Dysphasie

douleur, absence de sensibilité à la douleur Apyrétique : absence de fièvre Aniso : inégal (iso = égal) Dys, mal : anormal, difficulté à Dyspnée : difficulté à respirer (pnée = respiration) Dyslexie : difficulté à lire (lexie = lecture) Dysphasie : difficulté à parler (phasie = langage, parole) Dysphagie : difficulté à avaler (phagie = avaler) Dyspepsie : difficulté à digérer (pepsie = digérer) Dysphonie : difficulté à parler (phonie = voix) Dystocie : difficulté d’accoucher Dyskinésie

 avec  l’apprentissage  de  la   notion  et  possédant  son  propre  jeu  d’étiquettes.     Paul     Pour  un  enfant  en  difficulté,  je  suspectai  une  dyspraxie  ou  dysphasie,  j’ai  donc  adapté  le   support  en  ce  sens.  Il  avait  une  phrase  avec  un  support  pré  remplis  et  certains  mots  déjà   placés.  Il  ne  devait  effectuer

expressif |Xpressif/ réceptif 315.31 | | |Troubles isolés de l’articulation 6.00 |315.31 |Dysphasie 6.0.12 | | | |Retard de la parole 6.010 |

enfants accueillis, présentent des difficultés qui méritent un enseignement plus adapté. On parle de carence scolaire, avec des retards plus ou moins important selon les élèves, qui peuvent provenir de plusieurs facteurs comme par exemple la dyslexie, dysphasie ou même d'un facteur environnemental comme le contexte familial. Il permet à des adolescents en difficulté d'élaborer leur projet d'orientation et d'insertion professionnelle et sociale en fonction de leur capacités, par l'individualisation des

peuvent présenter des handicaps très divers : infirmité motrice cérébrale (hémiplégie, paraplégie), Spina Bifida, myopathie, poliomyélite, traumatismes crâniens, maladies neurologiques,… Ces handicaps peuvent être associés à d’autres troubles (dysphasies, dyspraxies, troubles de la concentration,…). Les troubles moteurs que présentent ces enfants peuvent porter préjudice aux fonctions principales de déplacement et de motricité, ainsi qu’à toutes les fonctions dépendantes des muscles telles que

importante des fonctions intellectuelles et de grandes restrictions de l’autonomie et de la communication on définit le « polyhandicap ». • soit, le plus souvent, par des troubles cognitifs touchant tel ou tel secteur particulier des apprentissages : dysphasie, dyspraxie, troubles de la mémoire, troubles de l’attention pouvant entraîner dyslexie, dyscalculie, dysgraphie, dysorthograhie… Ces troubles cognitifs électifs peuvent donc générer des difficultés scolaires plus ou moins graves, chez ces enfants

cérébral), liés à la rupture d'une artère ou d'une malformation vasculaire cérébrale, un trouble de la coagulation. Examen diagnostic AVC : IRM Examen complémentaire : TDM crâne, IRM+ECG Déficit d'un hémicorps selon l'hémisphère du cerveau touché : -Dysphasie, aphasie -Déviation de la bouche Étiologies : Athérome : infiltration de la paroi de l'artère par des dépôts de cholestérol, de fibrine, de calcium et de cellules inflammatoires qui épaissit cette paroi puis rétrécit la lumière de l'artère. Embolie

troubles du développement mentaux et psychologiques importants. Idem pour la maladie de Down. On peut avoir des troubles du langage sans forcément de déficit cognitif majeur en dehors du langage. On parle de Specific Language Imparment (SLI), de dysphasie de développement ou de retards de langage. A noter qu’il est très difficile de faire la part entre les déficits associés (rôle d’un gène dans l’apprentissage au niveau neural) et les déficits consécutifs (parce que le retard du langage a des conséquences

Bernicot, Dardier, Fayada, Pillon et Dubois, 2001 ; McDonald, 2000). - Troubles du développement : l’approche pragmatique connait également un essor important dans l’analyse des troubles atypiques du lagage présentés par des enfants souffrant de dysphasie (Conti-Ramsden et Botting, 1999 ; De Weck, 1998, 1996 ; De Weck et Rosat, 2003), d’autisme (Ramberg et al, 1996 ; Ozonoff et Miller, 1996 ; Norbury et Bishop, 2002 ; Bishop, 1989 ; Guidetti, 2003), d’hyperactivité (Camarata et Gibson, 19999 ; Westby

mais dans lequel la compréhension du langage se situe dans les limites de la normale. Le trouble peut s’accompagner ou non d’une perturbation de l’articulation. Dysphasie ou aphasie de développement, de type expressif À l’exclusion de : aphasie acquise avec épilepsie [Landau– Kleffner] (F80.3) dysphasie et aphasie SAI (R47.0) dysphasie ou aphasie de développement, de type réceptif (F80.2) mutisme électif (F94.0) retard mental (F70–F79) troubles envahissant du développement (F84.–) 397 ATIH. Mises