Epictète

par des douleurs plus grandes et, inversement, qu’il faut parfois accepter la douleur si elle se trouve sur le chemin qui mène à un plaisir qui la surpasse. Les stoïciens donnent lieu à une formulation sensiblement différente. Épictète affirme ainsi qu’il faut distinguer les choses qui dépendent de nous de celles qui ne dépendent pas de nous. Il faut détourner son désir des secondes et accepter les vicissitudes ce sur quoi nous ne pouvons rien, quand bien même ce serait la maladie

pitié, 5 octobre 1909 LIX. Les maux d'autrui, 23 mars 1910 LX. Consolation, 26 novembre 1910 LXI. Le culte des morts, 8 novembre 1907 LXII. Gribouille, 31 décembre 1911 LXIII. Sous la pluie, 4 novembre 1907 LXIV. Effervescence, 3 mai 1913 LXV. Épictète, 10 décembre 1910 LXVI. Stoïcisme, 31 août 1913 LXVII. Connais-toi, 23 octobre 1909 LXVIII. Optimisme, 28 janvier 1913 LXIX. Dénouer, 27 décembre 1921 LXX. Patience, 11 décembre 1910 LXXI. Bienveillance, 8 avril 1922 LXXII. Injures, 17 novembre

faut donc se contenter de peu pour accéder au bonheur. La vision stoïcienne se rapproche de cette idée. Comme dit Epictète : « La liberté consiste à vouloir que les choses arrivent non comme il te plait mais comme elles arrivent. ». L’homme est libre quand il accepte l’ordre du monde, non lorsqu’il plie l’ordre du monde à ses désirs. De plus, dans son Manuel, Epictète dit « L’homme qui n’est sujet à aucune entrave est libre ». Cependant, l’homme qui est affranchi de toute entrave n’est

leurs conséquences dans le futur. On peut dire qu'être conscient équivaut au fait d'être sujet puisqu'elle est unique. Malgré cela, on ne peux affirmer être totalement sujet, mais plutôt des sujets potentiels, d'où l'idée du devenir émise par Epictètes et les stoïciens: «qu'est-ce qui dépend de moi? Mon jugement, ma volonté» ce qui se rapporte au «je» donc à un sujet. On peux ajouter, donc, qu'être sujet c'est être le maître de soi. Être le maître de ses émotions tel la colère ou même la souffrance

bonheur est de bien user de sa pensée afin de se faire une idée juste de ce qu'est le bonheur et se représenter les voies qui y mènent. Cette toute puissance de la pensée de l'homme, le stoïcisme en fait la base de sa morale : comme nous le rappelle Épictète dans son Manuel, « Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais les jugements qu'ils portent sur ces choses. » La clef du bonheur n'est donc pas dans une course effrénée à la suite des désirs, accompagnée d'une fuite devant les

superstition, conception délirantes. Consiste à voir des liens de causes à effet entre des évènements qui n’ont rien à voir. Texte 3 page 146 : Ce qui dépend de nous, ce qui n’en dépend pas, Epictète. Stoïcisme est libre de ce qui ne désir que ce qui dépend entièrement de son pouvoir. Quand Epictète constitue de se qui dépend de nous il affirme que se sont seulement nos pensées. On peut contraindre les gens à s’exprimer et se comporter d’une certaine façon par la force. Par contre, on ne peut

désir De nombreuses philosophies de vie, comme le bouddhisme ou le stoïcisme, préconisent de se libérer des désirs et des passions. « Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. » Manuel, Épictète, Ier siècle Pour Schopenhauer, seuls la mort et l'art peuvent nous libérer de la torture du désir. En effet, l'art est un regard esthétique et désintéressé sur le monde. Dans cette pure contemplation, il ne peut y avoir de désir d'agir sur le monde

être véritablement dangereux -Le philosophe pour Platon doit gouvener = seul le philosophe connaît la sagesse et la vérité , le philosophe est donc roi B:Pour être heureux -Il faut accepter l'ordre du monde = c'est l'idée du stoicisme ( Sénèque -Epictète-Marc Aurel(empereur)) -C'est dans le temps réel et non dans l'imaginaire (Platon) que nous devons devons construire notre bonheur -Le bonheur n'est pas une somme de sensation c'est plutôt une attitude de volonté, la finalité suprême c'est de vivre

pour cause de mauvaise formulation des pensées et cela nous fais mal à la tête. La philosophie nous propose des méthodes pour formuler la langue différemment en sorte que les pensées deviennent claires. Une bonne dose de détachement d’Epictète Epictète part de l’idée qu’il faut adopter une position stoïcienne et si dire que tout dans la vie ne dépend pas de nous et on a bon prévoir les choses rien ne se passe comme on l’a voulu. Il faut s’auto persuader qu’il faut « vivre en accord et en harmonie

initiée par un philosophe grec de l’antiquité : Zénon (340-263 av. JC). Sa doctrine a beaucoup influencé toute la culture antique grecque et latine. Il faut en retenir : l’extrême exigence morale que l’on retrouve dans les œuvres de Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle. Le stoïcisme part de l’idée que la nature se confond avec Dieu, il est donc nécessaire de vivre conformément à la nature et à la raison. La vie se partage entre les choses qui ne dépendent pas de nous et les choses