Différenciation Culturelle

interne va contenir des cellules synthétisant des enzymes permettant la digestion extracellulaire) ; ce que l’on appelle la bouche = entrée de l’appareil digestif. Les produits de la digestion seront redistribués à l’ensemble des tissus. * Une différenciation cellulaire très poussée vers de très nombreux types cellulaires notamment : musculaires, sensorielles, circulatoires, nerveuse… Existence de synapses chimiques permettant la circulation d’un flux nerveux et construction d’un système nerveux.

en activités stratégiquement importantes pour comprendre leur impact sur le comportement des coûts et la différenciation. Ce n'est qu'après avoir effectué cette analyse que la firme est en mesure de choisir une stratégie générique pour chaque produit i.e. de choisir le positionnement concurrentiel qui convient à chaque produit. Porter[1] propose donc d'identifier les sources de différenciation compétitive d'une firme en la décomposant en activités de base économiquement significatives. Il définit

l’épiderme A) le processus de kératinisation Le phénomène de kératinisation est un processus de différenciation cellulaire aboutissant, à partir de cellules vivantes non kératinisées, les kératinocytes, à des cellules mortes anucléées kératinisées, les cornéocytes. Il existe deux phases simultanées du processus de kératinisation : une migration verticale des cellules basales et leurs différenciations morphologique et biochimique. a) la migration Au niveau de la couche basale, les kératinocytes

cellules dites pluripotentes, autrement dit de cellules pouvant devenir tout type de cellules constituant l'individu à naître à l'exception des trophoblastes qui forment le trophectoderme. Les cellules pluripotentes se situent au premier niveau de différenciation cellulaire, faisant suite aux cellules totipotentes qui, elles, peuvent former n'importe quel autre type cellulaire. La méthode du clonage par division de blastocyste, ou scission gémellaire, consiste à exploiter la propriété des cellules totipotentes

puis phosphorylation de SMAD2/3 (FT) → hetero-oligomerisation avec SMAD4 → translocation dans le noyau → transcription genique (p21) 3 – Fonctions du R – TGF bêta ▪ Inhibition prolifération cellulaire ▪ Activation différenciation cellulaire et de l'apoptose 4 – Pathologies tumorales : altération de la signalisation TGF bêta Altération de la signalisation TGF-bêta : Cancers gastro-intestinaux → inactivation du récepteur : mutations R type II Cancers du colon :

ce que seront les conséquences. Elle a tendance à réduire les différences culturelles qui sont un ensemble de normes, de représentations et de comportements acquis par l’homme en tant que membre d’une société. Se rapprochant d’une uniformisation. On se demandera alors si la mondialisation conduit à une uniformisation culturelle faisant disparaitre les différences ? Pour cela on verra d’abord une uniformisation culturelle qui conduit à une intégration de tous dans les groupes sociaux puis une diminution

1. La diversité culturelle dans l’entreprise. Parler d’interculturel, c’est obligatoirement parler de choc culturel. Le choc des cultures consiste en la rencontre entre nous et l’autre. Cet autre qui peut être un groupe ethnique, une culture nationale ou encore une culture d’entreprise. Revenons sur le terme « culture ». Toute culture est, fondamentalement, pluriculturelle et se construit grâce au contact entre différentes communautés de vie qui apportent leurs façons de penser

Pratiques culturelles dépendantes du niveau de vie et de la qualification. Les pratiques culturelles ne sont pas liées à des goûts innés. Elles résultent au contraire de déterminismes sociaux : la place des individus dans l’espace social influence de façon décisive leurs pratiques culturelles. Ces pratiques culturelles sont elles mêmes hiérarchisées, elles font l’objet de jugements sociaux qui contribuent à reproduire la différenciation sociale. Comment peut-on expliquer ce déterminisme social

globalisation, amène les entreprises à prendre en compte la différenciation culturelle, non seulement dans le cadre de leurs échanges avec le reste du monde, mais également dans le management de leur personnel qui désormais se compose d’équipes multiculturelles. « L’ouverture de plus en plus grande des marchés, leur globalisation, signifie que les entreprises doivent désormais se confronter aux spécificités culturelles. » . La diversité culturelle faisant désormais partie intégrante des organisations,

continuent-elles pas à structurer la société en groupes sociaux hiérarchisés ? Peut-on repérer des groupes sociaux qui ont une réelle conscience de classe ? Existe-t-il encore des classes mobilisées ? Ne voit-on pas émerger de nouveaux facteurs de différenciation sociale qui viendraient brouiller l’analyse en termes de classes sociales ? Dans le devoir, faire un effort de définition. Qui classez-vous dans les classes populaires(ouvriers + employés) ? Qui classez-vous dans la bourgeoisie (chefs d’entreprise