Empire de Nicée

sédentaires et ont fondé des civilisations importantes. Deux royaumes se trouvaient dans le croissant fertile ; les Ghassanides et les Lakhmides Les Lakhmides : cette dynastie de Mésopotamie (268-602) avait une capitale (Hira). Elle composait un Empire qui était autonome mais vassal de l’Empire Sassanide (Perse). Ces derniers jouaient le rôle de tampon, de rempart protégeant l’Empire Sassanide des incursions romaines, nomades… . Si les Sassanides étaient de confession zoroastrienne, les Lakhmides

page 96-97 L’empereur gère son empire à la manière des empereurs romains : - Il utilise le droit romain (droit écrit). - Il met en place une administration centralisé (lieu ou les décisions sont prisent). b) La religion orthodoxe Cette religion est née du schisme de 1054 qui marque la séparation avec l’Eglise d’occident catholique. Orthodoxie : nom donné à l’Eglise chrétienne d’orient qui se réfère aux décisions des Conciles de l’Eglise primitive (Nicée 325). Concile : réunion des autorités

Reconquista que par l’hégémonie commerciale des marchands italiens. 1. La division du monde musulman Au XIIe siècle, l’unité de l’Empire musulman a disparu et les dynasties indépendantes se sont multipliées. Le monde musulman est divisé entre deux empires et un califat aux frontières incertaines. Cette division politique est renforcée, en Orient, par l’opposition entre musulmans chiites et sunnites. Cependant, le monde musulman demeure un ensemble immense qui s’étend sur la plus grande partie du bassin

monde change profondément. On parle d’une première mondialisation, c’est-à-dire d’une mise en contact de différents espaces du monde. Trois événements majeurs font naître un monde « moderne » : L’Empire byzantin s’effondre, remplacé par un puissant Empire ottoman ; les Européens occidentaux se lancent sur les mers et dans des conquêtes, notamment en Amérique ; l’émergence de l’humanisme. C’est un mouvement intellectuel caractérisé par l’étude des textes de l’Antiquité, l’affirmation de la dignité humaine

citoyenneté des individus qui ne sont pas de Rome. On va même jusqu'à accorder la citoyenneté à des cités. L'empire romain est celui pour lequel on a pu le plus se sentir « citoyen du monde ». Les empires se sont construit sur l'idée d'une citoyenneté mondiale. Quand, à partir du Concile de Nicée (325), le pouvoir politique romain se confond avec le dogme chrétien. La Cité de Dieu, de Saint Augustin : contre-point de la cité réelle. Saint Augustin est dans l'idée de penser une cité encore plus

conquise en 1191, Richard Coeur de Lion donne en fief aux Lusignan le royaume de Chypres (1193-1489), qui ne dépend que théoriquement du royaume de Jérusalem. La 4e croisade entraine la prise de Constantinople (1204), puis à l'issue du concile de Nicée la création de l'empire latin de Constantinople, du duché d'Athènes dominé par Othon de la Roche et de la principauté d'Achaïe donnée aux Villehardouin (1204-1261). c) Ensuite, on peut juste mentionner quelques expéditions maritimes à partir de

à une monarchie qui se reconnait comme tel. On peut dégager deux grandes périodes dans l'empire romain: • Le haut Empire (Ier et IIeme siècle ap JC) qui est une monarchie libérale où la société est relativement fluide. • Le bas Empire (IIIeme-IVeme-Vemes siècles ap JC) qui est une monarchie bureaucratique absolue dans une société figée et sur la défensive. A. Le Haut Empire Les historiens appellent "Empereur" celui qui depuis Jules César exerce les fonctions suprêmes de gouvernement au nom

Individu et Société à Rome Introduction : Rome est une ville qui, petit à petit, fonda un empire, une unité et qui a eu une influence considérable dans le bassin méditerranéen et dans la moitié de l’Europe. La république romaine est une république censitaire, c'est-à-dire qu’elle donne le pouvoir aux plus riches habitants de la cité. Rappels historiques : -753 : Fondation de Rome. Cette fondation est liée à une revanche entre les Grecs et les Troyens. Les Grecs attribuaient sa fondation à

justesse aux émeutiers qui voulaient lui crever les yeux. Charlemagne vint lui-même à Rome et Léon III le couronna du diadème impérial. Malgré la pression des évêques de France et d'Espagne, il refusa l'introduction du Filioque dans le symbole de Nicée-Constantinople, ce qui était en usage chez eux, mais pas à Rome." 1 "Il fut dans le pontificat ce qu'il s'était montré avant son élévation, plein de bienveillance et de douceur, adonné à Dieu, charitable au prochain, prudent dans les affaires. Il

processus continu» de la christianisation de l’empire, et ne pas un « tournant absolument révolutionnaire ». La conversion de Constantin est plus mysterieuse, quand on regard l’argumentation des critiques de l'école catholique. Car si l’on trouve un empire romain du IVe siècle où les païens sont beaucoup plus nombreux que les chrétiens, l’argument de la conversion de Constantin pour des raisons politiques est affaibli. Bien sûr, la question est fondée sur la notion que Constantin vraiment s’a converti