Gage immobilier

stable, le commerçant peut ainsi l'utiliser pour se procurer du crédit. Il peut l'offrir en gage à ses créanciers. Les marchandises sont destinées à évoluer, elles sont faites pour être vendues, les stocks se renouvellent. Avant il était impossible pour un commerçant d'offrir en gage ses marchandises → ord du 23 mars 2006 reforme du droit des suretés. Désormais, il est possible au commerçant de constituer un gage sur ses stocks (en théorie, mais en pratique les créanciers aiment peu ce genre de garantie

| Plan de l’exposé : Introduction Chapitre I : le gage « nantissement avec dépossession » Section I : le gage civil A° la constitution du gage B° les effets du gage Section II : le gage commercial A° le régime général du gage commercial B° le dépôt dans les magasins généraux Chapitre II : le nantissement sans dépossession Section I : le nantissement de l’outillage et du

suretés ! ! Tout créancier dispose d’un droit de gage général. Ce droit de gage lui permet de saisir tous les biens de son débiteur pour se faire payer sur leur prix en cas de défaillance (art 2284 du cc). Quiconque s’est obligé personnellement, est tenu de remplir son engagement sur tous ses biens mobiliers et immobiliers présents et avenir. Lorsque le créancier n’a pas d’autre garantie, il est un « créancier chirographaire ». Ce droit de gage n’est pas tjs une garantie suffisante pour le créancier

crédit : par ex pour un prêt immobilier, la banque va nous demander un sureté personnel (cautionnement mais c’est rare) mais plutôt une hypothèque. I) Le rôle des suretés : Il suffit d’observer la situation d’un créancier dépourvu de sureté, ce dernier on l’appelle le créancier chirographaire Tout créancier quelque soit la date et l’origine de sa créance dispose d’un droit de gage général sur la patrimoine de son débiteur. Cette prérogative du droit de gage on la trouve à l’article 2284

L’origine de propriété consiste dans la vérification du droit de propriété d’une personne sur un bien et dans le compte vendu de cette vérification. Lorsqu’un bien est aliéné, hypothéqué ou remis en gage, il est essentiel que l’acquéreur ou le créancier soit assuré que le vendeur ou le débiteur est bien propriétaire et plus précisément que les transmissions successives de ce bien sont régulières et ne peuvent pas être annulées, révoquées ou résolues. En pratique, il est nécessaire de justifier

l’OHADA, les sûretés portant sur des meubles incorporels concernent uniquement les créances (1°), le fonds de commerce (2°) et les droits d’associés et de valeurs mobilières (3°), sûretés qualifiées de «gage» pour les premières et de «nantissement» pour les autres. 1°) Le nantissement de créance Le gage de créance devient, dans avec l’AUS révisé, un nantissement réglementé par les articles 127 à 135. L’article 128 de l’AUS révisé autorise les nantissements portant sur des créances ou des «ensembles

qui sont contrôlés, sont édictés au titre de la procédure de sauvegarde. Toutefois, en matière de redressement, l’accomplissement d’un acte de disposition étranger à la gestion courante de l’entreprise, la faculté de consentir une hypothèque, un gage ou un nantissement ou de compromettre ou de transiger suit un régime différent : l’autorisation ne peut être demandée que par l’administrateur au juge commissaire lorsqu’il effectue une mission de représentation tandis que ce pouvoir est exercé en

dette, a été aboli en 1867 sauf en matière fiscale. Fondés sur le droit de gage général du créancier sur le patrimoine du débiteur, ils peuvent avoir une finalité conservatoire ou tendre directement à l’exécution forcée. A- Les mesures conservatoires Tout créancier peut pratiquer une mesure conservatoire pour sauvegarder ses droits, s’il craint que son débiteur ne fasse disparaître les biens objets de son droit de gage général, alors qu’il n’est pas en mesure de procéder à l’exécution forcée

réels. Droits réels accessoires : Droit accesssoire à un droit de créance. Il existe qu’en raison du droit de créance. Il permet au créancier d’obtenir + facilement le paiement de sa créance. Il garantit le paiement de la créance. (hypothèque, gage, nantissement). Ils octroyent au créancier un droit de préférence. On les appelle les « suretés réelles ». Droits réels principaux : droits réels qui existent par eux même. Leur objet est de permettre à leur titulaire de profiter des utilités d’un

définition du fonds de commerce. On déduit cependant ces éléments des exigences posées en matière de vente (articles L.141-1 et suivants du Code de commerce issus des lois du 1è mars 1909 et du 29 juin 1935) et de nantissement du fond de commerce (gage - garantie de paiement - sûreté réelle sans dépossession; Articles L.142-1 à L.1425 du Code de commerce issus d'une loi du 17 mars 1909). Voyons la nature et les éléments du fonds de commerce (Section 1) avant d'étudier plus les opérations portant