Devoir De Fidélité Des époux

le partenaire pacsé décède ont une vocation très largement inférieure que celle des enfants. En revanche l’obligation alimentaire existe uniquement pour les époux mariés. L’alliance crée un lien familial entre les époux, et aussi la famille du conjoint ou le partenaire pacsé. Cela veut dire qu’en termes d’obligations alimentaires, les époux doivent obligation alimentaire à l’égard de la belle famille. Selon les époques, le lien de parenté ou le lien d’alliance est plus ou moins mis en avant, et

A. 1er sujet : La fidélité dans le couple La fidélité est-elle le propre du mariage ? Le déclin de l’ordre public familial, l’évolution des moeurs et la subjectivation du droit sont autant de raisons de repenser la fidélité dans le couple. La question consiste alors à savoir si cette évolution nécessaire se fait sous le signe du déclin ou s’il ne s’agit que d’une mutation (la problématique est suggérée sans être dévoilée). On fait aujourd’hui état d’un pluralisme familial. Il n’y aurait pas

2.La place de la volonté individuelle dans la famille Les persones qui forment le couple ont le même droit. Les epoux sont égaux dans le gouvernement de la famille et dans la gestion de leurs biens. Chaque individu est autonome dans le domaine familiale. De plus, les individus peuvent faire un choix au sein de certaines regles. Par exemple, en matiere de divorce, les epoux ont un choix entre 4 types de divorces. Ils peuvent choisir le divorce par consentement mutuel et donc sortir du mariage

qu’institution. Il est donc impérativement fixé par la loi civile. Le mariage n’est pas un simple contrat, les époux ne peuvent pas décider à leur bon vouloir les conséquences de leurs unions et ils ne peuvent la résilier librement. Le consentement au mariage déclenche alors une règlementation précise par la loi, c’est donc un acte juridique qui entraine des devoirs et des obligations pour chacun des époux. La liberté d’une personne se définit comme l’état de celui qui ne subit pas de contraintes, de soumissions

par consentement mutuel (art.230). Les époux s’accordent pour divorcer et règlent tous les effets de leur divorce (répartition des biens, prestation compensatoire, garde des enfants) dans une convention. Ce divorce est désormais le plus rapide puisqu’une seule entrevue de conciliation est nécessaire (contre deux dans l’ancienne loi).    • Le divorce sur acceptation du principe de la rupture du mariage (art. 233). C’est le divorce par lequel les époux parviennent à un accord pour divorcer mais

par celui-ci ; Oreste (le fils d‘Agamemnon) d’un autre côté aime follement celle-ci et espère que l’amour de Pyrrhus pour Andromaque le poussera a lui laisser Hermione. Quand à Andromaque, elle subit le chantage de Pyrrhus et est partagée entre sa fidélité à son mari et à sa mémoire et son désir de sauver son fils prisonnier. Soumise aux pressions de Pyrrhus elle finira par accepter avec pour projet d’ensuite se suicider. Hermione folle de rage demande alors à Oreste de lui prouver son amour en allant

consentements formels aient été donnés en vue de celui-ci, il ressort d'une combinaison de circonstances que l'intention de l'un au moins des époux n'est manifestement pas la création d'une communauté de vie durable, mais vise uniquement l'obtention d'une avantage en matière de séjour, lié au statut d'époux ». « dès qu'il apparaît que l'intention de l'un au moins des époux n'est manifestement pas la création d'une communauté de vie durable mais vise uniquement l'obtention d'un avantage en matière de séjour

Jusqu’à présent les couples non mariés n’étaient pas reconnus par la société, estimés comme des couples « hors la loi » ils faisaient l’objet de sanctions et n’étaient pas acceptés. Or un couple non marié tisse inévitablement des liens tout comme les époux. Face au développement du phénomène et à la libération et l’évolution des mœurs de la société, la reconnaissance de ces unions hors mariage était indispensable. Parallèlement un autre phénomène apparaît qui est la formation de couples homosexuels

expl : art 172 du code civil : le conjoint non divorcé des futurs époux peut invoquer la bigamie. Elles ne peuvent faire opposition que pour des motif bien définit par la loi. Art 174 : en absence d'ascendant, le frère et sœur , les oncle et tante , et les cousin peuvent faire opposition dans deux cas : lorsque le consentement du conseil de famille n'a pas été obtenu ( pour mineur ) ou pour cause de démence de l'un des deux futurs époux. Autre personne bénéficiant 'un droit d'opposition : il renvoi

très probablement de canaliser la rancœur, la colère des époux, surtout celles de la « victime ». De plus, ceci suit une certaine logique en ce sens que la notion de sentiments est clairement présente au sein du consentement au mariage et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle le législateur a fixé clairement les conditions nécessaires pour considérer un mariage comme officiel et légal. Les articles 212 à 215 imposent alors clairement aux époux un ensemble d’obligations tant d’ordre personnel (obligation