Esthetique Du Monstrueux

intervention du personnel technique donc interruption de la représentation, pendant les entractes, qui étaient nécéssaire. Conséquences du matériel sur l'écriture théatrale. Un acte ne devait pas durer plus de 25 min, les 5 actes sont des injonctions esthétiques du théâtre d'Horace, mais il y a aussi des contraintes techniques. La scène et la salle sont éclairés par des lustres, des chandelliers. A la fin des années 1630 on voit apparaitre la rampe. 2 Rangés de bougies (300) placées sur le bord de la scène

vigoureux du taureau en grisé, les poteaux noirs des pattes comme étrangers à la tête et au poitrail dans la lumière, la queue flottant en bannière victorieuse, signent une force brute et dominatrice. Il symbolise la violence. C'est le mythique et monstrueux Minotaure qui intervient pour introduire une présence ambiguë et menaçante. L'iconographie tauromachique est une composante fréquente de l'œuvre de Picasso. Le taureau symbolise la force brutale du peuple triomphant. Tombé symboliquement entre les

visage (c’est dans le visage et dans l’expression qu’on sent la vie d’une personne). Ici, sorte d’anonymat, de négation de la personne, de sa mort. Artificialité. * Papillons=maquillage. Elle se redessine entièrement le visage. (//chirurgie esthétique ?) * Prise électrique rouge. Idée de beauté artificielle, nécessité de la coiffeuse. Lien très fort entre les deux sens du mot vanité. * Futilité de la vanité délaissant l’essentiel. * L’obsédante vanité coupant de la vie * La

s’y tordre jusqu’au fond à la manière d’un serpent sans tête couvert d’écailles lumineuses. Cela ressemblait aussi à quelque monstrueux candélabre, d’où ruisselaient tout au long des gouttes de diamant en fusion. La nuit douce s’étalait autour d’eux ; des nappes d’ombre emplissaient les feuillages ». Cet émoi de Flaubert devant un spectacle qui flatte son sens esthétique ne rappelle-t-il pas celui de Chateaubriand savourant la nuit dans les déserts du Nouveau Monde ? Les émois de la passion Parfois

scandalisés s’est imposée, en France, comme une des manifestations les plus visibles du goût contemporain pour la provocation. Gainsbarre, double maléfique de Serge Gainsbourg, est à l’artiste ce que Mister Hyde est au Docteur Jekyll, un double monstrueux devenu une sorte d’ennemi public numéro un. Toutes les productions de Gainsbourg, à partir de la fin des années 1960, sont ainsi jugées a posteriori provocatrices. Nul ne songerait, bien sûr, à s’en prendre aux premières chansons, à la Javanaise

nous échapper même si les cités artistes et l’utopie ouvrière de Voyage en Orient doivent nous amener à moduler ce constat. La cité idéale des romantiques s’inscrit dans l’héritage de l’utopie traditionnelle, mais pour mieux s’en distinguer par son esthétique irrégulière et sa destructuration politique. Quant aux textes, ils s’opposent à tout dogmatisme, à toute exclusion. Certains auteurs romantiques, comme Ballanche, cultivent encore la forme classique de l’utopie. Ainsi, dans La Ville des Expiations

autobiographique que par son ambition de composer une vaste fresque du monde contemporain. C’est d’ailleurs du fait de cette évolution que beaucoup de critiques considèrent cette œuvre comme ce qui aurait pu être son premier vrai grand roman.     II) Esthétique de son œuvre Ce qui d’emblée se remarque chez Camus, c’est le choix de la mixité des genres d’écriture : roman, théâtre, essai philosophique, prose poétique. Cette mixité est d’ailleurs présente à l’intérieur de chaque œuvre car même son écrit

version! thèmes de plus en plus romantique (imagerie,….)! influences de shakespeare! ! *Autoportrait de fussli*! Ambiance très psychologique! ! *Le réveil de Titiana*! Influencé par les pièces de shakespeare! ! *…*! Aspect monstrueux très présent! ! *BLAKE, Newton*! graveur britannique! Le représente nu en train de faire des calculs => pour se concentrer sur l’homme et oublier le reste! pour lui (BLAKE) la science est une régression => sert à se centrer sur soi! Monotype

Frenhofer, mais aussi de Poussin et Porbus. Il devient le prétexte à des considérations générales sur l’œuvre d’art ; – l’objet d’une double quête : la quête artistique de Frenhofer, qui rêve par cette toile de réaliser son idéal pictural ; et la quête esthétique de Poussin, qui espère contempler là un modèle, donc entreprendre sa propre initiation ; – enfin, un objet d’amour : Frenhofer prétend avoir donné vie à sa figure peinte, qu’il considère comme « son épouse ». Dès lors, ce chef-d’œuvre, femme vivante

représentation et le résultat obtenu. Si la parole a le pouvoir de mentir c'est qu'elle a des capacités de persuasion décuplées. On peut de ce fait toujours abuser du pouvoir de la rhétorique. On ne hiérarchise pas. On ne pose pas le problème des critères esthétique, c'est un jugement objectif sur le pouvoir de la parole. « S'il est honteux de ne pouvoir se défendre avec son corps, il serait absurde qu'il n'y eut point de honte à ne pas pouvoir le faire avec la parole » : il y a une légitime défense de