Digression

Histoire de Miss Polly Baker, section III Supplément au voyage de Bougainville, Diderot L'épisode de Miss Polly Baker est une digression de B qui a été ajoutée tardivement au chapitre 3, qui interrompt de dialogue d'Orou et de l'aumônier. On est dans l'enchâssement des différents discours. Ce texte suit immédiatement la description de l'union à la Otaïtienne fondée uniquement sur le libre choix et le désir des deux partenaires. Par contraste, ressort le traitement illégitime qu'on réserve aux

référence « La méthode SPRI » Timbal-Duclaux - Editions Retz et « Ecrire pour agir » MARRET, SIMONET, SALZER –Editions de l’Organisation. Le plus rassurant pour qui craint la page blanche est d'établir un fil rouge logique préalable pour éviter digressions et répétitions. C'est ce qu'on appelle faire un plan générique dans lequel peuvent venir se placer les idées recueillies au cours du travail préalable (trouver des idées). L’objectif est d’ organiser des idées de façon logique autour d’un plan

1947) En 1945 Guillevic a écrit le poème, après qu’il lit France-Soir dont l’affiche est la photo d’un charnier de camp nazi. Dans le poème Guillevic, il s’agit de rester sur le sujet, sur l’objet du poème, ne pas le quitter un seul moment. Pas de digression, pas de comparaison mais rester là pour essayer de comprendre, ou décrire cette perplexité face à ces morts pour qui on ne peut rien. Et finalement, l’hommage ultime auquel personne n’osera se livrer, la seule chose que l’on pourrait encore faire

modestie du narrateur « je vais me taire » 3) Leçon, suggestion du narrateur : utiliser la raison (vers 31-46) De nouveau accumulation de contraires : Chaud-froid / tôt-tard. Proverbe : vers 44 la cruche se brise pleine d’eau. Illustration, digression. Ensuite on a l’exemple de Renart. Fin prologue vers 68. Exposé vers 76-114 > scène de chasse différente des autres chasses. Vers 76 on passe au début d’un nouvel épisode : décor, et l’entrée en scène de Renart. Vers suivants insistance

quête d’un insatiable plaisir physique, il y n’y voit que l’assouvissement de ses pulsions primaires ce qui le condamne à une quête perpétuelle. Ici sa vie d’aventure touche à sa fin car elle est devenue ennuyeuse. Caractéristiques d’écriture : Digressions qui permet de comprendre les symboles Indices : «lorsque nous étions petits...» acte III sc 12 «Je n’ai toujours pas saisi le rapport...» acte III sc 2 → récits enchâssés qui trouble la continuité du récit Nombreux éléments symboliques

l'écriture autobiographique de l'écrivain est fragmentée ce qui correspond à un temps fragmentaire. Il adapte son écriture en fonction de son temps professionnel. Il explique qu'écrire de la fiction prendrait trop de temps. Il y a de nombreuses digressions dans dans le récit. En effet, dans le chapitre VIII (p37) il commence sur le sujet du portier qui partageait sa littérature et continue peu à peu sur le sujet de Mr de Jouy. Dans le chapitre IV il parle de Mr Ségur alors qu'il écrivait sur Mr de

dans l’écriture (son métier)- et nous éprouvons les uns et les autres, ici, tu le sais, tu ne peux pas ne pas le savoir, une certaine forme d’admiration, c’est le terme exacte, une certaine forme de l’admiration pour toi à cause de ça- »- tiré → digression- juxtaposées - répétition de l’admiration- le jeu des pronoms personnels (tu // nous)- répétition/variation [ ( tu le sais (affirmatif) / tu ne peux pas (double négativité → affirmatif « + ») ]- « une certaine forme », «  cause de »- montre la

visage", "Esthétique et sociologie"). Découvrir Simmel n'est donc pas toujours aisé du fait de ce refus des frontières disciplinaires traditionnelles . Ajoutons à cela la structure particulière des articles de Simmel qui n'hésite pas à faire des digressions plus ou moins longues sur un sujet à-priori sans lien avec le problème central (ainsi un article sur le secret peut donner lieu à quelques pages sur la parure). La lecture de Simmel est donc à la fois extrêmement riche et séduisante mais dans le

rencontre Mme de Clèves au bal donné pour les fiançailles de Claude de France (p.261) ; le lendemain des fiançailles a lieu le mariage princier (p.263). C’est en février 1559 que Mme de Chartres parachève l’éducation sentimentale de sa fille (cf. digression p.264-269) et qu’a lieu le bal chez le Maréchal de St André. A la fin de février commencent les pourparlers de Cateau-Cambrésis (p.274). Mme de Chartres tombe donc malade en mars 1559, et meurt. Sa fille se retire à la campagne, et y apprend de

acteurs y participaient, le second façonne une intrigue simple entre quatre ou cinq personnages. L'un recourait à des artifices d'exposition, début in medias res, explications rétrospectives, récits de confidents, digressions, l'autre offre une narration linéaire, chronologique, sans digressions, sans intermédiaire de confidents. L'un entassait les aventures extraordinaires dont le hasard était le moteur, l'autre invente des circonstances simples, des événements quotidiens à l'enchaînement naturel. Les