Diogène Laërce

6), LUCIEN (Navigation, § 2 et 3), APOLLODORE (Livre II, "La famille d'Inacus", § 3 et 4), ESCHYLE (Les Suppliantes, vers 719 à 720, vers 745), STRABON (Géographie, Livre I, chapitre 3, §10), DIODORE de SICILE (Histoire universelle, Livre III), DIOGENE LAËRCE (Livre VII, 1), AMMIEN MARCELLIN (XXII, §8, 24), THÉODECTE et ONESICRITE cités par STRABON (Livre XV, chapitres I et IX).   C.3. L'étude de la Bible, des traditions juive et musulmane qui conservent la mémoire de la descendance de Cham, ancêtre

parler et, par là même, de capter autrui et le monde. 1 La duplicité de la parole La première thèse, celle des « discours doubles », aurait été au cœur d’un traité intitulé Antilogies (les « discours contradictoires »), mentionné notamment par Diogène Laërce dans ses Vies et doctrines des philosophes illustres (IX, 51). Elle nie le principe logique d’identité qui soutient qu’une chose est que ce qu’elle est : « à propos de toutes choses il y a deux discours opposés l’un à l’autre ». Autrement dit

το πε θειν ν α το ̋ πολ ̋ ε η τις λ γο̋, το δ τ ρπειν μ νο[ν] το ̋ κο οντα̋, ν τε δ πε θωσιν, ν τε κα μ · ο γ' ο κασι παρ' ν οι̋ κα πλ ον τι βο λοιντ' ν διαπρ ττεσθαι. », Traité des lois, p. 34. 36 Voir ci-dessus, note 29. 37 Rappelons que pour Diogène Laërce (Vitae philosophorum, Prooemium, 5), ceux qui veulent attribuer aux étrangers l’invention de la philosophie, présentent Orphée comme le plus ancien philosophe. 38 « […] ( ν γ ρ λλ νων τ κοιν α τη δ ξα μ λιστα κρ τει ̋ “Δι ̋ κ π ντα τ τυκται”)

tandis que le discours philosophique s’appuie sur la raison. Les Présocratiques Leurs œuvres se sont presque toutes perdues et leurs théories nous sont connues à travers des fragments ou grâce à des philosophes tels que Platon et Aristote Diogène Laërce – un historien qui a vécu au 3e siècle – a résume leurs pensées dans Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres Ces philosophes s’intéressent à la nature et se posent la question du changement Il se demande si derrière la multiplicité

colloque, (http://calenda.revues.org/nouvelle9958.html) [6] De l'œuvre d'Héraclite (VIe s.-Ve s. av. J.-C.), il ne reste environ que quelque 130 fragments connus grâce à ceux qui, de Platon à Albert le Grand (XIIIe siècle) en passant bien sûr par Diogène Laërce, l’ont cité et commenté, avant qu'Hermann Diels en donne une première édition en 1903. (Encyclopaedia Uniersalis, op.cit.) [7] En référence à: BOEHM R. (trad. française). La Métaphysique d'Aristote. Le Fondamental et l'Essentiel,Paris: Gallimard

l'élève d'Anaxagore, tout comme Périclès. Une autre légende voudrait qu'il ait eu une seconde épouse, Myrto, qui lui aurait donné deux fils, Sophronisque et Ménéxène. Tout porte à croire pourtant que la rumeur de bigamie colportée par Aristote et Diogène Laërce n'aurait visé qu'à discréditer l'homme mystérieux dont personne n'ignore qu'il fut condamné à boire la ciguë pour impiété et détournement philosophique de mineurs. C'est en tout cas le portrait qu'en dressera son disciple Platon dans les vingt-six

l’être qui vit, et ce, malgré l’ombre prégnante et quasi visible de la mort. C’est dans cet esprit qu’Épicure dira qu’il n’y aucune crainte à avoir dans la mort étant la négation de nos sensations et l’absence complète et absolue de notre être. Diogène Laerce écrit de lui qu’il « déclare que la mort n’est rien relativement à nous. Si nous existons elle n’est pas encore, si elle existe, nous ne sommes plus. »[13] Spécieuse dialectique diront certains et non sans raison, n’empêche qu’elle exprime la

------------------------------------------------- ↑ L'auteur, quel qu'il soit, des Chants Cypriens ; l'opinion la plus générale attribue ces chants à Stanisus, de Cypre. 12. ------------------------------------------------- ↑ Selon Diogène Laërce, Euthyphron aurait profité de cette conversation, et abandonné ses poursuites contre son père (Diog. Laërce. II, chap. 29). Récupérée de « http://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Euthyphron_(trad._Cousin)&oldid=2941837 »

l’homme ( Ce ne sont pas des faits naturels mais culturels et en cela ils sont proprement humains). L’homme sage « prendra plus de plaisir que les autres au spectacle. » ( Épicure, Dans Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres de Diogène Laërce). En effet, parce qu'il peut se passer du plaisir qu’il procure, parce qu'il le goûte avec modération, il éprouve à en jouir un plaisir plus grand que le non sage. Il faut donc pour être heureux se passer si possible du plaisir sexuel et goûter

KhûbeMayeul de SIGY L’épistémologie probabiliste de CarnéadeMini-mémoire de Master 1 en philosophie contemporaine,Année universitaire 2021-2022Sous la direction de Stéphane MARCHAND, Directeur d’étude à l'Université Paris-I Panthéon-SorbonneTABLE DES MATIÈRESINTRODUCTION 3LE POSITIONNEMENT DE LA NOUVELLE ACADÉMIE À L’ÉGARD DE SES ADVERSAIRES DOGMATIQUES ET DE SON MAÎTRE PLATON 4Le problème gnoséologique du critère dans la philosophie hellénistique 4Sextus