Contraintes Structurelles Crozier

de la rationalité limitée. - Heuristiques, biais cognitifs, feedback, système d’information, cybernétique. - Coalitions dominantes, jeu politique. - Apprentissage organisationnel, changement organisationnel. Les théories de la contingence structurelle - Burns et Stalker - Joan WOODWARD - Lawrence et Lorsch - H. Mintzberg 1961 1967 1967 1974 - Différenciation / intégration. - Adéquation structure (contingence). - variables de contingence (taille, technologie, caractéristiques de l’environnement

aujourd’hui confrontées à un environnement changeant, la législation européenne évolue et contraint ces organisations à ouvrir leur marché national, sur lesquelles elles se situent généralement en position de monopole, aux concurrents étrangers. Ces nouvelles exigences bousculent les habitudes de gestion ainsi que les salariés car le sentiment de sécurité tend à s’évaporer. A la veille d’une transformation structurelle majeure annoncée à la SNCB, nous analysons le processus de promotion interne afin

l’organisation  Chapitre II : les approches théoriques du pouvoir dans les organisations  Section I : pouvoir légitime selon max weber Section II : les 4 piliers de l’analyse stratégique selon Crozier Et Friedberg Section III : Les formes de coalitions et les modèles du Pouvoir Organisationnel selon Mintzberg Chapitre

uniques et standards » Remise en cause du principe universaliste selon lequel « tout se vaut » Au niveau de l’organisation, la contingence est structurelle: en effet, les changements dans les variables externes (technologies, marchés, etc.) provoquent des évolutions dans la structure même des organisations Les théories de la contingence structurelle Travaux amorcés dès 1963 avec T. Burns et G. Stalker étudiant l’impact de l’environnement de vingt firmes en Grande-Bretagne (cf. Texte 1, Séance

supériorité qui impose sans contrainte le respect et la soumission[5] ». Et elle fait référence à la loi et aux systèmes d’organisation. | |Dans le domaine social, le pouvoir est « La probabilité qu’un acteur soit en mesure d’imposer sa volonté dans le cadre d’une relation | |sociale, malgré les résistances éventuelles et quel que soit le fondement sur lequel repose cette éventualité[6] ». De nombreux sociologues, notamment M. Crozier et E. Friedberg[7], se sont

types de centre et de l’architecture politico historique de l’espace d’étude, les défaillances repérées dans les structures y sont quasi identiques. Celles-ci se situent à trois niveaux : les conduites des soignants, les tares des structures et les contraintes relevant des pouvoirs publics. Les conduites des soignants tournent autour : - des difficultés psycho sociales (absence de courtoisie, atteinte à l’intégrité morale et physique, ambiance tendue des structures, non collaboration avec les patients

l'évolution économique ▪ Schumpeter met en évidence le rôle déterminant de l'innovation dans l'impulsion du système économique. Il prend comme point de départ une économie stationnaire, nommé circuit économique, et dont les différents éléments structurels se reproduisent à l'identique. La logique de ce circuit économique est celle de l'équilibre général : les mouvements adaptatifs des prix assurent l'adéquation entre les différentes variables économiques, et chaque facteur de production est rémunéré

ensemble pour parvenir à un but commun. Comment distinguer une « organisation » d'autres groupements d'individus? -Deuxième approche : définitions de théoriciens « L'organisation est une réponse aux problèmes de l'action collective » (M. CROZIER) « L'organisation se définit comme une action collective à la poursuite de la réalisation d'une action commune » (H MINTZBERG) « L'organisation est une forme sociale qui, par l'application d'une règle et sous l'autorité des leaders, assure la

HBS : le défi du changement structurel I. Analyse de la situation de l’entreprise 1. Au sein de l’entreprise HBS, lors du diagnostic stratégique, on constate les, forces, les faiblesses, les opportunités et les menaces suivantes : |Forces |Faiblesses | | |

sociologie des organisations. Henri Amblard et Philippe Bernoux (1996) considèrent ainsi que les travaux de Jean-Daniel Reynaud appartiennent à la tradition classique de sociologie des organisation française, aux côtés de l'analyse stratégique de Michel Crozier, dont il s'inspire par ailleurs très largement. Classique, son approche n'en demeure pas moins d'une grande actualité et permet de jeter un regard toujours pertinent sur les dynamiques qui traversent les organisations. Jean-Daniel Reynaud offre dans