Décret Du 10 Octobre 1793

a cause de la situation, de la peur de l'ennemie. Le 14 Juillet 1789, la Bastille est prise d'assaut (Prison qui est le symbole de l'arbitraire royal). Le 4 Août, pour calmer le jeu, rétablir l'ordre l'Assemblée Constituante vote une trentaine de décrets qui abolissent les institutions de l'Ancien régime (privilèges abolie ainsi que les banalités) )> Date importante car c'est la fin de l'Ancien régime. Le 21 et 26 Août 1789, l'Assemblée adopte la déclaration de l'homme et du citoyen. Elle consacre

royauté et l'avènement de la république. 22 septembre 1792: Il est décrété que tous les actes politiques devront être daté de "l'an I". La convention doit faire face au peuple de Paris qui veulent le départ des Girondins de l'assemblée: Guerre civile entre girondins et autres groupes. Aussi, elle doit faire face à la guerre contre les monarchies. La révolution se radicalise. 21 janvier 1793: Louis XVI est guillotiné. 24 juin 1793: la convention adopte la constitution de la 1ere république (mais

l’industrialisation ne progresse que très lentement et il n’est pas encore possible de parler d’une société industrielle ou d’une société de classes au sens de Marx. En effet, même si les fondements de l’organisation d’un marché du travail sont présents avec le décret d’Allarde de 1791, le territoire national n’est pas encore suffisamment homogène pour qu’existent réellement un marché national et des relations assez étroites entre patrons, grands commerçants ou banquiers leur permettant de se constituer en une

Régime. Le 14 juillet 1789, le peuple et l’armée révolutionnaire ont pris possession de la Bastille, prison royale de l’Ancien Régime. Le 4 août 1789, l’assemblée nationale constituante a pris la décision de supprimer les privilèges, dans l’art 1er du décret relatif à l’abolition des privilèges. Sous l’Ancien Régime, les privilèges étaient un droit spécial, exceptionnel ou exclusif qui est accordé à une personne, un groupe ou une collectivité, de pouvoir faire un quelconque acte ou de bénéficier d’un

fédère autour d’elle les revendications du petit peuple urbain et surtout de la masse paysanne. Celle-ci est soumise à de nombreux impôts qu’elle remet en cause, en particulier les droits féodaux (payés aux seigneurs en majorité nobles) et la dîme (1/10° des récoltes payés au Clergé mais qui profite plus aux Haut-Clergé qu’aux curés de paroisse). Cependant, cette condition paysanne est inégale. Certaines régions connaissent des impôts plutôt faibles, d’autres subissent un régime féodal très dur comme

privilège de la chasse des seigneurs (pour manger ou compléter ses revenus), suppression des impôts seigneuriaux. On s’en prend au seigneur qui a des droits lourds encore au XVIII. Mais également aux membres du clergé : avec la dîme, qui s’élève de 1/10 à 1/50 de la récolte ou des produits artisanaux. La paysannerie devant payer des impôts à la fois seigneuriaux, au clergé, a la royauté, et s’en prend aux préleveurs d’impôts : on dénonce les mauvaises conditions de vie liées aux impôts. - Les cahiers

souveraineté nationale. Il existe cependant des éléments qui ont perduré dans cette histoire constitutionnelle : • Les hommes sont restés les mêmes, par exemple sous l’empire on retrouve un certain nombre de conventionnels (survivant de la terreur de 1793). • De plus les éléments étatiques sont restés également stables : - le principe de souveraineté nationale - La France comme État unitaire. En effet, des idées fédérales des Girondins défendaient la conception d’une France décentralisée ; ils s’opposaient

constitution. Le 14 juillet 1789, prise de la Bastille, révolution appuyé par un mouvement populaire. Cette constituante doit élaborer la constitution mais elle va élaborer une déclaration des droits. Ils commencent à élaborer la déclaration à partir du 10 août jusqu’au 26 août on trouve le droit à la liberté, la sureté, égalité, droit politique, la propriété individuelle. La DDHC comporte 17 articles, texte inachevé qui aurait pu comprendre d’autres droits. Lorsqu’elle est proclamée cette déclaration

proclamations conformes aux lois On condamne le Roi à un rôle fantoche. On enlève au roi le Dt de grâce. On lui retire le titre de chef de l’Eglise. Il obtient le veto suspensif : il n’a plus de veto absolu. Les lois votées par le corps législatif (décrets) étaient présentées au Roi : il approuvait ou formulait «le roi examinera» : le texte était suspendu. Le roi pouvait retarder pendant 4 ans, ensuite il ne pouvait plus refuser. Il était chef de l’Administration et de l’armée mais il ne nommait

prémices de la Révolution p:45 2) La rebellion ouverte 3) L'Assemblée nationale constituante p:47 4) L'echec du compromis 5) La radicalisation p:51 6) La patrie en danger 7) La convention girondine p:54 8) La Terreur 9) Le paroxysme de la Révolution 10) La réaction thermidorienne p:59 11) Le Directoire 12) Lecture p:42 p:42 p:43 p:44 p:45 p:46 p:50 p:52 p:55 p:58 p:60 p:62 Chapitre sixième L'aventure napoléonienne 1) Le consulat (1799-1804) - la réorganisation de la France 2) L'Empire - le redressement