Deleuze

langue dégage une mélancolie provisoir » Le monolohue est lla musicalité du personnage, sa mélodie ,une part de son âme. le monologue : la source de multiples révélations. Dans Qu'est-ce que la philosophie 7', les philosophes Gilles Deleuze et Félix Guattari postulent que l' «art commence peut-être avec l'animal» (1991, p. 174). Ces derniers voient les bêtes2 comme une des origines possibles de l'inspiration et de la création attistiques chez {text:soft-page-break} l'homme. Cette hypothèse

dits “francophones” sont écrits en France, leur statut et classification continuent d’être considérés comme périphérique à l’intérieur de l’Hexagone. 4. Selon la définition de Deleuze et Guattari (1975: 29) 5. Les deux spécificités que nous citons se trouvaient déjà citées, à quelques nuances près, en 1975 par Deleuze et Guattari à propos de leur définition de littérature mineure. Elles apparaissent également dans quelques manuels de littérature francophone. L’importance de cette reprise est

néo-réalisme est l'école italienne de la libération. Pour ce critique, il s'agit de la libération du peuple italien de l'occupation des allemands après la guerre, mais également une libération des conventions narratives et filmiques. De son côté, Deleuze utilise le néo-réalisme comme démarcation entre l'image-mouvement et l'image-temps. C'est la crise de l'image-action, le schéma sensori-moteur se perd. On ne sait plus pourquoi les personnages agissent, et le temps apparaît comme vecteur du récit

puisse pas désirer ce que l'on ne connaît pas, ce qui laisserait entendre que l'on ne peut prétendre à aucune liberté en ce qui concerne la naissance d'un désir, puisqu'il nous provient obligatoirement de quelque chose ou de quelqu'un de l'extérieur. Deleuze avance d'ailleurs à ce propos que le désir est régi par les normes sociales, qui, soit entraînent le désir dans leur sens, soit le poussent à s'opposer à elles, mais ne lui permettent en aucun cas de s'affirmer comme un choix personnel. Les désirs

néo-réalisme est l'école italienne de la libération. Pour ce critique, il s'agit de la libération du peuple italien de l'occupation des allemands après la guerre, mais également une libération des conventions narratives et filmiques. De son côté, Deleuze utilise le néo-réalisme comme démarcation entre l'image-mouvement et l'image-temps. C'est la crise de l'image-action, le schéma sensori-moteur se perd. On ne sait plus pourquoi les personnages agissent, et le temps apparaît comme vecteur du récit

objecte un grand « ET, ET, ET…. », un « ET » sonore et bégayant, qui ressasse et prolifère, qui empêche de faire le point, de mettre un point, qui empêche d’en finir. Cette multiplicité ne se définit pas par le nombre de ses termes, écrit Gilles Deleuze, mais par sa prolifération : Nous devons passer par les dualismes parce qu’ils sont dans le langage, pas question de s’en passer, mais il faut lutter contre le langage, inventer le bégaiement. […] On peut toujours ajouter un 3e à 2, un 4e à 3, etc

philosophie postmoderne tels que Ricœur, Deleuze, Derrida et Sloterdijk. Ricœur rend hommage à la « phénoménologie de l'imagination » de Bachelard dans La métaphore vive[38]. Deleuze discute l'interprétation bachelardienne des images poétiques utilisées par Nietzsche dans son œuvre, et notamment dans le Zarathoustra. Pour Bachelard, les images nietzschéennes sont essentiellement aériennes, signes d'un penseur qui nous regarde du haut des cimes. Pour Deleuze au contraire, Nietzsche est un penseur

permanent de visibilité qui assure le fonctionnement automatique du pouvoir. (...)”. Notre époque illustre les limites de dispositifs de surveillance à identifier les personnes radicalisées avant qu’elles ne passent à l’action. Gilles Deleuze développe la perspective de Foucault en insistant sur la rôle primordial que le digital joue, surtout dans notre société actuelle marquée par l’avènement des réseaux sociaux. À la veille de sa mort, sur son lit d’hôpital, Georges

problème anthropologique de l’intelligence native ou encore du premier éducateur sur lequel Kant a réfléchi dans son Anthropologie d’un point de vue pragmatique c) Deleuze, interprète du Robinson de Tournier Dans l’appendice de Logique du sens (1969), à l’article « Michel Tournier et le monde sans autrui », Deleuze donne une interprétation philosophique du mythe de Robinson en comparant le récit de Tournier (Vendredi ou les limbes du pacifique, avec celui de Defoe. Tournier

Hobbes serait pour Léo Strauss le fondateur de la philosophie politique moderne dont on peut dire qu’après Hannah Arendt et Carl Schmidt, elle a été remise en cause par Foucault, Deleuze et Badiou : il y a toujours plus de possibilités politiques qu’on ne nous le laisse entendre. Comprenez, il y a d’autre possibilités beaucoup plus immédiates que la politique représentative par laquelle le peuple délègue sa souveraineté. Hobbes est un penseur de la souveraineté absolue, mais il introduit une nouvelle