Distributeur Producteur Mdd

de référencement au distributeur en fonction de plusieurs critères : * De l'historique des rapports humains (dont la fidélité des partenaires commerciaux) ; * Du volume traité avec ou sans prise en compte d'autres produits ; * Du niveau de centralisation de la centrale d'achat du distributeur ; * Des avantages octroyés en termes d'organisation et d'espace rayon (plus généralement du merchandising sur site physique ou virtuel) ; * Du choix de la part de MDD dans les rayons ;

dossettes. Elle peut porter sur la couleur pour rendre le produit plus sympathique plus ludique. Papier toilette -> produit basique a faible valeur ajoutée. Voit peu de différence d’une marque à l’autre. les marques de distributeur ont une PDM importante. Les marques de producteur doivent se différentier pour attirer le client. Pour se différentier ils essayent de développer une fonction secondaire au produit. une fonction un peu secondaire par la couleur ou leurs aspects ludique. Le cross

estiment qu ’il y a une réelle différence entre les marques. Ils sont encore 20% à rejeter les marques de distributeurs (MDD) 2 Analyse de l’offre Nationale Dispersion /Répartition/couverture géographique Structure du marché : Bp d’acteurs Sites de l’entreprise Nestlé + Nestlé Internationale Cadburry Pas de dominants Degré de Concentration Cadburry MDD Grands groupes nationale Pme - + MDD Des leaders dominants 50% ou 75% monbana monbana (peu d’acteurs) régionale Intensité Concurrentielle

| |La région Basse-Normandie deviendra donc une région pilote pour “la production et la | | | |transformation laitière biologique et l’accompagnement des producteurs. » | | | | | | | |Danone s’est

avec la clientèle. Si tous les grands distributeurs ont eu recours à cette politique de centralisation, des différences subsistent quant à la part des achats réalisés directement par les magasins, révélant des différentiels d'autonomie au sein des groupes. La logistique représentant environ 8% des prix de vente des produits - avec une forte variabilité selon les produits, de 3% pour les cosmétiques à 15% pour les eaux minérales -, les grands distributeurs intègrent également le supply chain management

l’alimentaire en France, qui est constitué de plus de 60 millions de consommateurs, et dont 70 000 entreprises et 400 000 Agriculteurs sont en rapport étroit. « La constitution d’un tel Goulot d’étranglement justifie donc le fait que 5 regroupements de distributeurs contrôlent depuis 2010, à eux seul, la vente d’environ 90 % de produits de grande consommation », selon une étude de l’assemblée Nationale. Tout à commencé au 18ème siècle, où la notion de commerce se limitait seulement aux petites boutiques de

vente directe si la mise à disposition relie directement - sans intermédiaire - le producteur au consommateur * d'un circuit court si la mise à disposition relie le producteur au consommateur avec l'intervention d'un seul niveau de distribution intermédiaire (Exemple : Producteur → Détaillant → Consommateur) * d'un circuit long si la mise à disposition s'effectue via une succession d'opérateurs (Exemple : Producteur → grossiste → détaillant → Consommateur). On appelle " canal de distribution"

Montrez la cohérence de ce choix par rapport aux caractéristiques du segment de la fleur de sel, à l’aide de l’annexe 2. Aquasel souhaite réaliser une marge de 20% sur ce produit, calculez le prix de vente hors taxes aux distributeurs. Le taux de marque appliqué par les distributeurs pour le sel est de 15%. Calculez le prix de vente consommateur, sachant que la TVA est à 5,5%. Une enquête reproduite en annexe 7 a pour objet de déterminer le prix d’acceptabilité du bocal de "Fleur de sel de Noirmoutier"

Introduction Face à une économie en pleine mutation et un mode de consommation aléatoire, la distribution a dû se diversifier. En effet, il est dorénavant possible de trouver un produit spécifique dans différents endroits : grande surface, distributeur automatique, cinéma, station-service, etc. On peut classer les établissements de distribution selon de nombreux critères, tels que la place dans le circuit et la forme du commerce (grossiste/détaillant), la méthode de vente (magasins avec vendeurs/libre-service/vente

................................................................................... p.54 B. L’assortiment .............................................................................................. p.55 a. La politique de référencement des distributeurs ...................... p.55 b. L’exemple Kronenbourg, du côté fournisseur .......................... p.57 C. Le merchandising de Kronenbourg .......................................................... p.61 a. Définition ........................