De Rerum Nature

Prosopopée de la nature Traduction littéraire (Denique) Enfin (si repente) si soudain (rerum natura) la nature (mittat uocem) prenait la parole (et) et (ipsa) en personne (increpet) invectivait (sic) ainsi (hoc alicui nostrum) l' un de nous: (quid operest tibi tanto) « Qu' est-ce qui te tient tant à coeur, (mortalis) mortel, (quod) pour que (indulges) tu t' abandonnes (luctibus) à ces douleurs (aegris) pénibles (nimis) sans mesures? (Quid) Pourquoi (congemis) gémis-tu (ac) et (fles) pleures-tu

humaine, condition et nature humaine. défi existentialisme : existence précède l'essence : se définie par nos actes/choix Il n'y as pas de nature humaine ( nature c'est ce qu'elle est depuis la naissance car tant que l'on agis pas l'on est pas ) Lucrèce : des natura rerum ( de la nature des choses ) la nature chez les romains (comme la physis chez les grecs) c'est le principe par lequel les chose viennent à l'existence, le fait qu'elle soit. Sartre, le coupe papier sa nature est d'être un coupe

imiter les poètes grecs alexandrins Callimaque et Théocrite en créant une poésie latine savante et raffinée. Il voulut rivaliser avec Lucrèce, physicien et philosophe qui s'intéressait à l'existence de l'atome et du vide dans De rerum natura (Au sujet de la nature des choses) en écrivant un poème philosophique. Puis il voulut devenir auteur d'une épopée à la manière d'Homère : l'Enéide et devient ainsi représentant de la poésie épique. Il est aussi considéré comme précurseur du christianisme

le beau rôle. Dans la même perspective, il revendique un nature généreuse, un penchant naturel qui l'incite à répondre favorablement aux « justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs » et il adopte face aux femmes la posture du vassal face à son suzerain en empruntant au Moyen Age le vocabulaire propre à décrire les rapports de féodalité qui liait le premier au second: « je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ». Cette métaphore médiévale tend à assimiler

valeur de l’objet désiré. Notre désir est orientable. C’est parce que nous le désirons qu’un objet prend de la valeur à nos yeux. Dans les phases (1) et (2), Spinoza met en évidence une des grandes lois de l’univers : tout ce qui existe tend par nature à continuer d’exister, selon une durée et des forces de cohésion qui lui sont propres. C’est ce qui fait que nous sommes dans un univers qui, bien que changeant n’est pas pure transformation ou perpétuel évanouissement. L’homme fondamentalement

egalement de lucrece disciple d'épicure,dans le denatura rerum rappelle le titre qu'il avaitd' abord envisagé pour le parti pris des choses:l'approbation de la nature. De plus il est materialiste et ne s'interesse pour sa part qu au rapport de l 'homme au monde LA RELATION A L OBJET -le differents procedés qui permette al'auteur de humaniser les obbjets oules animaux dans le recueil? (personnification,passage du sens figuré au sens litterale,nature du vocabulaire empoyé) cependant,c 'est au genre définitionnels

Version moderne du De Natura Rerum de Lucrèce, Le Parti Pris des Choses se veut à la fois poétique et scientifique. S’inspirant de deux modèles littéraires, la leçon de choses et la fable, Ponge fait naître dans ce recueil une poésie à caractère encyclopédique et didactique avec une finalité évidente : parvenir à une leçon. On entre dans l’œuvre de Ponge comme on entrerait dans un grenier où s’entassent des souvenirs d’enfance que l’on redécouvre sous des draps poussiéreux, l’essence de ce que

alors qu’elles n’apparaissent que tous les 7-8 vers dans les Géorgiques et tous les 33 vers dans le De rerum natura. On a noté la préférence d’Ovide pour les impératifs et les subjonctifs actifs à la différence de Virgile qui préfère la 3ème personne de l’indicatif actif. Afin d’appuyer son propos, le poète a souvent recours à des analogies et des exempla. Certains sont empruntés à la nature Ŕ la comparaison des femmes à des fourmis et des abeilles, aux vers I, 93-97 par exemple Ŕ d’autres, plus

Commentaire du texte 1 « Epicure le libérateur. » Le texte que nous allons étudier est tiré de l’œuvre « De rerum natura » De la nature des choses, écrit par Lucrèce, poète philosophe latin du 1er siècle avant JC et disciple d’Epicure. Son œuvre est un long poème dans lequel il décrit le monde selon les principes de son maitre. Epicure, lui, est le fondateur d’une des plus grandes écoles de philosophie de l’antiquité : l’épicurisme. Ce mouvement prône la recherche d’un bonheur et d’une sagesse

répand, en effet, dans le bassin méditerranéen et, tout particulièrement, dans le monde latin et romain. Lucrèce hérite, pour l’essentiel, des idées de celui qu’il vénérait à l’égal d’un Dieu, comme il nous le dit lui-même dans le De Natura rerum (De la nature des choses). Seule la notion de clinamen semble différencier les deux œuvres (quoique le problème soit très controversé). Épicure et Lucrèce sont les grands représentants du matérialisme antique : à leurs yeux, tout est matériel, y compris