Démocratie Participative Dans Les Collectivités Territoriales

configuration : « Le Maroc est une monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale. Le régime constitutionnel du Royaume est fondé sur la séparation, l’équilibre et la collaboration des pouvoirs, ainsi que sur la démocratie citoyenne et participative, et les principes de bonne gouvernance et de la corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes ». Et c’est { l’aune de cet article phare que s’imposerait toute lecture avisée des dispositions de la Constitution pour

sous le thème : « L’Etat territorial au Maroc et en France : quelles synergies entre les finances de l’État et les finances des collectivités territoriales ? » Rapport introductif Noureddine BENSOUDA Trésorier Général du Royaume Rabat, le 12 septembre 2014 1 Mesdames et messieurs Traiter d’un sujet aussi vaste et complexe que « L’Etat territorial au Maroc et en France : quelles synergies entre les finances de l’État et les finances des collectivités territoriales ? » nous amène à revenir aux

entre elles. Le droit public concerne des personnes morales de droit public. Elles regroupent des personnes physiques, mais autour d’intérêts généraux. Elles sont en charge de l’intérêt collectif. Ces personnes sont par exemple l’Etat, les collectivités territoriales (communes, régions, départements…) et les établissements publics (Hôpitaux, établissements d’enseignement public). Le droit public a pour fonction de décrire l’organisation de ces personnes morales de droit public et d’encadrer les relations

La gouvernance financière publique au Maroc, du contrôle des finances publiques à l’évaluation des politiques publiques M. Mohammed MESMOUDI 1 En démocratie, les pouvoirs publics sont au service du citoyen et veillent à la réalisation du bien-être social. Le gouvernement définit sa politique et la met en œuvre sous le contrôle des mandataires de la représentation populaire ou nationale. Nous sommes en droit de nous interroger, citoyens du 21ème siècle, est-ce que les vertus que reconnaissait

B) Les associations de citoyens. Cf l’aéroport de Notre Dame des Landes. ACIPA Les associations de citoyens peuvent faire pression sur les collectivités locales pour obtenir la prise en compte de besoins spécifiques ex l’accueil d’enfants handicapés à l’école. On parle de Démocratie participative. Mais cette participation peut-être négative lorsque les citoyens défendent des intérêts particuliers s’en tenir compte de l’intérêt général : on parle alors de « NIMBY » Définition de NIMBY

être celle qui se rapproche le plus d’une véritable démocratie participative. Et même si les élus, c’est-à-dire les représentants d’une démocratie représentative, conservent dans la plupart des projets le pouvoir de décision, d’arbitrages et de gestion, de plus en plus de collectivités territoriales prennent le parti d’associer le public au processus décisionnel, et par là même de modifier les rapports entre démocratie participative et démocratie représentative. Néanmoins, ce classement n’est qu’un

décentralisation depuis son accession à l’indépendance. Mais ce processus se heurte à des hésitations des autorités nationales et à des changements trop fréquents de constitution. Ce qui a créé une sorte de dédoublement fonctionnel où le chef d’une collectivité décentralisée joue à en même temps le rôle de représentant de l’Etat. Introduction « On gouverne bien de loin mais on administre bien de près » 1. Cette phrase présente dans l’exposé de motif de la loi française de 1852 nous donne une certaine

une halle et une piscine B. Quels en sont les acteurs ? - Clubs sportifs et les établissements scolaires - Bureau d’études pour « l’amont » du projet - La communauté de communes finance 25% du projet - Municipalité de Brioude - Collectivités territoriales : conseil générale et régionale (20%) - Architecte - 22 entreprises, appel d’offre C. En quoi consiste cet aménagement ? - Gradins 500 places - Bureau - Pas de tir - Salle de convivialité - Equipements classiques - Panneaux

décentralisation se distingue d’abord de la déconcentration, qui consiste en un simple transfert d’un pouvoir de décision à des autorités nommées et dépendantes du pouvoir central. La décentralisation suppose quant à elle un transfert de compétences à des collectivités dirigées par des organes élus, et donc autonomes par rapport à celui-ci. Elles se voient reconnaître un pouvoir de libre-administration pour les affaires relevant de leurs compétences. L’on comprend donc que l’autonomie constitue un élément central

(SCI-SLM) .....24 1-3 Projet : Appui aux Dynamiques de Développement des Territoires Ruraux en Méditerranée ............................................................................................................30 1-4 Projet : Mise en cohérence territoriale des produits de la planification des communes de la région Tanger-Tétouan .............................................................................................35 1-5 Projet : Appui et accompagnement à l’élaboration et la mise en œuvre des