Ethnocentrisme

libre rend sans doute raison de ses progrès, de ses changements et de l’essence de l’homme. Mais, cette conception d’après laquelle l’homme est libre face à la nature statique abouti à concevoir une hiérarchie entre les cultures qui n’est qu’un ethnocentrisme déguisé. Comment rendre raison de la spécificité humaine sans envisager un éloignement de la nature ? N’est-ce pas le concept même de nature qui est la source de toutes les questions. III) La nature libérée d’elle-même : l’inexistence de la natureA)

prédéterminent ses choix. L’homme est donc, malgré son indétermination originelle, et même précisément à cause d’elle, extrêmement déterminé : déterminé à vivre en groupe, à intérioriser les schémas mentaux et comportementaux de ce groupe, à développer un ethnocentrisme qui rend très difficile l’écoute et la compréhension des autres choix d’existence possibles. • Mais si nous devons accorder cela aux déterministes, il serait trop pessimiste d’en conclure que l’homme est condamné à subir éternellement le

pratiquement identiques Communication efficiente : Communication qui offre le meilleur rapport possible entre le coût en ressources et les résultats Écoute active : Façon d’écouter qui aide l’émetteur à exprimer ce qu’il veut vraiment dire Ethnocentrisme : Tendance à penser que les façons de faire de sa propre culture sont les seules valables Esprit de clocher : Tendance à présumer que les façons de faire de sa propre culture sont universelles Effet motus : Phénomène qui consiste à rester bouche

décidé de les dominer, car ce n’était pas des hommes de leur espèces, du moins ils étaient forcément inférieurs. Les peuples dits barbares n’ont eu aucun choix de leur sort. La civilisation Européenne a exclu et enfermé leur culture dans un certain ethnocentrisme. C’est pourquoi les philosophes des Lumières dénoncent les théories ethnocentristes qui dominent grâce à des récits de fiction. Nous pouvons prendre comme exemple Supplément au voyage de Bougainville, où Diderot écrit une réponse au texte de Bougainville

son code serait incontrôlable et très égoïste. C’est en essayant de comprendre l’autre que nous pouvons l’aider et donc faire avancer la société. Donc il est nécessaire de comprendre autrui pour partager le même monde est vivre paisiblement sans ethnocentrisme. En démocratie, il y a les lois. Des lois sont régulièrement voté pour le bien être du pays ou de la société. C’est donc d’abord penser à autrui et le comprendre pour améliorer sa vie. Les lois ont un côté universel qui permet à tout le monde

la chair des animaux. Elle révèle la véritable cause de cette stigmatisation : la gourmandise, péché capital dans la religion catholique ! Le point de vue de la poularde, uniquement bête à manger, qui ne voit les choses que par rapport à son ethnocentrisme, dévoile ainsi les véritables motivations des hommes et en révèle l’incohérence par rapport à la religion qu’ils disent observer. C’est ce que vont montrer la suite du raisonnement de la poularde, puis la tirade du chapon. Une anecdote est le

fonction du temps. Elle s’acquière, elle n’est pas innée, elle est dépendante de l’environnement. La perception de la culture est subjective, relative à chaque individu. Confrontation avec les étrangers que nait les perceptions culturelles. Ethnocentrisme, les caractéristiques d’une certaines cultures sont meilleures qu’une autre. Impact sur les autres individus et la conduite des affaires. B- Les indices d’identité culturelle Indices visibles comme la langue, habitudes vestimentaires etc…

d’ailleurs ce que défend Jacques Chirac dans l’un de ces discours « les dirigeants arabes ont parfois des méthodes qui ne sont pas les nôtres. Mais je me refuse à juger des régimes politiques à l'aune de nos traditions au nom de je ne sais quel ethnocentrisme. » Pourtant, on a tendance à le faire. En effet, on pratique l’ethnocentrisme c’est-à-dire que nous jugeons les autres cultures à partir de notre propre culture et ceci inconsciemment. Ainsi, la pratique de l’excision chez les petites filles,

Peut-être à l’abris des regards étrangers et pour une consommation domestique seulement, y a-t-il des traductions des ouvrages de Lynn et Rushton que les dirigeants de la Corée du nord étudient. Mais probablement, leur nationalisme se résume à un ethnocentrisme du genre “C’est nous les meilleurs” rencontrés de tous temps et partout, avant la période présente il va sans dire. Le roman populaire anti-américain Jackals (Chacal) de 1951, décrit les caractéristiques physiques répugnantes des caucasiens

elements might be a brake to competitive advantage through cultural diversity: stereotypes, ethnocentrism. “A stereotype is a fixed notion about persons in a certain category, with no distinctions made among individuals” (Schneider et al., 2003, p.14). Stereotypes lead to clichés and constitute a brake for multicultural teamwork who cannot work correctly, since there are misunderstandings between people. “Ethnocentrism has been defined as an exaggerated tendency to think the characteristics of one’s own