Finitude

encyclopédique mais R. met l'accent sur la réflexion « philosophique », la curiosité, la découverte, la compréhension de ce que l'on apprend. Cette connaissance du monde et de l'homme est relativisée par le constat qui détermine le texte : la vie humaine est finitude et transitoire. Dernier point de cette éducation humaniste : il faut de la morale et respecter Dieu. La sagesse est l'importance sont accordés à la conscience (Salomon) « Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » G. dit à son fils qu'il

l’être ; c’est être à la fois « être là » et ne pas y être : c’est avoir la capacité de se rapporter à quelque chose qui n’est pas là, n’y est plus, ou alors pas encore… On comprend que le temps ait souvent été considéré à la fois comme signe de la finitude du sujet humain, mais aussi de sa puissance d’action sur le réel. Nous sommes donc toujours sujets en un double sens du mot. Positivement, parce que nous avons un pouvoir de conscience, d’activité autonome, de contrôle relatif, de résistance

mouvement de réduction de l’altérité, inauguré par la modernité, qui devient « excessif » dans l’hypermodernité. Tout ce qui peut se présenter comme figure d’altérité y passe : l’autorité, la hiérarchie, le sacré, le corps, le temps, le désir, la finitude, la présence, la différence… L’altérité ne disparaît pas bien sûr, c’est plutôt sa reconnaissance sociale qui tend à disparaître. Est plutôt reconnue une autonomie qui rime avec indépendance. Selon Michel Foucault « Le problème à la fois politique

changez jamais ». * circularité du temps sans début, ni fin : déterminisme du cosmos avec l’éternel retour. III- Le destin de l’homme a) Les marques de rupture * Chaque strophe met en perspective l’éternité de la nature et la finitude de l’homme. * Des strophes (3 à 5), Ronsard fait une démarche comparative : * 3 et 4 : « Mais ». * 5 « et » : valeur adversative. b) Sous le signe de la dégradation * Vocabulaire du changement (surtout dans le 2e paragraphe :

désir se nourrit moins de la satisfaction apaisante que du recommencement : c’est avant tout un désir de désirer quelque chose, car c’est cela qui nous donne des projets. - Enfin , le désir est souffrance parce qu’il montre à l’homme sa propre FINITUDE et son imperfection : PLaton, dans le Banquet, décrit les hommes comme des Dieux déchus, coupés en 2 et à la recherche de leur moitié (mythe de l’androgyne) 2) Mais le désir est aussi la source de notre plus grand contentement : il faut donc

mortel et misérable (pécheur). Sans le divertissement, l’homme tombe dans l’ennui. À cet instant il prend conscience de son malheur existentiel, qui l’entraîne à la tristesse puis au désespoir. L’ennui n’est autre que la prise de conscience de notre finitude. L’homme est accablé par sa petitesse et sa peur de la mort, c’est alors qu’il se jette dans l’agitation pour se détourner de ses préoccupations existentielles. Telle est la condition de l’homme sans Dieu qui s’égare par le refus d’accepter sa mortalité

raviveur de souvenirs intergénérationnels d’une famille. Par le langage, l’objet trivial accède au statut d’objet poétique. Ici la fuite du temps est douce voir nostalgique, loin du caractère effrayant de l’aiguille de l’Horloge qui pointe à l’homme sa finitude et sa vanité. I) L’humanisation progressive du buffet A) La personnification de l’objet Vers 1 : attributs de meuble « sculpté » «le chêne sombre » Vers 2 : début des attributs humains -> Comparaison avc personnes âgées « a

(1950) ou bien Rhinocéros (1960). Dans Le Roi se meurt, Eugène Ionesco aborde de nombreux thèmes comme celui de la mort, du doute, de la vérité, de la peur, de l’impuissance ou encore de la finitude qui se voit questionnés. Cette pièce oscille entre deux genres : le tragique et le comique, et appartient aux registres lyrique, tragique et pathétique, ce qui fait de cette pièce, une œuvre dynamique et originale. Elle ne comporte d’ailleurs

exige de l’universalité. Une systématicité totale. Et du sens. Une signification et une orientation. Une 3 finalité. En un mot, la raison aspire au savoir absolu. L’inquiétude qui doit retenir l’attention du philosophe porte dès lors sur la finitude de la connaissance. Le savoir est inachevé en fait. L’usage des métaphores indique à quel point le philosophe ne peut se passer de l’image, du sensible pour parvenir à éclairer sa pensée, pour dire l’indicible. Mais peut-on concevoir l’achèvement

qu’on le place ». Nous étudierons, dans une première partie, l’importance des sentiments dans le romantisme. Puis, nous verrons la place de l’action et le héros qui met en place cette action. Enfin, nous aborderons le thème de la révolte face à la finitude humaine et nous analyserons la réaction des auteurs romantiques face à cette frustration. La deuxième moitié du XVIIIe siècle voit se mettre en place un mouvement rationaliste notamment avec Voltaire. En effet, ce dernier met en place une nouvelle