Dialogisme

l'altérité au cœur du système : les formes temporelles polychroniques, communication présentée au colloque « Ecriture de l'altérité », Jendouba, avril 2004. Regards polyphoniques sur le système verbal du français, communication présentée au colloque "Dialogisme, polyphonies: approche linguistique", Cerisy, 2-9 septembre 2004. Janvier 1997 Octobre 1998 Septembre 2003 Novembre 2003 avril 2004 Septembre 2004 5/6 Décembre 2005 Du français fondamental aux ESLO, communication présentée

poétique a pour objet d’étude l’énoncé humain. Par conséquent, l’énoncé n’est pas déterminé par sa clôture (autotélicité) mais par son dialogisme, en d’autres termes, il n’existe pas d’énoncé sans relation avec d’autres énoncés. « Le caractère le plus important de l’énoncé ou plus au moins le plus ignoré, est celui du dialogisme… » Bakhtine cité par Todorov Dialogisme de l’énoncé dimension intertextuelle « Chaque discours entre en dialogue avec les discours antérieurs tenus sur

monologue délibératif lorsque, dans une tragédie, le héros, face à un dilemme, se demande que faire et expose les arguments en faveur de l’un ou l’autre choix devant lequel il se trouve. 3 Situations et enjeux de l’argumentation A Polyphonie et dialogisme • Une argumentation fait toujours entendre plusieurs voix (polyphonie). En effet, même en l’absence totale des marques d’un destinataire, l’argumentateur n’est jamais seul : argumenter c’est se situer dans un débat déjà ouvert ; c’est prendre position

foule, il montre qu'il a fait le choix de la pudeur et qu'il est à rebours des romantiques. Nous pouvons en effet tout d'abord constater que tout au long du poème, le poète décide de dévaloriser la foule. Pour cela il utilise d'une part le dialogisme. En effet il n'hésite pas à l'apostropher en disant « Ô plèbe carnassière ! » afin de capter son attention et l'impliquer dans ses propos. Il souhaite donc qu'elle l'écoute attentivement. De plus il n'hésite pas à la tutoyer marquant ainsi son mépris

polyphonique : Bakhtine Aucun personnage dans le roman polyphonique n’est le centre car chaque personnage est traité de la même manière. Pour Bakhtine, la culture est faite de discours divers et le roman doit reprendre ces discours : c’est le dialogisme. Il y a différents logos, différents discours et points de vue. Bakhtine prend l’exemple de Rabelais : la culture de Frère Jean et celle de Gargantua sont sur deux niveaux différents. Pour Bakhtine, l’intérêt de Rabelais est d’avoir su multiplier

producteur du texte et son lecteur -le texte travaille à chaque moment, on le prenne, il n'arrête pas de travailler -donc, une double interaction entre le texte et le lecteur d'un part, et d'autre part entre le texte, l'écriture, et la langue Dialogisme : -c'est un phénomène selon lequel le discours fait se confronter les voix hétérogènes, à l'instar des répliques, d'un dialogue souvent synonyme de plurivocité, polyphonie -il est opposé par Bakhtine au: Monologisme -la littérature est

déclaré « déficient » (de la ligne 46 à 65). Mutation et métamorphose constante du narrateur permet ainsi de réaliser un brouillage du perceptif propre à interroger le lecteur (qui devient par là une instance elle-même fragile). c) Métalepse et dialogisme: Diderot détourne la figure littéraire de l’apostrophe, dont l’une de ces propriétés est la brièveté, pour réaliser ce que Gérard Genette nomme une métalepse (c’est-à-dire une apostrophe continue et quasi systématique) de la ligne 46 à 72. Une métalepse

démocratie dialogique 5 2. La double exploration 6 2.1. Exploration du collectif 6 2.2. Exploration des mondes possibles 8 2.3. La fabrication d’un monde commun 8 3. Critères de classement des procédures dialogiques : 9 3.1. Degré de « dialogisme » des procédures 9 3.1.2. Critères d’organisation des forums hybrides 9 4. La nécessité d’institutionnaliser ces modes de décisions 10 5. La décision en incertitude et le principe de précaution 11 III) Mise en perspective et critique globale

reprocher et à qui les evts donnent tjs raison. Volonté de brouillage avec technique de contre-point, alternance voix de l’ordre/voix du désordre, qui est caractéristique de ce que Bakhtine considère comme étant l’essence même du roman : « le dialogisme », renforcé par le déchirement du héros entre loi, morale & amour, désir, passion. Sgard : « confession sans repentance » parce que DG assume tout et l’équivocité du roman est renforcée par la narration à la 1ère personne. Lecture moderne

........................................................... Erreur ! Signet non défini. 1. Déconstruction ......................................................................................................... Erreur ! Signet non défini. 2. Dialogisme ............................................................................................................... Erreur ! Signet non défini. 3. Féminisme...........................................................................................