Faut Il Réformer Le Conseil Constitutionnel

de la France de 1789 à nos jours, CHEVALLIER & CONAC. ( Histoire constitutionnelle de la France, DUHAMEL. ( Institutions politiques et droit constitutionnel, ARDANT. ( Droit constitutionnel, HAMON, TROPER & BURDEAU. ( Institutions et vie politique, La Documentation Française. ( Institutions politiques et droit constitutionnel, PACTET. Introduction §1. Qu’est-ce que le droit constitutionnel ? Le droit constitutionnel est le droit de l’Etat, dont les mesures ou les constitutions ne sont

pouvoir législatif, d’autre part au pouvoir exécutif. De plus, si l’on rappel le contexte historique, la Charte octroyée par Louis XVIII n’organisme pas ce type de régime sur un plan constitutionnel, elle donne naissance à un « régime parlementaire de fait ». Ainsi, la fin de la IIIème République (Lois Constitutionnelles de 1875) résulte d’une crise majeure et de l’incapacité de l’Etat d’y faire face. Le régime de Vichy laisse ensuite place à IVème République, (Constitution du 27 octobre 1946), celle-ci

République a fêté son cinquantième anniversaire. La révision constitutionnelle adoptée le 23 juillet 2008 est sans conteste la plus importante depuis sa promulgation en 1958.Elle a conduit à la création de neuf nouveaux articles et en à modifié ou complété trente-neuf autres. Ainsi, cette révision constitutionnelle modifie en profondeur certains équilibres institutionnels acquis depuis 1958. De plus , il est important de préciser que cette réforme a été véritablement préparée et a fait l’objet d’une réflexion

mais qui a des loin étroit avec d'autres matières notamment le droit constitutionnel, les parlements étant nés du droit de lever des impôts. Le budget de l'État, la loi de finance est votée par le parlement mais le débat est un débat essentiel. Il y avait avant deux sessions parlementaire dont l'une était quasiment réservé au débat sur la loi des finances. Aujourd'hui les débats durent environ 70 jours. Le Conseil constitutionnel est saisi sur les lois de finances et il a bâtit une jurisprudence

l’exécutif : notamment dans la personne du président du conseil. - Le parlement : o bicaméral composé de l’assemblée nationale et du conseil de la république  Bicaméralisme inégalitaire au profit de l’assemblée nationale, car le conseil de la république a essentiellement un rôle de réflexion et donc une fonction consultative, o l’assemblée nationale dispose de l’initiative de réforme constitutionnelle, et des lois de financement. De plus, si le conseil de la république ne donne pas son avis dans un

candidat, c’est le Conseil constitutionnel qui tranche. Après la décision, le candidat a 15 jours pour se décider. On a des incompatibilités avec une activité publique (politique…). On ne peut pas avoir plus de mandant en plus d’être députés ou sénateurs. Interdiction avec le fonctionnariat, ils ne peuvent pas cumulé en étant députés/ sénateurs, et dépendre de la fonction publique. Il y a des incompatibilités avec un certains de fonction publique comme le Conseil constitutionnel. Incompatibilité

(droit commercial ; droit civil…)· Droit public : toutes les règles juridiques qui vont concerner le fonctionnement et les relations des collectivités publiques (droit constitutionnel ; droit administratif ; droit fiscal)· Droit de l’Homme : droit qui sont inerrants à l’être humain protégés par le droit public -> droit constitutionnel. Cette protection doit se conformer aux exigences supérieures (protection européenne et internationale)· Ordre de juridiction : ensemble distinct et hiérarchisé de juridiction

les sénateurs, les conseillers généraux, des représentants de conseils municipaux et des territoires d'outre-mer : au total près de 80 000 personnes. Il n'a fonctionné qu'une fois en 1958 pour l'élection du Général de GAULLE (qui obtint près de 80% des suffrages). Le système actuel d'élection du Président de la République au suffrage universel direct a été introduit dans la Constitution, en remplacement du précédent mode de désignation, par une réforme de 1962. Cette réforme a été réalisée par référendum

composé d’un ou plusieurs particuliers choisis par les partis au litige en raison de la confiance particulière qu’ils lui accordent. Souvent chacune des parties au litige désignera un arbitre et les deux arbitres nommés en désignent un troisième. Il faut que les deux parties soient d’accord sur ce principe au préalable. Cet arbitrage ne peut être utilisé que dans certaines matières, celles dans lesquelles les parties peuvent renoncer à leur droit. Les partis peuvent recourir à l’arbitrage de plusieurs

l’administration. Remarque : Sans mission d’intérêt général, il n’y a plus d’administration. Ces missions sont des missions distinctes des missions spécialisées (confiées à des personnes privées) qui interviennent dans un but de rentabilité. Il faut préciser que l’administration sera au service de missions qui auront été défini par les élus. Elle transcende les personnes qui la mettent en œuvre. L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers. En revanche, il peut parfois rejoindre