Contraintes Structurelles Crozier

pas d’innover, il se distingue du simple inventeur par la capacité et la volonté qu’il mettra à développer son projet et à le concrétiser. Tout projet passe par plusieurs phases : 1. Le choix d’une idée 2. La réalisation du projet (analyse des contraintes, la recherche des ressources : géré les ressources matérielles et techniques disponibles) 3. Mesures d’aide à la création (APCE : agence pour la création d’entreprise) Intraprenariat : Favoriser et valoriser l’esprit entrepreneurial parmi les salariés

université, 2000, p. 91. BO, SA 2009, Sociologie des organisations 1 Deux séries de questions caractérisent en fait la démarche des théories de la contingence. Quels types de variables affectent les caractéristiques (le plus souvent structurelles) des organisations, et jusqu’à quel point ? Quelle est l’influence de ces caractéristiques sur le niveau de performance de ces mêmes organisations ?3 1. La théorie de la contingence : les organisations mécanistes et organiques À l’origine

d'organisation bureaucratique, comme le remarque M. CROZIER, c'est en effet qu'il utilise, pour obtenir la nécessaire conformité entre ses membres, une forme de pouvoir si rigide qu'il ne peut se corriger en fonction de ses erreurs et n'arrive à s'adapter au changement qu'à travers des crises. LES REFORMES Les défaillances structurelles et managériales Le fonctionnement de l’Administration est handicapé par un certain nombre de déficiences structurelles et managériales dont les plus significatives sont

dans des problématiques particulières et à des niveaux différents. Ainsi, le juriste peut l’employer pour désigner l’une des fonctions de l’État (pouvoir législatif, exécutif, judiciaire) ou l’économiste pour désigner une firme qui s’affranchit des contraintes de la concurrence pure et parfaite (elle dispose d’un certain « pouvoir de marché » quand elle est price maker). De même, les lieux de l’exercice du pouvoir frappent par leur diversité : État, famille, entreprise, association, Église… Les ins-

secteur privé. Les modèles de l’ajustement structurel partent de la critique du modèle précédent et prétendent s’attaquer aux causes de son échec: des privatisations opposées aux nationalisations, l’ouverture au marché mondial opposée au protectionnisme, l’exportation opposée au marché intérieur, etc. La décentralisation est une des formes prises dans les rhétoriques et les pratiques du développement pour accompagner les politiques d’ajustement structurels. A partir des années 90, de véritables politiques

seulement des sociétés de l’auto contrainte B) POUVOIR, INTERACTION ET HISTORICITE 1) Michel Crozier Michel Crozier s’est fait connaître par une analyse du phénomène bureaucratique. Il a travaillé sur la catégorie des employés, il est l’un des pères de la sociologie de l’organisation. Dans cette sociologie, il y a bien des acteurs qui sont en capacité de suivre, d’élaborer des stratégies. Ce sont des acteurs rationnels. Ces acteurs disposent de ce qu’appelle Crozier la « rationalité limitée » :

2. recrutement et intégration : recrutement = greffe et engagement durable ; il est long et coûteux (recrutement + intégration et familiarisation) ▪ stimulation des RH : 1. rémunération : 2 contraintes : compétitivité externe ; équilibre interne. 2 principes de base : personnalisation (modèle à statut et à résultat) ; simplicité des modes de calcul (svt, on met en place des systèmes d’intéressement individuels et collectifs) => motiver et inciter

deux structures. Par exemple, Pierre GOURMARD envisage de transférer deux salariés ayant plus de 20 d’ancienneté à la Direction de la nouvelle boutique. 6) * Le phénomène de résistance au changement développé par le sociologue français M. CROZIER n’a rien de pathologique. En effet, il repose sur des phénomènes d’inertie psychologique et sociologique ce qui est tout à fait compréhensible. La modification de la situation des acteurs les perturbent car ils doivent faire face aux changements

Michel CROZIER / FRIEDBERG : théorie et pratique de la démarche de recherche (in l’acteur et le système) Section 1 : Le chercheur devant son terrain 1. La logique de l’induction Analyse stratégique = récuse et les relativisant les déterminismes du contexte, de la « structure objective », la question qu’elle pose est celle des contraintes spécifiques que font peser par exemple la capacité d’action, le développement et le changement d’un ensemble, mais pas vraiment de réponse car les contraintes restent

Au plan social : les besoins des salariés de davantage de responsabilité et d’autonomie. NB : à ne pas confondre avec les facteurs internes comme les choix stratégiques, la croissance des effectifs ou du chiffre d’affaires Les entreprises sont contraintes de s’adapter à un environnement caractérisé par des changements rapides et par une complexité liée à ses nombreux acteurs. Les entreprises doivent donc opter pour des structures plus souples. Lorsqu’elles sont trop fortement structurées, leur adaptation