Dialectique du maître et de l'esclave

|problème. | | | |Hegel montre que le désir de reconnaissance passe par une phase de domination et d’objectivation |La « dialectique du Maître et de l’esclave » | | | | |d’autrui, avant que celui-ci ne soit reconnu à son tour comme une conscience. |illustre l’utilité historique des conflits

morale et politique est donc la solution du problème. Hegel montre que le désir de reconnaissance passe par une phase de domination et d’objectivation d’autrui, avant que celui-ci ne soit reconnu à son tour comme une conscience. La « dialectique du Maître et de l’esclave » illustre l’utilité historique des conflits Si la raison des conflits vient des relations entre les hommes et non de l’homme lui-même, la solution doit venir également d’Autrui : l’altruisme n’est peut-être pas naturel, mais il

forte, comment est-il possible de laisser place, dans le champ de la conscience, à la réalisation de ce que nous sommes? L'étymologie du mot, tripalium, rappelle la torture subie. Dans les sociétés antiques, le travail manuel est volontiers laissé à l'esclave qui n'a ni le statut de citoyen, ni parfois même le statut d'homme. Comment peut on associer dès lors ce qui prive du statut d'humain et la saisie de la conscience de soi qui constitue le propre de l'individu qui réalise qui il est? Enfin, dans la

art de bien parler et de bien dire, c'est pour Cicéron ce qui va servir à prouver la vérité de ce que l'on affirme (tandis que Socrate cherche simplement la vérité par la confrontation des débats). Cette distinction va opposer l'éristique de la dialectique. La vérité ressort de la confrontation des arguments, elle ne cherche pas à plaire. Certains ouvrages nous donnent les moyens de nous servir de différentes techniques rhétorique pour faire passer nos arguments. La théorie communicationnelle → dans

le développement de cette même culture, en particulier dans ses aspects techno-scientifiques, fait surgir depuis quelques dizaines d'années une réflexion qui met en cause d'éventuels excès dans la façon dont l'homme accomplit son projet de devenir "maître et possesseur de la nature". Avant de décider s'il convient de freiner l'extension des pouvoirs humains sur la nature, il n'est pas inutile de se demander si l'homme est bien un être à part dans cette même nature. I. La culture comme "mise à distance"

morales, etc.). * Georg Hegel : « La Dialectique du maître et de l’esclave ; Phénoménologie de l’Esprit » (1807) : Dans une fable, il décrit comment l’esclave qui travaille acquiert une conscience de lui-même et de la liberté, lorsque la maîtrise de la nature se transforme en maîtrise de soi-même. L’esclave se libère à travers son travail, tandis que le maître qui ne travaille pas devient dépendant de son esclave, ce qui permet l’émancipation de l’esclave. Le travail est donc le moteur de la liberté

nature de l’homme est relative alors c’est un facteur externe (ici le travail) qui rend l’homme plus humain on peut dès lors se demander : En quoi le travail ajoute un “plus humain” à l'homme?Pour répondre à cette problématique on adoptera un plan dialectique en trois parties: Nous verrons dans un premier temps en quoi le travail est unique à l'homme et le sépare de la bête, nous aborderons en quoi le travaille est fondamentalement différent de l'activité animale, puis en quois celui-ci permet à l'homme

de la contradiction. HEGEL va reprendre l'idée grecque de la dialectique. Selon les grecs, me chemin qui nous mene vers la verité est celui de la dialectique. La pensée, dans sa forme logique, ne peut que cheminer selon un processus dialectique, cad en affrontant l'opposition d'argument contraire (these/antithese) et en tentant de les depasser. La verité devient synthese. Ce n'est pas la pensée selon HEGEL qui dopit etre dialectique, mais la realité elle meme. Ce qui est aujourd'hui resulte otujours

inférieure est celle de ceux chez qui tout travail consiste dans l’emploi de la face corporelle, et c’est d’ailleurs là le meilleur parti que l’on peut tirer d’eux) ceux là sont par nature des esclaves pour qui il est préférable de subir l’autorité d’un maitre (…) Il est donc manifeste qu’il y a des cas où par nature, certains hommes sont libres et d’autres esclaves, et que pour ces derniers demeurer dans l’esclavage est à la fois bienfaisant et juste. » La Politique (livre 5) = Représentation négative

« Peut-on être plus ou moins libre ? » Bac philo 1966 Odile Introduction Diderot, dans Jacques le Fataliste pose le problème de la liberté. Le maître se sent libre et croit à la liberté, Jacques a lu Spinoza et pense que tout est écrit sur « le grand rouleau ». La liberté absolue, c'est-à-dire celle qui permettrait de prendre des décisions, indépendamment de toute contrainte, existe-t-elle?, est-elle démontable? Une liberté définie par la possibilité d'agir à sa guise,ne se heurterait-elle