Facteurs De Contingence Mintzberg

(Page 20) Partie 2 : Les problématiques contemporaines et empiriques (Page 20) Chapitre 3 : Les approches par la contingence, où la fin du « one best way » (Page 20) I) Les variables où facteurs de contingence interne Page 20 §1) La taille de l’organisation §2) L’âge de l’organisation §3) La technologie §4) La stratégie II) Les variables de contingence externes Page 22 §1) Le lien entre la structure et la stabilité de l’environnement §2) Approches complémentaires

[modifier]Définition La structure regroupe les différents organes et les relations entre eux (hiérarchiques ou fonctionnelles). En fait, il s'agit de la répartition des tâches, des responsabilités, des pouvoirs et des communications dans l'entreprise. Selon Mintzberg, la structure se définit comme la somme des moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes. La structure est définie par : Sa forme fonctionnelle. Son degré de formalisation (recours à l'écrit) : ce qui doit être fait. Son degré

Définition La structure regroupe les différents organes et les relations entre eux (hiérarchiques ou fonctionnelles). En fait, il s'agit de la répartition des tâches, des responsabilités, des pouvoirs et des communications dans l'entreprise. Selon Mintzberg, la structure se définit comme la somme des moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes. La structure est définie par : * Sa forme fonctionnelle. * Son degré de formalisation (recours à l'écrit) : ce qui doit être fait

Document 2 : Le courant des théoriciens de la contingence structurelle La plupart des théories classiques cherchent à établir un « bon » modèle d’organisation, quel que soit le point particulier auquel elles s’attachent. Elles sont normatives, et reposent le plus souvent sur le postulat du « one best way » : il existe une façon et une seule d’arriver au meilleur résultat possible, celle de suivre leurs prescriptions. 1 Les théories de la contingence vont faire un pas en avant en levant dans une

jusqu’aux années 1970, Fleury Michon n’a de cesse de se diversifier. Ses DAS sont donc nombreux : la charcuterie traditionnelle, la charcuterie pré-emballée, ou encore la préparation de de plats cuisinés en libre-service. Ils sont donc définis par des Facteurs Clés à Succès, qui représentent la traduction de la Corporate Strategy en objectifs concrets. Dans les années 1980, la Direction Générale, qui centralise durant cette période les pouvoirs, prend la décision de se recentrer sur ces domaines d’activités

humaines (1930) Les insuffisances de l’école classique, mais aussi la crise de 1929, sont à l’origine d’un mouvement de contestation de la pensée classique et de son rationalisme. D’autre part, les travaux de Sigmund Freud montrent l’importance des facteurs psychologiques et physiologiques liés aux conditions de travail. Ainsi apparaît l’école des relations humaines dont les idées seront complémentaires à celles de l’école classique. A. Elton Mayo (1880-1949) - L’homme : Il était professeur de psychologie

s’occuperont de nos funérailles » ……….. • En sciences Economiques , l’organisation est reçue sous la forme d’une entité «rationnelle!», mais pour le reste, mystérieuse qui agit, on ne sait trop comment, uniquement pour maximiser son profit. … » • Henry MINTZBERG : Voyage au centre des organisations, traduit par Jean-Michel BEHAR, 4ème édition 1997 / LES EDITIONS D’ORGANISATION Cours de : Théorie des Organisations Professeur : M. Larbi M’HIN 23 • Certes, nous vivons dans un monde d’organisations

Instrumentée : permet de gérer les changements de grande échelle grâce à des kits de déploiement, de formation et de communication, des plans de communication, études d’impacts et plan de formation. * Psychosociologique : traite plus les facteurs de résistance, les facteurs de motivation, les modes de management et les relations sociales entre groupe, plutôt que l’accompagnement dans la conduite du changement. * Gestion de projet : La plus complète cadence étapes intermédiaires du changement et meilleur

unité légale, personne physique ou personnes morales qui jouissent d’une autonomie de décision, produit des biens et des services marchands. Rôle économique de l’entreprise : a pour but la maximisation de la richesse obtenue par une combinaison de facteurs de production garantie par la pression du marché et de la concurrence. Selon les gestionnaires, la rationalité supposée de l’homo-oeconomicus est démentie et l’entreprise est considérée comme une convention d’efforts. LACAN : « je suis (être)

l’économie d’entreprise car : c’est un problème de coordination des ressources et non plus de leur allocation optimale. == nous ne nous plaçons plus dans un univers d’optimisation comme en économie d’entreprise == pluralité des organisations = contingence des ajustements. Les organisations ont toutes un impact sur la création de la richesse nationale. En effet, si les organisations ont des finalités différentes : entreprises : le profit ; le secteur public : l’intérêt général, l’association :