Coût d'opportunité

 Structure financière et coût et de capital Réalisé par : Sous la direction de : Lalou Zineb M. Abdelkrim KANDROUCH OuakimSoukaina ZaimiSoukaina Année universitaire : 2012/2013 Sommaire : Introduction……………………………………………………………………………………..3 Chapitre I : La structure financière de l’entreprise………………………………………….4 1- Caractéristiques des dettes et des capitaux propres…………………………………

« C’est compliqué »  Beaucoup de « spécialistes scientifiques » se plaisent à compliquer les choses afin de conserver un monopole et pratiquer ainsi des honoraires élevés. • « On gagne en haute saison, pas en basse »  En réalité, le calcul d’opportunité est rentable dans les deux cas puisqu’il permet une augmentation du prix moyen en période de forte demande et une augmentation du volume en période de faible demande. • « Le Yield s’adresse aux hôtels de grande capacité »  On peut parfaitement

le CSP et ses clients internes n’est donc pas toujours maîtrisée. Les prestations fournies par le CSP ne sont encore que très rarement facturées " à la valeur " à ses clients internes. Le pilotage de la performance du CSP intègre bien le triptyque " coût / qualité / délais ", mais les indicateurs suivis ne servent que rarement pour une rétribution variable des personnels de production du CSP. Quelles sont les attentes vis-à-vis des CSP ? Quels sont les bénéfices constatés de ce type d’organisation

Certes, la baisse est encore faible, mais la tendance est déjà là. Elle confirme ce qu'avait dit un autre courtier, le réseau d'agences TREVI, via son indice trimestriel. La question est donc de savoir s'il faut s'attendre à des achats d'opportunité d'ici quelques mois. Pour le moment, il est difficile de répondre à cette question car le marché immobilier est un peu en attente. Il est vrai que face à l'incertitude économique (taux d'intérêt, Bourse, inflation...), tant les acheteurs que les

temps ou notre argent pour satisfaire mes besoins. Ce sont des coûts explicites. Je subis aussi des coûts implicites qui sont la renonciation à faire quelque chose au profit de ce que j’ai choisi de faire. Ces coûts implicites sont des coûts d’opportunité. C’est en effet le fait de ne pas avoir pu exploiter d’autres choix au profit d’un choix, le sacrifice d’un besoin au profit d’un autre. La rationalité de l’action : La rationalité de l’action est une action qui vise à utiliser ses ressources

Réduire la menace des fournisseurs et des clients puissants Inconvénients de l’intégration verticale * coût d'entrée élevé * risque de sous-production ou surcapacités * problèmes liés à la restructuration * risque de contamination d'un "maillon malade". * Risque de déséconomies d’échelle * La rigidité de gestion * La bureaucratie * La perte d’opportunités * Confrontation de nouveaux métiers, de nouvelles cultures Conclusion Quand ne faut-il pas entamer

externe est une analyse du macro-environnement et du microenvironnement de l’organisation en termes de menaces et d’opportunités. Menaces : Macro-environnement : • Les coûts des transports maritimes sont en augmentation d’après MECCANO, ils ne sont pas réguliers à cause des fluctuations du prix du pétrole et de la crise. Cette incertitude sur les coûts de transport se répercute sur le coût de revient des produits. • Les affaires qui ont mis en cause la qualité du jouet made in china ont générés une

côté de cela il faut mesurer le coût pour le client comprenant notamment le coût psychologique (=coût de renonciation à un produit similaire : on a 10€, deux films nous intéresse A et B, le coût psychologique est d’aller voir le film A et de renoncer au film B). Ainsi, le rôle du marketing va être de rassurer le consommateur : réduire les dissonances cognitives. Le rôle premier du marketing est de maximiser la valeur délivrée au client (=Valeur globale perçue-coût global payé par le client). Pour

consommateurs réagissent aux prix des biens et des services ainsi qu’aux forces qui déterminent ce prix. Avant toutes choses, il est important de faire la distinction entre le prix monétaire et relatif d’un bien. Le prix relatif d’un bien est son coût de renonciation ou encore le rapport entre le prix monétaire (nominal) de ce bien et celui d’un autre bien. Il est donc déterminé par l’offre et la demande. En pratique, le prix nominal d’un café est de 1,50 $ tandis que celui d’un beigne est de 1

19Méthode d’évaluation ........................................................................................................................19Ecart entre la valeur d'acquisition et la valeur de marché ou de réalisation........................19Le coût de revient comptable des produits finis............................................................................20CHAPITRE 3 : EXAMEN DES LIENS ET DE L’USAGE DE LA COMPTABILITEGENERALE LORS DE L’IMPLEMENTATION D’UNE COMPTABILITE ANALYTIQUE.....