ des activités à risque des banques d’investissement. Les banques collectant l’épargne des particuliers ne pourront plus faire de la spéculation « pour compte propre » ni posséder ou financer des fonds spéculatifs (les hedge funds), et leur

succès sont l’adéquation de la large de gamme à la politique des distributeurs (qui exercent une « aimable pression » et à la capacité de l’entreprise de les suivre dans différentes zones du monde. La performance est donc liée à une cohérence systémique avec la partie avale de la chaîne de valeur et n’est plus en premier lieu liée à l’innovation ou au design des produits pris individuellement. La rupture du lien « dialectique » pose problème en termes de maîtrise stratégique du projet, et de

l’entrepreneur (pas seulement économiquement) que si l’ordre socioéconomique dans lequel il s’insère y trouve également un intérêt et en tire de la valeur. A un autre niveau, Verstraete évoque aussi le fait que l’étude de l’entrepreneuriat ne peut se limiter à l’étude de l’entrepreneur pour la simple (et non seule) raison que l’entreprise (ou l’organisation) qui naît de la dynamique entrepreneuriale peut avoir une existence indépendante de son « initiateur », échapper à son contrôle. Les trois auteurs