Équilibre de Nash

du troisième degré : la segmentation des marchés 2.3.3 La discrimination du deuxième degré : l'auto-sélection des acheteurs Compétition à la Cournot . . . . Compétition à la Bertrand . . . . 3.2.1 Le paradoxe de Bertrand . 3.2.2 Équilibre de Bertrand avec 3.2.3 Équilibre de Bertrand avec . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . biens diérenciés . . . . contraintes de capacités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

les économistes sont assez artificielles et peu convaincantes. Elster n'a décidé d'étudier que quelques cas particuliers. « L'altruisme de Nash » est introduit par l'auteur afin d'étudier tous les paradoxes mis en évidence par l'auteur. Cette notion présuppose des motivation altruistes et que les contributions se déterminent réciproquement dans un équilibre de Nash. Mais, même cette notion semble trop limitée, car, elle prédit des contributions inférieurs aux contributions observés empiriquement, à

Dans ce cas, un optimum de Pareto assure que toute offre rencontre sa demande; les ressources sont toutes 49 utilisées. L’efficacité des marchés concurrentiels Dès lors, si l’ensemble des règles du premier théorème de l’économie du bien-être (un équilibre compétitif est toujours Pareto efficient) sont respectées, alors les marchés sont efficients •  Pour évaluer l’état d’un marché, nous nous demandons souvent s’il réalise une situation d’efficacité économique : –  maximisation des surplus agrégés

concurrence et de baisse des prix conduit à ce que, de manière agrégée, le prix soit égal au Coût moyen des entreprises du marché.  équilibre de libre-entrée A l’équilibre : Finalement : les coûts marginaux déterminent le volume de la production les coûts fixes affectent le profit et déterminent l’entrée et la sortie des entreprises VIII. Equilibre concurrentiel entre offre et demande A. Hypothèses sur le marché Le marché est une entité complexe, présentant de nombreuses caractéristiques

l'éducation de la personne, et qu'il amène à un équilibre séparateur : • tout d’abord la condition dite de « compatibilité de motivations » : l'individu de faible productivité est supposé n’avoir pas assez de motivation pour obtenir davantage d’éducation (par exemple, il arrête ses études plus tôt) ; • ensuite la condition de rationalité individuelle : l'individu de productivité élevée est dans une position plus favorable avec un équilibre séparateur, c'est-à-dire avec un salaire différent

aussi en termes de qualité, de discrimination, de dépenses en recherche et développement, de publicité ou d’innovation. Par rapport au cadre de la concurrence parfaite, on ne se place plus dans un cadre d’équilibre général mais dans celui d’un équilibre partiel. On se concentre sur un ou plu­sieurs marchés mais pas sur l’économie dans sa totalité. Par ailleurs, dès lors qu’on sort du cadre de la concurrence parfaite, l’entreprise n’est plus preneuse de prix ("priee taker") et fait face à ce qu’on

dernier présente la particularité d’assurer aux parties un gain certain puisque les parties savent qu’en incomplétude le partage n’est déterminé qu’ex post, c’est-à-dire une fois l’incertitude sur l’état de nature levée, par une règle fixe (la solution de Nash). Le contrat incomplet sera choisi si l’espérance de gains qu’il génère s’avère supérieure à celle d’un contrat contingent complet. • Le modèle de Lipman (1992) Il considère que les parties ne sont pas tant confrontées à de l’aversion

depuis la révolution smithienne contre la pensée mercantiliste (Steiner, 1998), les problèmes visés par « la » rse ont été définis classiquement comme des situations sous-optimales par rapport à un référentiel utilitariste (optimum de Pareto, équilibre de Nash, etc.), pour cause d’externalités ou d’asymétrie d’informations. En général, l’argumentaire renvoie à l’idée que tout événement affectant négativement le profit dégagé par l’entreprise pénalise l’investissement futur voire la pérennité de l’entreprise

joueur correspond exactement a la perte subie par l’autre (jeu a somme nulle ou ` ` duel). Le jeu d’´checs est un exemple de jeu o` l’antagonisme entre joueurs est ainsi e u pouss´ ` l’extrˆme. Les cas d’application en ´conomie sont rares. En 1951, Nash ea e e a montr´ comment les id´es d´velopp´es par Cournot d`s 1838 pouvaient servir de e e e e e base pour construire une th´orie de l’´quilibre non coop´ratif pour des jeux a somme e e e ` variable, qui g´n´ralise la solution propos´e par von Neumann

coopératif: le modèle de Cournot de concurrence sur les quantités (on parle parfois d'équilibre de Nash sur les quantités). En gros, le modèle de Cournot suppose que chaque entreprise égalise son propre revenu marginal et son coût marginal, considérant comme donnée la production des autres entreprises' 3. On a un modèle de comportement oligopolistique plus réaliste avec l'hypothèse de Bertrand (équilibre de Nash sur les prix), où chaque entreprise fixe son prix de manière à maximiser son profit, étant