Contraintes Structurelles Crozier

Pour M. Crozier, le pouvoir est une relation d’échange. Une négociation implicite s’établit en permanence entre le supérieur hiérarchique et son subordonné. Ce dernier exerce d’ailleurs un contre-pouvoir, plus ou moins important, lié au rôle qu’il joue dans le service ou la division et aux informations auxquelles il a accès. Le subordonné accepte de jouer son rôle et de rester « à sa place », tant qu’il juge que les gratifications qu’il reçoit sont suffisantes. En effet selon M. Crozier, chaque salarié

intentions des acteurs qui y sont impliqués. En d'autres termes, le fait décisionnel est le résultat d'un processus qu'il convient de reconstituer en scrutant le contexte dans lequel il s'est développé; ce contexte prend le plus souvent la forme de contraintes sociales qui contrecarrent — voire rendent 3 inopérantes — les velléités d'action individuelles et les stratégies volontaristes. 4 A partir de ces deux couples d'opposition, Mintzberg propose une classification ordonnée des dix courants

 1941, p. 53 5 Follett, 1949, p. 14 2 3 La prise en compte de la complexité humaine : Crozier et March  Pour la hiérarchie, l’homme de Mayo et de Maslow est plus difficile à diriger que celui de Taylor. On va franchir un pas  de plus dans la complexité avec les travaux de Michel Crozier.  On a pu dire que pour Taylor l’homme se résumait à des bras et que Mayo s’était préoccupé de son cœur. Crozier, lui,  s’intéresse à sa tête. Il mène un travail minutieux d’observation dans de grands établissements de la Poste et du SEITA 

limité de subordonnés. FREDERICK WINSLOW TAYLOR (1856-1915) : Américain Postulats : Il est possible d’organiser rationnellement une entreprise : pour lui permettre d’atteindre le meilleur résultat et en tenant compte des circonstances et des contraintes. Il est possible d’organiser rationnellement tous les moyens (y compris humains) : En vue de l’objectif de l’entreprise. Le contexte : Les usines américaines du milieu du 19e siècle. C’est le début du machinisme Univers de la tradition, de l’empirisme

merci à ma famille et à mes amis. 7 SOMMAIRE Première partie : Un cadre d'analyse contextualiste et auto-réflexif Chapitre I - Les dimensions des changements organisationnels 34 Section 1 - Les changements comme réponse à des contraintes contextuelles 36 2 Vers de nouveaux modèles d'organisation 36 1.2 tel-00476507, version 1 - 26 Apr 2010 1.1 Le choix d'une approche configurationnelle enrichie 44 Section 2 - Les changements comme expression d'une intentionnalité

D’autre part, il représente une hiérarchie formelle, celle qui est écrite alors que la vraie hiérarchie est celle qui est informelle, qui existe vraiment dans l’entreprise. Approche sociologique de l’organisation On va utiliser une définition de CROZIER. Il dit qu’une organisation est une réponse à un problème grâce à une action collective. Autrement dit, l’organisation n’est pas une donnée naturelle. L’organisation est donc un construit social. Comme c’est une construction, il est remis en cause

accidents dans les piscines, les principaux résultats sont obtenus avec le modèle théorique de Crozier et Friedberg. Ceux-ci créent le Système d’Action Concret (SAC) qui se définit par trois composantes : l’auteur et sa rationalité, l’acteur et le système et le pouvoir comme capacité d’action. Ils cherchent à comprendre ce qui pousse les acteurs à agir en fonction de quels buts et de quelles contraintes. Enfin, le modèle d’analyse et la problématique qui synthétise les causes des accidents avec

manières d’analyser ces conflits. Nous allons donc étudier dans un premier temps le processus de conduite du changement, nous verrons par la suite selon différents types d’analyses le cas Jouo, nous expliquerons aussi les différentes configurations structurelles présentes dans ce cas, puis pour finir nous étudierons les différentes réformes possibles à travers le cas Jouo. I/ Processus de conduite du changement 1) Contexte du changement L’entreprise Jouo est coincée, leur investisseur les a

d’entreprise et dimension interculturelle La synthèse de Mintzberg .III. L’approche des organisations par les praticiens : Sloan, Drucker, Gélinier .IV. Les approches sociologiques de l’organisation 4.1 L’organisation comme un construit social : Crozier- Frieberg 4.2 La régulation sociale : J.D Reynaud 4.3 Le rôle des acteurs dans le processus d’innovation –la théorie de la traduction de Calon et Latour 4.4 Les logiques d’action de Ph. Bernoux 4.5 L’organisation comme coalition d’acteurs : approche

nouvelle correspondante ou dynamiser une activité existante. La logique entrepreneuriale implique donc une capacité à anticiper, à se projeter et à innover. Elle suppose également la mise en œuvre d’un projet entrepreneurial cohérent articulant contraintes, compétences et ressources. La logique entrepreneuriale fondée sur la prise de risques se distingue ainsi de la logique managériale qui consiste, pour le manager, à optimiser les ressources qui lui ont été confiées. Ces deux logiques peuvent cependant