Decaissables

| (1)      voir fiche de coût de revient dans l’énoncé du cas (2)      évalué au coût de production, ce qui exclut les coûts de transport engagés au moment de la vente et les amortissements qui sont des charges non décaissables (charges calculées seulement) (3)      voir tableau des délais en mois dans l’énoncé du cas, ces délais peuvent se transformer en jours de CAHT  -          les besoins dépassent les ressources de 2.4 mois de CAHT -          le BFRE en

mensuel, sont la résultante des différents budgets:Budgets d’exploitationBudget d’investissement Budget de financement. Les composantes d’un budget de trésorerieLe budget de trésorerie ne regroupe que des dépenses et des recettes: Les charges non décaissables, les produits non encaissables n’apparaissent pas dans les sommes considérées. Clients et fournisseursLes montants correspondants sont pris pour leur valeur TTC.Les ventes non soumises à TVA sont considérées pour leur montant HTTVA à décaisserIl

les charges décaissables engagées portent bien sur les matières, les autres charges externes, les impôts et taxes, les charges de personnel, soit : Achats de matières plus : variation de stocks = matières consommées Autres charges externes Impôts et taxes Charges de personnel 3 112 500,00 17 772,30 3 130 272,30 1 164 000,00 125 000,00 12 583 000,00 Total 17 002 272,30 Sur ce total un montant de 1 438 403,59 F revient à la constitution de stocks de produits. Les charges décaissables imputables

 05/12/2012             14  -­‐  LA  CAF  :  CAPACITE  D’AUTO-­‐FINANCEMENT     -­‐ flux  potentiel  de  trésorerie   -­‐ CAF  =  produits  encaissables  –  charges  décaissables   -­‐ Sert  à  payer  les  dividendes  (ce  qui  est  payé  aux  actionnaires),  à  rembourser  les   crédits  et  à  financer  les  investissements     Deux  approches  :

d’autres définitions de cash flow. 2.2.2.1. Evaluation par capitalisation de la capacité d’autofinancement La capacité d'autofinancement, appelée aussi marge brute d'autofinancement, est déterminée en corrigeant le résultat net des charges non décaissables et produits non encaissables ainsi que des éléments exceptionnels. Le modèle de base de cette méthode est fondé sur la théorie du choix d’investissement et repose sur le principe que l’investisseur accepte de dépenser le montant à investir « I

enregistré dans un compte de charge. - L’amortissement tend à assurer la fixité du capital car sans amortissement, on serait tenté de réduire le capital de la valeur de l’usure. - L’amortissement sert d’autofinancement car il est une charge non-décaissable ne seraitce qu’à court terme. - L’amortissement diminue l’impôt à payer car il est fiscalement déductible de l’assiette de cet impôt. iii) Les méthodes de calcul de l’amortissement les plus répandues Plusieurs systèmes de calcul de l’amortissement

avant prise en compte de la politique financière (avant intérêts), d’investissements (avant dotations) et fiscale (avant IS). Différence entre les produits d’exploitation encaissables (encaissés ou qui vont l’être), et les charges d’exploitation décaissables (décaissées ou qui vont l’être).  Résultat d’exploitation : tient compte de la politique d’investissement de la firme ; somme des produits d’exploitation – somme des charges d’exploitation ; indicateur de l’activité principale de l’entreprise

de résultat récapitule les produits et les charges de l’exercice, sans tenir compte de leur date d’encaissement ou de décaissement. Les produits et les charges peuvent donner lieu à des mouvements de trésorerie (produits encaissables ou charges décaissables) mais pas nécessairement. Ainsi, des produits et des charges calculés se rajoutent aux précédentes pour déterminer le résultat économique de l’entreprise. 1. LE COMPTE DE RÉSULTAT Le compte de résultat fait apparaître la variation de richesse

de résultat récapitule les produits et les charges de l’exercice, sans tenir compte de leur date d’encaissement ou de décaissement. Les produits et les charges peuvent donner lieu à des mouvements de trésorerie (produits encaissables ou charges décaissables) mais pas nécessairement. Ainsi, des produits et des charges calculés se rajoutent aux précédentes pour déterminer le résultat économique de l’entreprise. 1. LE COMPTE DE RÉSULTAT Le compte de résultat fait apparaître la variation de richesse

d’autofinancement : La capacité d’autofinancement (CAF) est un flux potentiel de trésorerie, elle représente la ressource dégagée au cours de l’exercice par l’ensemble des opérations de gestion. CAF = Résultat net – Produits non encaissables + charges décaissables – Produits de cession Cette capacité d’autofinancement comme son nom l’indique détermine les possibilités d’autofinancement de l’entreprise, ceci dit  plus la CAF est élevée plus les possibilités financières de l’entreprise sont grandes