Dilemme Fléxibilité Productivité

d’achat, de liquidités. Les causes du manque de compétitivité. (1) La G – B souffre de coût salariaux trop élevés par rapport à la productivité  les produits sont vendus trop cher. La faiblesse de la productivité est du à un marché du travail trop rigide : le niveau de la protection trop élevé de la main d’œuvre rend difficile l’amélioration de la productivité. Pour les Conservateurs, cela est du à un pouvoir syndical excessif. Les syndicats britanniques sont regroupés dans le TUC : Trade

utilité ? (INEDIT) Les avantages attendus, et les effets constatés du flottement des monnaies depuis 1973 (ESC 2000) “Il faut vendre au son du violon et acheter au son du canon.” Quelle est la signification de ce proverbe boursier ? (INEDIT) En quoi le dilemme de R.Triffin fut-il pertinent pour rendre compte de l’évolution du Système Monétaire International (SMI) en 1944 et 1971 ? (INEDIT) Décrire et expliquer l'intervention de l'État dans les théories de la croissance endogène (ESC 2000) Libre-échange

véhicules vendus CA : 150 milliards USD Résultats nets : 7,5 milliards USD Théories des organisations et des marchés L3 Semestre 2 L’industrie automobile est une industrie très cyclique. Avec son système de fournisseurs, Toyota dispose d’une grande flexibilité et a mieux absorbé le choc de la crise que l’entreprise GM qui est plus intégrée et donc plus rigide. D’ailleurs, en 2008, GM était en faillite et le gouvernement US a du racheter 32% du capital de GM pour sauver l’entreprise de la faillite XXIII

travail afin de limiter le gaspillage, donc développer des gains de productivité. Taylor s’intéresse donc à l’intensification de l’organisation du travail : la décomposition des tâches, en gestes élémentaires, à durée imposée, lui permettant d’individualiser et de parceller les opérations humaines. Il devient donc possible de calculer les salaires en fonction du rendement et d’inciter les ouvriers à accroître leur productivité individuelle. Cette organisation scientifique du travail (OST) s’accompagne

travail afin de limiter le gaspillage, donc développer des gains de productivité. Taylor s’intéresse donc à l’intensification de l’organisation du travail : la décomposition des tâches, en gestes élémentaires, à durée imposée, lui permettant d’individualiser et de parceller les opérations humaines. Il devient donc possible de calculer les salaires en fonction du rendement et d’inciter les ouvriers à accroître leur productivité individuelle. Cette organisation scientifique du travail (OST) s’accompagne

ont été amenées à réintégrer celles-ci en leur sein, malgré les problèmes de coûts de structure liés à la réintégration de cette activité. La décision d´externalisation résulte du dilemme entre réaliser en interne l´activité ou recourir au prestataire extérieur. Dans le domaine comptable et financier, ce dilemme se note souvent entre une décentralisation de la fonction ou sa centralisation. Une telle décision ne relève que de la direction générale. A l’heure où les entreprises cherchent

plus performantes survivront dans cet environnement nouveau et incertain. Le degré de préparation des firmes est fonction de l’environnement institutionnel en vigueur (ou climat de 2 l’investissement), qui lui-même exerce une influence sur la productivité et la performance des firmes. Par climat de l’investissement (CI), nous entendons l’environnement politique, institutionnel et comportemental actuel et futur des firmes d’un pays à même d’influencer le risque et le rendement associés à un investissement

FISCAL LOCAL Un système fiscal à bout de course n'est-il pas d'abord victime d'une crise de productivité? Il convient de s'interroger dans un premier temps sur les origines de la croissance des impôts locaux (1.1). Puis il faudra s'interroger sur la répartition de la charge fiscale locale (1.2). 12 LE FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT LOCAL 1.1 - Le système fiscal local, victime d'une crise de productivité? L'enjeu est de taille. Si la fiscalité locale ne peut donner plus que ce qu'elle fournit

sociales différents, le mouvement syndical vit un dilemme plein de questionnements: • Les méthodes modernes de gestion doivent-elles rester l’apanage des seules directions d'entreprises? • Le Management est-il à rejeter ou bien à transformer? • Peut-on faire le pari du dialogue social, de la négociation et tourner le dos aux méthodes bien maîtrisées de confrontation et d’affrontement perpétuels? • Peut-on concilier les besoins de flexibilité des entreprises et les besoins de sécurité chez

III. Motifs du choix de la société ________________________________________ 154 IV. Recherche documentaire __________________________________________ 155 V. Analyse documentaire, benchmarking et validation des hypothèses __________ 162 VI. Le Dilemme Internalisation vs Externalisation ___________________________ 171 CONCLUSION GENERALE _______________________________________________ 185 Bibliographie ____________________________________________________________ 187 ANNEXES ____________________________________________________________