Faculté Positive Descartes

pouvoir de la raison 1. Le doute méthodique : un instrument au service de la vérité. Le doute apparait nécessaire car nous avons été sous lʼemprise des préjugés et des opinions et nous avons vécu dans un état de passivité intellectuelle (pour Descartes : lʼenfance ) avec lequel il faut rompre. Toutefois il ne sʼagit pas de douter pour douter, mais de douter pour connaître. «Je pense donc je suis» = «Cogito ergo sum» ! expérience qui relève de chacun dʼentre nous = subjectivité ! cet énoncé

principalement sur des croyances considérées comme vraies, elle n’est pas dissociable des conceptions métaphysiques, de la théologie (elles puisent dans l’argumentation religieuse). Ce qui fait émerger la philo moderne c’est le recourt à la raison, à une faculté de jugement qui nait avec le carthésianisme, et sur l’observation des faits, de la société. Les philo contemporains s’appuient plus sur l’observation de la société pour produire un certain nombre de valeurs. Différence entre théorie et philo politique 

et Désir Dans la philosophie occidentale, l’Homme est conçu sur le modèle d’un tribunal. Le fonctionnement d’un tribunal se distribue autour de trois pôles ou de trois instances : La loi, le juge et les accusés. En ce qui concerne les facultés humaines, le rôle de la loi est joué par la Raison qui est censée nous dire comme la loi, ce qui est juste. La fonction de juge est assumée par la volonté qui comme le premier est supposé être indépendant, impartial mais en même temps à l’écoute

débuts par le recours d'un faux-ami « falsifiabilité ») : La notion a été forgé par Karl Popper dans les années 1930. Une affirmation est dite réfutable s'il est possible de consigner une observation ou de mener une expérience qui, si elle était positive, entrerait en contradiction avec cette affirmation. La réfutation résout le problème de la validité. Par exemple, l'affirmation « tous les corbeaux sont noirs » pourrait être réfutée en observant un corbeau blanc. Histoire internaliste : histoire

d'impact immédiat et conséquent sur le réel, et qu'elle se caractérise par l'indétermination. On peut opposer la philosophie à la science, et aussi la philosophie à la morale, car la philosophie, contrairement à elles, ne peut pas influencer de façon positive le quotidien de chacun, la vie de tous. La science peut ainsi prétendre à une utilité par les technologies qu'elle crée, qui facilitent la communication, comme Internet par exemple, qui augmentent la production, ou qui sauvent des vies, grâce aux

LA RAISON ET LE REEL Ce domaine de réflexion interroge la vérité et se rapporte à sa recherche. C’est une interrogation sur les facultés humaines qui permettent de trouver les vérités. Notions : la raison, la vérité, la religion, la démonstration, l'interprétation I. Vérités du cœur et vérités de la Raison A Préambule : analyse du problème philosophique Pour résoudre un problème quelconque, il faut des définitions (axiomes ou postulats) déjà posés auparavant. Les vérités existent, car :

exemplaire car il sert d'intermédiaire entre les mathématiciens Descartes, Gassendi, et Fermat. En outre, les publications de périodiques se multiplient. Le Journal des savants est publié à Paris dès 1665, les Philosophical Transactions paraissent à Londres en 1665 et les Acta eruditorum à Leipzig en 1682. Mais les mathématiciens n'hésitent pas non plus à se déplacer et voyager pour rencontrer et dialoguer avec d'autres chercheurs européens. Descartes, Huygens, Mersenne, Leibniz parcourent ainsi l'Europe à

fondateur le philosophe Pyrrhon dont nous ne connaissons que peu de choses. Nous possédons cependant quelques fragments de l'œuvre de son disciple Timon de Phlionte. Le scepticisme antique est ainsi résumé par Sextus Empiricus : « Le scepticisme est la faculté de mettre face à face les choses qui apparaissent aussi bien que celles qui sont pensées, de quelque manière que ce soit, capacité par laquelle, du fait de la force égale qu'il y a dans les objets et les raisonnements opposés, nous arriverons d'abord

instruments « organiques ») qui assure l’exercice et la transmission héréditaire des conduites essentielles à sa survie et à celle de l’espèce ; mais tandis que chez l’animal, « l’instinct trouve à sa portée l’instrument approprié »,l’homme a la « faculté de fabriquer des objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils » (Bergson : Évolution créatrice) Signe et témoin de son appartenance culturelle, l’activité technique tend à la réalisation d’une fin déterminée, elle nécessite un

verrons que l'amour lorsqu'il est trop raisonné ou trop « fou », peut faire souffrir l'Homme, lui nuire. Enfin, nous nous demanderons s'il existe un amour véritable, juste milieu entre « amour fou » et « amour raisonné». Les animaux n'ayant pas la faculté d'aimer, aimer demeure une caractéristiques propre à l'Homme. De plus, l'Homme est réellement épanoui que quand il se trouve confronté à lui meme. Dans une relation, l'homme épanoui est capable de donner, de recevoir et de s'engager. Il doit aussi