Drumont

racistes * 13 Notes * 14 Voir aussi o 14.1 Articles connexes + 14.1.1 Associations o 14.2 Liens externes Étymologie Le pamphlétaire Gaston Méry, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 1894[3],[4],[5], selon Charles Maurras[6]. Toutefois, l'adjectif « raciste »[7] et le nom « racisme » s'installent dans le vocabulaire général dans les années 1930[8]. Il fait

découvrir à coup sûr le(s) coupable(s). Elle sert de fil conducteur aux complotomanes. Par exemple, la Révolution française a émancipé les Juifs, donc les Juifs ont fait ladite Révolution. C’était le principe de l’argumentation antisémite d’Edouard Drumont qui, au tout début de La France juive, posait comme une évidence : « Le seul auquel la Révolution ait profité est le Juif. Tout vient du Juif ; tout revient au Juif. » Le soupçon de complot peut se porter sur toutes les formes d’interactions humaines

à pratiquer des discriminations raciales, des ségrégations ethniques et à commettre des injustices et des violences, allant jusqu'au génocide. | Étymologie Le pamphlétaire Gaston Méry, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 18944,5,6, selon Charles Maurras7. Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309

toujours pas de canal. Les souscripteurs, petits épargnants, perdent leur argent, et grâce aux pot de vin, la classe politique parvient pendant un certain temps à étouffer le scandale. Le scandale éclate en 1892. Dans la publication de l'affaire, Drumont insiste sur le rôle des banquiers juifs. Il va alors s'en suivre une très violente campagne antiparlementaire et antisémite. En quelques semaines, un grand nombre de politiciens est mis en cause. Même Clemenceau est mis en cause. Le 18 mars 1893,

vallée’’ de l’Hébron et les ‘’chaînes d’Israël’’ ». Ce grand-père maternel ne pourrait donc pas être juif puisqu'il tenait des propos antisémites ; à moins qu’il n’ait fait de l'humour juif, « Dumont » pouvant désigner de façon transparente Édouard Drumont, auteur du pamphlet ‘’La France juive’’ (1886) qui fut un manifeste antisémite systématique. Mais ce fut Charlus surtout qui fut animé par cet antisémitisme médiéval et catholique. Si, dans ‘’Le côté de Guermantes’’, « Bloch allait se figurer que

en publicité et corruption. Tous les petits épargnants sont ruinés. Tous les politiques impliqués font tout pour étouffer le scandale, et pendant trois ans aucune information ne filtre. Mais en 1892, le journal « la libre parole » (fondateur : Drumont), un journal antisémite dénonçant le complot judéo maçonnique, révèle l’affaire. Le journal « la cocarde », antiparlementarisme plutôt favorable à Boulanger, fait de même pour discréditer les républicains. Les députés ayant reçu des chèques nient

140-150, 398-401. iDEGAS, Édgar, «À propos du salon», Paris-Journal, 12 avril 1870. DEFFOUX, L., «Un geste de Manet à propos du Bon Bock», Mercure de France, 1er octobre 1926, p.255. DELAVILLE, C., «Édourad Manet», L’Événement, 31 mai 1881. DRUMONT, E., «Le Salon de 1873. Les portraits», Le Petit Journal, 2 juin 1873. DUBOSC DE PESQUIDOUX, «Salon de 1872», L’Union, 16 mai 1872. DUBOSC DE PESQUIDOUX, «Le Salon de 1873», L’Union, 30 juin 1873. DUBOSC DE PESQUIDOUX, «Le Salon de 1874», L’Union

jalonnent la vie publique ; – La montee de l’antiparlementarisme de l’antisemitisme ´ ´ (Auguste Chirac publie Les Rois de la Republique en 1883, ´ ouvrage dans lequel les banquiers juifs sont accuses d’etre ´ ˆ ´ les assassins de la France ; Edouard Drumont publie La France juive en 1886). • L’auteur et son œuvre Le travail prealable consistera a faire lire la chronologie ´ ` aux eleves pour qu’ils relevent les points essentiels, notam´` ` ment le rapport qu’entretient Maupassant avec la presse.

emprunte des formes et des propagations inédites à la fin du XIXe, pour resurgir dans les années 1930. Le dessin antisémite devient ainsi un exercice de style particulièrement prisé des caricaturistes et illustrateurs politiques. Dans la France juive, Drumont avait établi une forme de fiche signalétique du juif, reconnaissable, entre autres caractéristiques à son « fameux nez recourbé », « ses oreilles saillantes », « les ongles carrés au lieu d’être arrondis en amande, le torse trop long, le pied plat

politiques et morales de la IIIème République, qui déchaîna l'opinion publique de 1896 à 1899 sur la culpabilité du capitaine d'origine juive Alfred Dreyfus, condamné à tort pour espionnage et le procès alimenta la campagne antisémite du journaliste Drumont qui s'exprimait dans le journal la Libre Parole, il publie L'Etat des Juifs (« Der Judenstaat ») en 1899, un manifeste qui deviendra le fondement du sionisme politique et prône l’avenir politique du peuple juif par l’établissement d’un « foyer juif »