Cratyle Hermogène

croit alors on obtient la guérison. D'autre part, dans le Cratyle, Platon s'interroge sur la vérité du langage verbale. Dans la forme du dialogue théâtrale, Socrate combat deux thèses opposées, celle de Hermogène, qui soutient que les noms sont justes en fonction d'une convention (Nomos) et celle de Cratyle, qui soutient que les noms sont justes par nature (Physis). (est ce que les signes sont arbitraire ou motivés?) Ainsi le Cratyle pose toutes les question pertinentes pour la sémiotique à venir :

source, ou encore les archétypes, des idées des hommes, le modèle des réalités que les hommes produisent tout en s’en inspirant. Cette thèse est exposée notamment de la République 7 (« Allégorie de la caverne ») et aussi dans le Cratyle (386 a-386 e) où Platon explique à Hermogène (porte parole de Protagoras) que un « homme bon » et un « homme méchant », ce n’est pas identique, et que par conséquent le bien et le mal ne sont pas équivalents ni interchangeables. 3) Les arguments de Montesquieu

les payait ; je ne saurais donc 50 moi-même vous le dire.) » B. Le cratylisme : les mots sont une copie du réel. Platon, Cratyle. Il s’agit d’un dialogue dans lequel Hermogène défend la thèse suivante :  «  Aucun objet ne tient jamais son nom de la nature, mais de l’usage et de la coutume de ceux qui l’emploient et qui en ont créé l’habitude. » Alors que pour Cratyle les noms des choses dérivent de leur nature. Les noms ne seraient pas arbitraires conventionnels mais seraient le reflet des

demeure à jamais énigmatique, on peut réfléchir aux hypothèses suivantes : Pour Platon ( dans le Cratyle ), le langage serait, soit ce qui nous permet, si nous nous en donnons la peine, de connaître ce qu’est véritablement la nature des choses car il existerait pour chaque objet une juste dénomination ( thèse exprimée par Cratyle du caractère naturel des noms ), soit, selon son interlocuteur Hermogène, un outil d’origine culturelle, conventionnelle, inventé pour communiquer. En fait, pour Platon,

exclamations semblent mimer les phénomènes réels ne doit pas nous leurrer : il s’agit en fait de cas assez rares et donc d’importance secondaire. Ce problème de l’arbitraire du signe fut déjà abordé par Platon dans son dialogue Cratyle, où les deux personnages, Cratyle et Hermogène, défendent des thèses contraires : le premier pense que si le nom représente justement l’objet, il doit lui ressembler jusque dans ses éléments derniers (cad que certaines lettres, par exemples, représenteront mieux la douceur

respect de la religion et l’imposera dans ses Lois. Outre la gymnastique et la musique, qui faisaient le fond de l’éducation athénienne, on prétend qu’il étudia aussi le dessin et la peinture. Il fut initié à la philosophie par un disciple d’Héraclite, Cratyle, dont il a donné le nom à un de ses traités. Il avait de grandes dispositions pour la poésie. Témoin des succès d’Euripide et d’Agathon, il composa lui aussi des tragédies, des poèmes lyriques et des dithyrambes.Vers l’âge de vingt ans, il rencontra

respect de la religion et l’imposera dans ses Lois. Outre la gymnastique et la musique, qui faisaient le fond de l’éducation athénienne, on prétend qu’il étudia aussi le dessin et la peinture. Il fut initié à la philosophie par un disciple d’Héraclite, Cratyle, dont il a donné le nom à un de ses traités. Il avait de grandes dispositions pour la poésie. Témoin des succès d’Euripide et d’Agathon, il composa lui aussi des tragédies, des poèmes lyriques et des dithyrambes.Méline GrenierMéline GrenierMéline

chose comme si le nom s’imposait de lui-même. _Ensuite le dialectitien, celui qui se sert du langage pour exposer la vérité va déter si mot convient. CoNclUsiOn : Fixer le nom n’est pas offert au premier venu, n’est pas arbitraire, donne raison à Cratyle et va plus loin en disant que celui qui donne le nom est celui qui a le regard attaché au nom naturel de l’objet cad celui qui sait en imposer la forme aux lettres et aux syllabes. En quoi consiste la justesse naturelle du nom ? ( adéquation à la

de lui-même. _Ensuite le dialectitien, celui qui se sert du langage pour exposer la vérité va déter si mot convient. CoNclUsiOn : Fixer le nom n’est pas offert au premier venu, n’est pas arbitraire, donne raison à Cratyle et va plus loin en disant que celui qui donne le nom est celui qui a le regard attaché au nom naturel de l’objet cad celui qui sait en imposer la forme aux lettres et aux syllabes. En quoi consiste la justesse naturelle du nom ? ( adéquation

Les grecs consideraient leur langue comme réele possible, fruit de la nature, pas un phénomène social. Chez Platon, il y a un questionnement sur la langue dans le texte « le cratyle » (3 personnages qui ont chacun une perception(理解) différente du langage --- Cratyle, Hermogene, Socrate) Position de Cratyle : le cratylisme = chaque son représente directement une idée ; les combinaisons(組合) conceptuelles(概念的) d’idees qui sont des mots. -> Cralyle a tort(錯的) parce qu’il existe énormément