Galanterie

renoncer à ses ambitions. Elle-même est surprise et troublée. Sa mère plus clairvoyante lui raconte l'histoire de la passion jalouse de la duchesse de Valentinois pour François Ier puis Henri II, exemple des désordres et des conséquences funestes de la galanterie : Mme de Clèves prend conscience de son amour pour Nemours par la jalousie qu'elle ressent à l'idée qu'il pourrait être attaché à la reine dauphine. La mort de sa mère, les dernières recommandations et mises en garde laissent la jeune femme désemparée

comme les autres, voilà tout ! Comme les autres ? - non ! Il existait des exceptions, et beaucoup, beaucoup ! Celles qu'il voyait autour de lui, des riches, des folles, des chercheuses d'amour, appartenaient en somme à la galanterie élégante et mondaine ou même à la galanterie tarifée, car on ne rencontrait pas, sur les plages piétinées par la légion des désœuvrées, le peuple des honnêtes femmes enfermées dans la maison close. Situation : Les soupçons de Pierre quant à la conduite de sa mère

Clèves est mariée au prince de Clèves, mais celle-ci a une certaine inclination pour M. de Nemours, et ce détail n'a pas échapper à sa mourante mère. Elle convainc sa fille que ce serait une situation catastrophique de se laisser ainsi aller à la galanterie en employant une métaphore « vous êtes sur le bords du précipice » (,15). Aussi l'auteure fait une répétition du mot « grand » dans l'expression « grands efforts et de grandes violences »(,15) qui montre l'importance de se retenir, et ne pas céder

et le duc de Nemours que repose le roman. I) La galanterie et la séduction La galanterie est un terme riche qui est proche de l’honnêteté. A l’époque, il s’appliqué sur le commerce amoureux, qui était une des plus grandes préoccupations de la cour. Ce mot s’associé avec la magnificence, et désignait tout ce qui était nécessaire pour vivre dans cette société, c’est-à-dire, l’élégance, la politesse, l’esprit et l’honnêteté. La galanterie était indispensable pour séduire. a) Les rencontres

la brièveté de la vie humaine par rapport à celle d’une rose. Nous nous demanderons ce qui fait de cette ode un poème si réussi et si célèbre. Pour ceci nous allons observer la galanterie du ton puis l’analogie entre la femme et la rose et enfin nous étudierons la leçon de sagesse que Ronsard délivre. I) La galanterie ronsardienne A) Le ton familier et flatteur Au 1er vers, la femme est apostrophée par le mot « Mignonne » qui résume la jeune fille à sa beauté et donne à la strophe un ton galant

symbolisent l'état d'âme de la destinataire. Vers 5 : résume l'ambiguïté des sentiments. "chanter" : gaieté MAIS "mode mineur" : tristesse //Vers 6 : le contenu de la chanson est épicurien (qui évoque la philosophie du plaisir) idées de frivolité, galanterie, gaieté MAIS Vers 7 : mélancolie sous-jacente . Bonheur = masque auquel on n'a pas l'air de croire. Sentiments suggérés?= domaine du flou. Thème de la feinte, des apparences, des sentiments qui se cachent (comme dans la 1ère strophe). Vers 8 :

assure son repos, sa tranquillité : elle refuse l’amour de manière logique en exposant clairement les causes de ce refus. Elle impose sa propre morale à al cour qu’elle juge corrompue et à la naturelle inconstance de Nemours, dont le goût pour la galanterie est bien connu. III l’héroïsme féminin A) double fonction de l’adieu : cet adieu a une double fonction narrative, il témoigne de l’héroïsme de la princesse et dramatise la résolution à la retraite. Il faut se rappeler qu’il s’agit d’une jeune

sa tenue vestimentaire est suivie de tout le monde (l. 28); c’est un icône. Tout le monde tente de l’imiter mais personne n’y arrive. De plus, en mêlant son charme a sa beauté et a sa galanterie démesurée qui est citée après un quantitatif dans la phrase «Il avait tant de douceur et de disposition a la galanterie» (l. 24), il est capable de séduire toutes les femmes comme le montre le fait «qu’il avait plusieurs maitresses» (l. 26). Cependant, il n’en a même pas besoin, ce sont les femmes «qui tachent

ciel lui a fait don et dit aussi qu'on nomme vulgairement ses « gentillesses d'esprit, de ces galanteries ingénieuses, » par fourberies. Dans le texte on prouve ainsi les arguments « A vous dire la vérité, il y a peu de choses qui me soient impossibles, quand je m'en veux mêler. J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit, de ces galanteries ingénieuses, à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies; et je puis dire sans vanité

exemplaire L’exercice du portrait en prose ou en vers, est très à la mode au XVIIe siècle ; il s’assimile souvent à un éloge de la personne. Dans les premières pages de ce roman, l’auteur présente la cour sous Henri II, où règne magnificence et galanterie, mais où dominent également les passions amoureuses. Le personnage principal, Melle de Chartres, la future princesse de Clèves, apparaît ici sous les yeux de la cour qui la découvre, comme le lecteur, pour la première fois. Il parut alors une beauté