De rerum natura

avril 1915 (ŒC, IV, 862. 26. Cl. Debon, éd. Calligrammes, p. 407. 27. Lettre du 3 mai 1915 (ŒC, IV, 863); c'est moi qui souligne. 28. Cf. les lettres à Madeleine du 6 et 28 octobre 1915 (ŒC, IV. 562 et 598). 29. G. Poulet, 1961, p. V. [59] 30. De rerum natura, I, 311 sq. : «quin etiam multis redeuntibus annis / anulus in digito subter tenuatur habendo», traduction d'après Lucrèce, De la nature. Texte établi et traduit par Alfred Ernout, Paris, 1984-1985 (Les Belles Lettres). 31. Cf. Cl. Debon, 1980

effet aphrodisiaque et sa stimulation de la création. Les Grecs anciens consommaient également du vin aux extraits d'absinthe, absinthites oinos[1]. Le poète latin Lucrèce, au début du livre quatrième de son ouvrage "De la nature des Choses" (De Natura rerum), mentionne les vertus thérapeutique de l'absinthe, que l'on fait boire aux enfants malgré l'amertume du breuvage grâce à un peu de miel au bord d'une coupe. Ce n'est que vers la fin du XVIIIe siècle que l'on retrouve la première trace attestée

bien et qui, à l’instar du stoïcisme, préconisait une vie de tempérance, voire ascétique, entièrement consacrée à des activités contemplatives. Le principal interprète romain de l’épicurisme fut le poète et philosophe Lucrèce, dont le poème De natura rerum (De la nature), composé au milieu du Ier siècle av. J.-C., constituait la somme d’idées provenant des doctrines cosmologiques du philosophe grec Démocrite et d’idées inspirées de la morale d’Épicure. Les épicuriens cherchaient à atteindre le plaisir

bien et qui, à l’instar du stoïcisme, préconisait une vie de tempérance, voire ascétique, entièrement consacrée à des activités contemplatives. Le principal interprète romain de l’épicurisme fut le poète et philosophe Lucrèce, dont le poème De natura rerum (De la nature), composé au milieu du Ier siècle av. J.-C., constituait la somme d’idées provenant des doctrines cosmologiques du philosophe grec Démocrite et d’idées inspirées de la morale d’Épicure. Les épicuriens cherchaient à atteindre le plaisir

science ou la poésie. Il est commun de rappeler que Platon, aux livres VI et VII de La République, avait dévalorisé l’imagination comme un degré inférieur de l’opinion. Les prisonniers de la caverne sont victimes de leurs illusions. Dans le De natura rerum, Lucrèce dénonçait aussi les illusions de l’imagination, les fausses représentations. Néanmoins, même si la tradition socratique s’est détachée des mythologies de la Grèce archaïque et homérique, Platon a recours aux mythes, comme soutien sensible

choses : · l’imitation est un ressort de l’admiration  ; on imite car on admire. Il y a une idée de «  marcher dans les pas  » (Lucrèce - de rerum natura ). · le classicisme : les genres littéraires sont considérés comme des moules. On reprend la forme pour composer quelque chose de personnel. La perfection dans l’antiquité est généralement

prin a fi mâncat şi, cu puţin umor, autorii revoltelor pot fi socotiţi nu cei ce le-au făcut, ci aceia care au încercat să le împiedice. Rezultă din toate aceste ciudate reacţii umane o paradoxală lege potrivit căreia prezenţa libertăţii este de natură să schimbe proprietăţile unor stări, ale unor situaţii. Rezultă că omul are nevoie de atât de puţin pentru a fi fericit... DESPRE DRAGOSTE Cu oamenii pe care îi iubesc, cu oamenii foarte apropiaţi mie sau de care mă leagă o nedezminţită admiraţie

rôle de la nourrice, le caractère déjà racinien du monologue intérieur de Myrrha, la conscience de la faute, le refus de l'aveu, le désir de mourir, le motif du regard, la métaphore du "feu inextinguible", etc. - Lecture du début du De Natura rerum de Lucrèce, qui s'ouvre sur une invocation à Vénus. On peut y voir le rôle précis que les Romains de cette période attribuent à cette déesse, et qui traduit à la fois la puissance universelle du désir, sa fécondité, et le rôle pacificateur

auteurs romains nous ont légué à travers le temps des principes et concepts de philosophie qui aujourd'hui manquent par faute de textes originaux ou de copies. Il en va ainsi de Lucrèce (Ier siècle av. J.-C.), avec son chef d'œuvre poétique De rerum natura, explicitant l'épicurisme (seules trois lettres d'Épicure nous sont parvenues), malgré le rejet de la poésie par les Épicuriens. Il est fort probable qu'il ait pu avoir en sa possession (ou du moins devant ses yeux) des manuscrits aujourd'hui perdus

frenos impotenti naturae et indomito animali |font- elles autre chose que d'appuyer la proposition des tribuns et de faire | | |et sperate ipsas modum licentiae facturas: nisi vos facietis, minimum |abroger la loi? Lâchez la bride aux caprices et aux passions de ce sexe | | |hoc eorum est quae iniquo animo feminae sibi aut moribus aut legibus |indomptable, et flattez-vous ensuite de le voir; à défaut de vous-mêmes, mettre| | |injuncta patiuntur. omnium rerum libertatem, immo