Deleuze

1 « "Pour une littérature mineure" : Un cas d’analyse pour une théorie des normes chez Deleuze »1 Guillaume Sibertin-Blanc 1. Kafka et le problème de l’expression Au milieu des années 1970, apparaît dans le texte deleuzien un couple conceptuel qui se dissémine rapidement dans tous les niveaux d’analyses, esthétique, linguistique, épistémologique, politique : le « majeur » et le « mineur ». Ce couple ajoute manifestement un nouveau terme à la liste déjà longue des philosophèmes qu’il semble réinvestir

ce que Dieu veut et qu’on tire de cet exemple, c’est jouer le rôle que joue la lumière naturelle quand on fait l’expérience du poison, c’est augmenter notre perfection en matière de connaissance. C’est ce point qui retient l’attention de Gilles Deleuze dans son analyse de ces textes : Dieu ne produit pas le mal, il nous apprend ce qu’est le mauvais, ce qui peut nous détruire, détruire notre rapport global, c'est-à-dire ce qui définit notre essence : Le mal est toujours une décomposition de rapport

donc l'idée du "mètre-étalon" dont parle Deleuze à propos de la littérature majeure (Kafka, pour une littérature mineure). Le majeur c'est ce qui définit une certaine distribution des possibles qui strient d'avance la perception, l'affectivité, la pensée enfermant l'expérience dans des formes toutes faites y compris de refus et de lutte pour reprendre les termes de François Zourabichvili lorsqu'il définit le majeur et le mineur dans son Vocabulaire de Deleuze. Les gastronomes continuent perpétuellement

L’étude de Gilles Deleuze « logique de la sensation » présente différents aspects des œuvres de Francis Bacon expliquant ses figures et ses techniques comme moyen anti représentatif, anti figuratif. Dans une première partie, nous verrons que Bacon cherche à rendre visible la sensation. Ainsi chaque élément développé par le philosophe pourra dans une seconde partie se comparer à d’autres artistes connus dans l’histoire ou aujourd’hui. Au delà de l'étude d'un philosophe sur un peintre. Chaque

Influencé par la philosophie de Gilles Deleuze Dans la théorie philosophique de Gilles Deleuze et Félix Guattari, un rhizome est un modèle descriptif et épistémologique dans lequel l'organisation des éléments ne suit pas une ligne de subordination hiérarchique —avec une base, ou une racine, prenant origine de plusieurs branchements, selon le modèle bien connu de l'Arbre de Porphyre—, mais où, tout élément peut affecter ou influencer tout autre (Deleuze & Guattari 1972:13). Dans un modèle arborescent

trouverait là sa limite. Mais cela voudrait alors dire que le Moi n'est pas premier et que la pensée n'est pas essentiellement puissance d'identification, puissance de connaître mais peut être bien davantage : puissance de créer. Ce qu'a poser Gilles Deleuze. Dans un dernier moment nous montrerons qu'Autrui est une structure de mon champ perceptif et que cette structure est celle du possible. Autrui serait un monde possible, une virtualité de monde bien réelle même si elle n'est pas actuelle. Ces mondes

(Droit commun) Tribunaux correctionnels. (Délits) Cours d’assises (crimes) Tribunaux administratifs DIVERSES JURIDICTIONS D’EXCEPTIONS Tribunaux D’instances. (juridiction d’exception) Tribunaux de Simple Police (Contraventions) M. DELEUZE Frédéric Nation COUR de CASSATION L’organisation judiciaire en matière civil. Région Cour d’appel Département Premier et dernier ressort Premier ressort Premier et dernier ressort Premier ressort Premier et dernier

texte. Ce qui importe c’est ce que l’on fait des signes. Travail dramaturgique sur la sémiologie. De plus les signes sont toujours dépendants, ils n’existent pas seuls (voir case vide). IV. Le structuralisme psychanalytique. La case vide. Deleuze qui parle de Lacan. Jeu d’enfant constituant 8 cases numérotées de 1 à 8, dans un cadre et dans lequel il manque une case. But du jeu : les remettre dans l’ordre sans retirer de cases du cadre. Pour arriver au terme du jeu : il faut donc effectuer

Horizon indépassable, «l'art aussi atteint à cet état céleste qui ne garde plus rien de personnel ni de rationnel». Mais il peut répondre aussi à une sollicitation plus concrète: «On n'écoute pas assez ce que disent les peintres.» La relation que Deleuze entretenait avec l'art était à la fois de nécessité et de contingence. Très au fait des avancées de l'art contemporain (il évoque en 1981 les «sculptures planes de Carl Andre, fibres de Ryman, feuilletés de Barré, strates de Bonnefoi»), il est capable

porteuse de sens et de signification. Dans tous les étants se cache un désir profond d’être ce qu’ils peuvent être, une volonté de déployer toutes ses possibilités. Faut-il pour autant réduire le statut du philosophe à sa dimension passive ? Gilles Deleuze nous met en garde contre une telle prise de position. Elle risque de réduire la philosophie à la contemplation, à la réflexion et à la communication. La philosophie « n’est pas contemplation, ni réflexion, ni communication, même si elle a pu être