Crozier Merton Boudon

Social Action (@@@@) D. EASTON, N. SMELSER, S.M. LIPSET, S. KELLER, etc. Licence de Sociologie1ère année Année universitaire 2005-2006 Histoire de la sociologie : Ronan HERVOUET -9- III- Le paradigme de l’analyse fonctionnelle Robert K. MERTON (1910-2003) : Éléments de théorie et de méthode sociologique (1949) IV- La montée des oppositions R. DAHL : Qui gouverne ? (1961) G. LENSKI : Power and Privilege (1966) R. DAHRENDORF ; Classes et conflits de classes dans la société industrielle

l’acteur, c’est considérer la rationalité du comportement de l’acteur. Pour cela, on prend en compte la situation (Crozier et Friedberg parlent de contraintes organisationnelles. Boudon parle d’effets de position) dans laquelle l’acteur évolue et les dispositions à la fois intellectuelles et physiques qui le caractérisent (Crozier et Friedberg parlent de contraintes individuelles,Boudon d’effets de disposition). Le comportement de l’acteur n’est alors que le résultat rationnel de l’interaction entre

d’agir : Stratégie : Contexte : Effet émergent : Illustration de l’individualisme par la théorie de Crozier en termes de zones d’incertitudes : Michel Crozier est un sociologue (du XX s) des organisations. Les organisations ne sont pas des systèmes planifiés mais des constructions incertaines qui émergent des jeux de pouvoirs mener par leurs membres. Les calculs de stratégies intéressent Crozier. Le concept de système d’action concret. Ce sont les actions des individus qui vont construire l’organisation

C – Interactionnisme symbolique D - L’ethnométhodologie III. Dépasser les oppositions et les réflexions des sociologues français Opposition en Bourdieu et Boudon, opposition entre les manières de comprendre les problèmes français. A – Structuralisme : Bourdieu B – L’individualisme méthodologique : Boudon C – Paradigmes contemporains Bibliographie La construction de la sociologie, Berthelot, Que sais-je ?, 1991 Histoire des pensées sociologiques, Delas et Milly Histoires

interpréter les faits sociaux en termes de lois. A partir du moment où les individus interviennent dans un système, on doit tenir compte de la subjectivité des individus qui ont des marges de liberté au niveau de la pensée et du comportement. * Boudon : pour rendre compte des faits sociaux, il faut partir des individus et des raisons qui les poussent à agir. « … expliquer un phénomène social, c’est toujours en faire la conséquence d’actions individuelles » Il faut tenir compte des raisons

une réduction du prix de vente car la concurrence rétablit toujours l’égalité entre ces deux prix sans que, pour autant, l’entrepreneur le désire. Il y a là une action non logique selon V. Pareto et un effet inattendu selon l’angle d’analyse de R. Boudon. Chap III°) Du développement de la sociologie au XX° siècle : a propos de quelques écoles et de quelques problématiques. L’école de Chicago Le « théorème de Thomas » s’énonce de la façon suivante : « Quand les hommes considèrent certaines situations

sociologie des organisations. Henri Amblard et Philippe Bernoux (1996) considèrent ainsi que les travaux de Jean-Daniel Reynaud appartiennent à la tradition classique de sociologie des organisation française, aux côtés de l'analyse stratégique de Michel Crozier, dont il s'inspire par ailleurs très largement. Classique, son approche n'en demeure pas moins d'une grande actualité et permet de jeter un regard toujours pertinent sur les dynamiques qui traversent les organisations. Jean-Daniel Reynaud offre dans

Simon et la rationalité limitée 36 II) Les limites concrètes de la rationalité 38 III) Les approches décisionnelles des organisations 39 Conclusion 44 Chapitre 6 : Approches sociologiques des organisations 45 I) Boudon et l'individualisme méthodologique 45 II) Crozier, Friedberg et l’analyse stratégique 46 III) Sainsaulieu et l’identité au travail 48 IV) Reynaud et la régulation conjointe 49 V) Giddens et la dualité du structurel 50 Conclusion 51 Chapitre 7 : Approches économiques

ensemble pour parvenir à un but commun. Comment distinguer une « organisation » d'autres groupements d'individus? -Deuxième approche : définitions de théoriciens « L'organisation est une réponse aux problèmes de l'action collective » (M. CROZIER) « L'organisation se définit comme une action collective à la poursuite de la réalisation d'une action commune » (H MINTZBERG) « L'organisation est une forme sociale qui, par l'application d'une règle et sous l'autorité des leaders, assure la

qui plus est, dans une proportion importante sans aide professionnelle (Coppel, A., In Padieu, R. e.a., 1997 ; Mercier, In Comité sénatorial Nolin, 2001). Force est d’admettre que la personne toxicomane est un acteur agissant sur sa trajectoire (Crozier, M., Friedberg, E., 1977). Ce constat a des implications fondamentales sur la position autant du client en intervention que de l’intervenant. Après avoir abordé le contexte sociétaire de l’usage de psychotropes, certains enjeux de base du traitement